Lors de leur récupération par le Maroc, ces provinces sombraient dans l’obscurité, puisque la puissance installée atteignait à peine 7 mégawatts. Actuellement cette puissance dépasse les 1.700 mégawatts, dont plus de 1.300 mégawatts provenant de l’énergie renouvelable. Le parc de production d’énergie éolienne installé à Tarfaya est le plus grand d’Afrique, avec une production de 300 MW grâce à 131 turbines.
Inauguré en 2014 pour un coût de 5 milliards de dhs, ce parc fournit 15% des 2 GW que s’est fixé le Maroc dans le volet éolien de son grand plan d’énergies renouvelables. Non loin de là, le parc éolien d’Akhfenir, opérationnel depuis juillet 2013, produit 100 MW et compte parmi les importantes infrastructures énergétiques réalisées ces dernières années au Sahara.
La commune de Dcheira abrite de son côté la centrale Noor Laâyoune I, dont la réalisation a nécessité une enveloppe budgétaire de plus de 1,3 milliard de dhs. D’une puissance projetée de 80 MW extensible, cette centrale a été implantée sur un site d’une superficie totale de 1.580 ha.
La province de Tarfaya accueille par ailleurs un projet de renforcement du réseau 400kv dans la commune d’El Hagounia. Ce projet consiste en la réalisation de la 2ème artère 400 kV Agadir- Laâyoune, d’un montant de plus de 2 milliards de dhs. A Boujdour, un grand projet de production de l’énergie éolienne entrera en service dans les prochains mois, faisant partie de l’ambitieux programme marocain d’énergie renouvelable visant à installer environ 10 GW de capacité supplémentaire renouvelable d’ici 2030.
D’une puissance installée de 300 MW, ce parc mobilise un investissement d’environ 4 milliards de dhs. Développé dans le cadre de la production privée d’électricité, ce projet structurant permet l’émergence d’une industrie éolienne marocaine, avec une production électrique prévisionnelle globale de 850 MW.
Le projet éolien national de 850 MW, composé des cinq parcs éoliens de Midelt (180 MW), Boujdour (300 MW), Jbel Lahdid à Essaouira (200 MW), Tiskrad à Tarfaya (100 MW) et Tanger II (70 MW), constitue une composante importante de la stratégie énergétique du Maroc, dont l’objectif est d’atteindre 52% de la puissance électrique installée à base d’énergie renouvelable à l’horizon 2030.
Selon le chef de gouvernement Aziz Akhannouch, le Maroc dispose de 50 projets d’énergies renouvelables cumulant une puissance installée de 3.950 MW déjà en service, alors que plus de 60 autres projets sont en cours de développement ou de mise en oeuvre. Ces projets permettent aujourd’hui de positionner le Maroc au niveau international en matière de compétitivité des kilowattheures.
S’agissant particulièrement des provinces du Sud, les investissements colossaux consentis par les pouvoirs publics et des sociétés multinationales ont permis de renforcer l’attractivité des villes de Laâyoune et Dakhla auprès des investisseurs nationaux et étrangers.
Inauguré en 2014 pour un coût de 5 milliards de dhs, ce parc fournit 15% des 2 GW que s’est fixé le Maroc dans le volet éolien de son grand plan d’énergies renouvelables. Non loin de là, le parc éolien d’Akhfenir, opérationnel depuis juillet 2013, produit 100 MW et compte parmi les importantes infrastructures énergétiques réalisées ces dernières années au Sahara.
La commune de Dcheira abrite de son côté la centrale Noor Laâyoune I, dont la réalisation a nécessité une enveloppe budgétaire de plus de 1,3 milliard de dhs. D’une puissance projetée de 80 MW extensible, cette centrale a été implantée sur un site d’une superficie totale de 1.580 ha.
La province de Tarfaya accueille par ailleurs un projet de renforcement du réseau 400kv dans la commune d’El Hagounia. Ce projet consiste en la réalisation de la 2ème artère 400 kV Agadir- Laâyoune, d’un montant de plus de 2 milliards de dhs. A Boujdour, un grand projet de production de l’énergie éolienne entrera en service dans les prochains mois, faisant partie de l’ambitieux programme marocain d’énergie renouvelable visant à installer environ 10 GW de capacité supplémentaire renouvelable d’ici 2030.
D’une puissance installée de 300 MW, ce parc mobilise un investissement d’environ 4 milliards de dhs. Développé dans le cadre de la production privée d’électricité, ce projet structurant permet l’émergence d’une industrie éolienne marocaine, avec une production électrique prévisionnelle globale de 850 MW.
Le projet éolien national de 850 MW, composé des cinq parcs éoliens de Midelt (180 MW), Boujdour (300 MW), Jbel Lahdid à Essaouira (200 MW), Tiskrad à Tarfaya (100 MW) et Tanger II (70 MW), constitue une composante importante de la stratégie énergétique du Maroc, dont l’objectif est d’atteindre 52% de la puissance électrique installée à base d’énergie renouvelable à l’horizon 2030.
Selon le chef de gouvernement Aziz Akhannouch, le Maroc dispose de 50 projets d’énergies renouvelables cumulant une puissance installée de 3.950 MW déjà en service, alors que plus de 60 autres projets sont en cours de développement ou de mise en oeuvre. Ces projets permettent aujourd’hui de positionner le Maroc au niveau international en matière de compétitivité des kilowattheures.
S’agissant particulièrement des provinces du Sud, les investissements colossaux consentis par les pouvoirs publics et des sociétés multinationales ont permis de renforcer l’attractivité des villes de Laâyoune et Dakhla auprès des investisseurs nationaux et étrangers.