En effet, s’exprimant pour la première fois sur l’élimination d’El Bendir, le conseiller du chef des séparatistes, Bachir Mustapha Sayed, évoque sa mort par un drone « israélo-américain ».
« Le drone était utilisé avant même le 13 novembre mais à des fins de renseignement », avance- t-il. « Il est difficilement détectable par les radars classiques, c’est pourquoi toutes les armées, y compris celles des grandes
puissances, cherchent à trouver des moyens pour s’en protéger ».
Selon Sayed, El Bendir aurait été abattu lors d’un affrontement au niveau de la zone de Haouza, à quelque distance du mur de défense des Forces armées royales.
« Notre réponse est présente et continue, et en ce qui concerne le type de nouvelle arme que le Maroc a introduit sur le terrain, nous disons qu’elle a ouvert la porte de l’enfer à l’utilisation de n’importe quelle arme de notre côté, et les réponses sont là. Parfois, nous n’utilisons pas de mesures de prévention et de sécurité, et nous n’oublions pas que nous sommes dans la bataille, surtout après la fin des affrontements, et nous facilitons les choses pour cela », ajoute-t-il. Alors que le conseiller du chef des séparatistes dément le fait que ce dernier se trouvait dans le convoi, il a tout de même confirmé que « deux autres personnes ont été blessées » lors de ce raid. Ces blessures seraient légères et sans aucune gravité.
« Le drone était utilisé avant même le 13 novembre mais à des fins de renseignement », avance- t-il. « Il est difficilement détectable par les radars classiques, c’est pourquoi toutes les armées, y compris celles des grandes
puissances, cherchent à trouver des moyens pour s’en protéger ».
Selon Sayed, El Bendir aurait été abattu lors d’un affrontement au niveau de la zone de Haouza, à quelque distance du mur de défense des Forces armées royales.
« Notre réponse est présente et continue, et en ce qui concerne le type de nouvelle arme que le Maroc a introduit sur le terrain, nous disons qu’elle a ouvert la porte de l’enfer à l’utilisation de n’importe quelle arme de notre côté, et les réponses sont là. Parfois, nous n’utilisons pas de mesures de prévention et de sécurité, et nous n’oublions pas que nous sommes dans la bataille, surtout après la fin des affrontements, et nous facilitons les choses pour cela », ajoute-t-il. Alors que le conseiller du chef des séparatistes dément le fait que ce dernier se trouvait dans le convoi, il a tout de même confirmé que « deux autres personnes ont été blessées » lors de ce raid. Ces blessures seraient légères et sans aucune gravité.
