Cette initiative de sensibilisation et de plaidoyer s’inscrit dans le cadre de l’engagement mondial visant à mettre fin aux violences fondées sur le genre, en amplifiant toutes les voix et en mobilisant tous les acteurs de la société autour de la prévention, de la sensibilisation et de la prise en charge des survivantes.
L'événement, qui a démarré le 23 novembre, a rassemblé un large éventail de participants, institutions publiques, organisations de la société civile, agences de l'ONU, médias et citoyens, pour échanger et se renseigner sur les causes profondes de ces violences, les moyens de les combattre, et les efforts déployés pour défendre les droits humains des femmes.
Des ateliers éducatifs ont été proposés pour sensibiliser à la diversité des formes de violences fondées sur le genre et aux moyens d’y faire face. En parallèle, des performances culturelles et artistiques ont mis en lumière les droits des femmes et dénoncé les violences. Des animations sportives, symbolisant la résilience, ont enrichi cette journée, offrant un cadre ludique et inclusif pour promouvoir les valeurs d’égalité.
Le pavillon du "Village de l'Égalité" a accueilli de nombreux visiteurs, dont beaucoup arboraient la couleur orange, symbole de leur engagement dans la lutte contre la violence fondée sur le genre. D'autres se sont rassemblés autour d'une grande pancarte mise en place par les organisateurs, pour y inscrire leurs messages et briser le silence sur ce phénomène.
À proximité, des jeunes filles ont présenté des techniques d'autodéfense et offert une démonstration d'arts martiaux, dans le cadre des activités sportives proposées par l'événement. À cette occasion, plusieurs ateliers interactifs ont été proposés pour sensibiliser le public aux différentes formes de violences fondées sur le genre et aux solutions pour y faire face.
En parallèle, des performances culturelles et artistiques ont mis en lumière les droits des femmes tout en dénonçant les violences dont elles sont victimes. Des activités sportives, représentant la résilience, ont également enrichi cette journée, offrant un cadre ludique et inclusif pour valoriser les principes d'égalité. S'exprimant lors de l'événement, Eric Falt, directeur du Bureau de l'UNESCO pour le Maghreb au Maroc, a souligné que la communauté internationale tire la sonnette d'alarme depuis 33 ans sur la "situation alarmante" des violences faites aux femmes.
Il a expliqué que des chiffres préoccupants révèlent une aggravation de ce phénomène, précisant qu'une femme sur trois a été victime de violences physiques ou sexuelles. De son côté, Fatima Berkane, secrétaire générale de la Délégation interministérielle aux droits de l'Homme, a souligné que la lutte contre la violence à l'égard des femmes figure parmi les priorités nationales.
Elle a également noté que le Royaume a réalisé des progrès significatifs dans la protection des droits des femmes et des filles, ainsi que dans la lutte contre toutes les formes de violence. Mme Berkane a également insisté sur l'importance d'anticiper les risques liés à la violence générée par l'Intelligence Artificielle (IA), en raison de l'évolution rapide des technologies modernes. Elle a averti que, selon diverses études, l'IA pourrait aggraver encore les inégalités entre les genres.
L'événement, qui a démarré le 23 novembre, a rassemblé un large éventail de participants, institutions publiques, organisations de la société civile, agences de l'ONU, médias et citoyens, pour échanger et se renseigner sur les causes profondes de ces violences, les moyens de les combattre, et les efforts déployés pour défendre les droits humains des femmes.
Des ateliers éducatifs ont été proposés pour sensibiliser à la diversité des formes de violences fondées sur le genre et aux moyens d’y faire face. En parallèle, des performances culturelles et artistiques ont mis en lumière les droits des femmes et dénoncé les violences. Des animations sportives, symbolisant la résilience, ont enrichi cette journée, offrant un cadre ludique et inclusif pour promouvoir les valeurs d’égalité.
Le pavillon du "Village de l'Égalité" a accueilli de nombreux visiteurs, dont beaucoup arboraient la couleur orange, symbole de leur engagement dans la lutte contre la violence fondée sur le genre. D'autres se sont rassemblés autour d'une grande pancarte mise en place par les organisateurs, pour y inscrire leurs messages et briser le silence sur ce phénomène.
À proximité, des jeunes filles ont présenté des techniques d'autodéfense et offert une démonstration d'arts martiaux, dans le cadre des activités sportives proposées par l'événement. À cette occasion, plusieurs ateliers interactifs ont été proposés pour sensibiliser le public aux différentes formes de violences fondées sur le genre et aux solutions pour y faire face.
En parallèle, des performances culturelles et artistiques ont mis en lumière les droits des femmes tout en dénonçant les violences dont elles sont victimes. Des activités sportives, représentant la résilience, ont également enrichi cette journée, offrant un cadre ludique et inclusif pour valoriser les principes d'égalité. S'exprimant lors de l'événement, Eric Falt, directeur du Bureau de l'UNESCO pour le Maghreb au Maroc, a souligné que la communauté internationale tire la sonnette d'alarme depuis 33 ans sur la "situation alarmante" des violences faites aux femmes.
Il a expliqué que des chiffres préoccupants révèlent une aggravation de ce phénomène, précisant qu'une femme sur trois a été victime de violences physiques ou sexuelles. De son côté, Fatima Berkane, secrétaire générale de la Délégation interministérielle aux droits de l'Homme, a souligné que la lutte contre la violence à l'égard des femmes figure parmi les priorités nationales.
Elle a également noté que le Royaume a réalisé des progrès significatifs dans la protection des droits des femmes et des filles, ainsi que dans la lutte contre toutes les formes de violence. Mme Berkane a également insisté sur l'importance d'anticiper les risques liés à la violence générée par l'Intelligence Artificielle (IA), en raison de l'évolution rapide des technologies modernes. Elle a averti que, selon diverses études, l'IA pourrait aggraver encore les inégalités entre les genres.