Lors de la séance hebdomadaire des questions orales à la Chambre des conseillers, tenue ce mardi 11 février 2025, le ministre de l’Industrie et du Commerce, Ryad Mezzour, a affirmé sa détermination à combattre ces abus qui impactent directement le pouvoir d’achat des citoyens. Il a précisé que la surveillance s’applique aussi bien aux grands commerçants qu’aux petits détaillants, avec des mécanismes de contrôle renforcés.
Concernant l’évolution des prix, Mezzour a souligné que certains produits, comme la tomate, avaient connu une hausse ces derniers mois en raison d’une forte demande des industries de conserve, passant de 6 à 8 dirhams. Toutefois, leur prix commence à s’alléger, et le gouvernement veille à éviter toute flambée excessive.
S’agissant de la viande, le ministre a rappelé que le cheptel national avait chuté de plus de 40 %, rendant l’importation nécessaire mais coûteuse en raison des frais de transport. Il a également relevé un manque d’intérêt des consommateurs pour la viande importée, ce qui complexifie davantage l’équilibre du marché. « Le gouvernement explore toutes les solutions possibles pour garantir un approvisionnement suffisant à des prix accessibles », a-t-il assuré.
Sur la question plus large de la régulation des prix, qu'ils soient encadrés ou libres, Mezzour a souligné l'importance d'un suivi strict, particulièrement à l'approche du Ramadan, période de forte consommation. Il a dénoncé les manipulations du marché, telles que le stockage excessif et la dissimulation de produits, affirmant que ces pratiques sont activement combattues. Il a également mis en avant l’importance du respect des normes de sécurité et d’hygiène dans les conditions de stockage.
Enfin, le ministre a réaffirmé l’engagement du gouvernement à assurer un approvisionnement suffisant en produits alimentaires durant le Ramadan et à garantir leur qualité, afin de protéger les consommateurs contre toute spéculation abusive.
Concernant l’évolution des prix, Mezzour a souligné que certains produits, comme la tomate, avaient connu une hausse ces derniers mois en raison d’une forte demande des industries de conserve, passant de 6 à 8 dirhams. Toutefois, leur prix commence à s’alléger, et le gouvernement veille à éviter toute flambée excessive.
S’agissant de la viande, le ministre a rappelé que le cheptel national avait chuté de plus de 40 %, rendant l’importation nécessaire mais coûteuse en raison des frais de transport. Il a également relevé un manque d’intérêt des consommateurs pour la viande importée, ce qui complexifie davantage l’équilibre du marché. « Le gouvernement explore toutes les solutions possibles pour garantir un approvisionnement suffisant à des prix accessibles », a-t-il assuré.
Sur la question plus large de la régulation des prix, qu'ils soient encadrés ou libres, Mezzour a souligné l'importance d'un suivi strict, particulièrement à l'approche du Ramadan, période de forte consommation. Il a dénoncé les manipulations du marché, telles que le stockage excessif et la dissimulation de produits, affirmant que ces pratiques sont activement combattues. Il a également mis en avant l’importance du respect des normes de sécurité et d’hygiène dans les conditions de stockage.
Enfin, le ministre a réaffirmé l’engagement du gouvernement à assurer un approvisionnement suffisant en produits alimentaires durant le Ramadan et à garantir leur qualité, afin de protéger les consommateurs contre toute spéculation abusive.