Réuni sous la présidence du Secrétaire général du ministère de l’Equipement et de l’Eau, Al Mostapha Fares, le Conseil d’administration a adopté ce projet du budget ayant mobilisé 37,65 MDH pour réaliser les investissements et 15,43 MDH pour assurer les dépenses de gestion.
Ainsi, le budget consacré à l’investissement permettra d’évaluer les ressources en eau (21 MDH), de protéger les ressources hydrauliques (8,4 MDH), de financer des projets de protection et de lutte contre les événements naturels extrêmes (7,75 MDH) et d’assurer la modernisation de l’administration (0,5 MDH).
S’exprimant à cette occasion, M. Fares a rappelé que l’année écoulée a été marquée, au niveau du bassin hydraulique de Sakia El Hamra- Oued Eddahab par la réalisation de nombreux projets hydrauliques structurants, citant à cet égard le réaménagement du barrage de Sakia El Hamra endommagé par les inondations de 2016, dont le taux d’avancement des travaux est de l’ordre de 63%.
Il s’agit aussi, a-t-il poursuivi, de l’extension de la station de dessalement de l’eau de mer à Laâyoune et la poursuite de la réalisation de la station de dessalement de l’eau de mer à Tarfaya, ainsi que le lancement des travaux de réalisation du projet intégré de dessalement d’eau de mer à Dakhla. De même, il a fait savoir que le contrat de nappe phréatique de Dakhla a été élaboré, en vue de préserver les eaux souterraines de cette région contre la surexploitation, précisant que le contrat de nappe phréatique de Foum El Oued sera élaboré. Le bassin de Sakia El Hamra-Oued Eddahab a connu, durant l’année hydrologique 2020-2021, un déficit de 53% au niveau des précipitations par rapport à la moyenne annuelle, à l’exception des provinces d’Es-Smara et de Tan-Tan, ce qui a impacté négativement le niveau des nappes souterraines, a-t-il poursuivi.
Vu que l’année hydrologique 2021- 2022 a été aussi marquée, au niveau de ce bassin, par un déficit pluviométrique d’environ 43%, le gouvernement s’est penché sur la mise en oeuvre de nombreux projets structurants au niveau du bassin portant notamment sur l’extension de la station de dessalement d’eau de mer de Tarfaya, l’extension de la station de déminéralisation des eaux saumâtres d’El Ouattia et de Tan-Tan et la réalisation des petits barrages et des barrages collinaires, a-t-il enchainé.
Par ailleurs, il a indiqué que dans le cadre du nouveau modèle de développement des provinces du Sud, le ministère poursuit ses efforts de mobilisation des ressources en eau dans la région, citant à cet égard l’achèvement des travaux de quatre barrages collinaires (Sidi Ahmed El-Rguibi, Labouir, El-Mahajib et Kssate) dans les provinces de Laâyoune, Es-Smara et Tarfaya, d’une capacité de stockage avoisinant 1,7 million m3, en plus de la poursuite de la réalisation de la recharge artificielle de la nappe de Foum El Oued.
Concernant les efforts consentis pour la protection contre les inondations, la première tranche des travaux de protection de la ville de Laâyoune a été achevée, a-t-il ajouté, précisant que les projets de protection de la ville d’Es-Smara et du centre d’El Ouattia ont été réalisés, tandis que les travaux de protection de la ville de Boujdour se poursuivent et ceux concernant le Centre d’Akhfenir seront lancés prochainement.
Ainsi, le budget consacré à l’investissement permettra d’évaluer les ressources en eau (21 MDH), de protéger les ressources hydrauliques (8,4 MDH), de financer des projets de protection et de lutte contre les événements naturels extrêmes (7,75 MDH) et d’assurer la modernisation de l’administration (0,5 MDH).
S’exprimant à cette occasion, M. Fares a rappelé que l’année écoulée a été marquée, au niveau du bassin hydraulique de Sakia El Hamra- Oued Eddahab par la réalisation de nombreux projets hydrauliques structurants, citant à cet égard le réaménagement du barrage de Sakia El Hamra endommagé par les inondations de 2016, dont le taux d’avancement des travaux est de l’ordre de 63%.
Il s’agit aussi, a-t-il poursuivi, de l’extension de la station de dessalement de l’eau de mer à Laâyoune et la poursuite de la réalisation de la station de dessalement de l’eau de mer à Tarfaya, ainsi que le lancement des travaux de réalisation du projet intégré de dessalement d’eau de mer à Dakhla. De même, il a fait savoir que le contrat de nappe phréatique de Dakhla a été élaboré, en vue de préserver les eaux souterraines de cette région contre la surexploitation, précisant que le contrat de nappe phréatique de Foum El Oued sera élaboré. Le bassin de Sakia El Hamra-Oued Eddahab a connu, durant l’année hydrologique 2020-2021, un déficit de 53% au niveau des précipitations par rapport à la moyenne annuelle, à l’exception des provinces d’Es-Smara et de Tan-Tan, ce qui a impacté négativement le niveau des nappes souterraines, a-t-il poursuivi.
Vu que l’année hydrologique 2021- 2022 a été aussi marquée, au niveau de ce bassin, par un déficit pluviométrique d’environ 43%, le gouvernement s’est penché sur la mise en oeuvre de nombreux projets structurants au niveau du bassin portant notamment sur l’extension de la station de dessalement d’eau de mer de Tarfaya, l’extension de la station de déminéralisation des eaux saumâtres d’El Ouattia et de Tan-Tan et la réalisation des petits barrages et des barrages collinaires, a-t-il enchainé.
Par ailleurs, il a indiqué que dans le cadre du nouveau modèle de développement des provinces du Sud, le ministère poursuit ses efforts de mobilisation des ressources en eau dans la région, citant à cet égard l’achèvement des travaux de quatre barrages collinaires (Sidi Ahmed El-Rguibi, Labouir, El-Mahajib et Kssate) dans les provinces de Laâyoune, Es-Smara et Tarfaya, d’une capacité de stockage avoisinant 1,7 million m3, en plus de la poursuite de la réalisation de la recharge artificielle de la nappe de Foum El Oued.
Concernant les efforts consentis pour la protection contre les inondations, la première tranche des travaux de protection de la ville de Laâyoune a été achevée, a-t-il ajouté, précisant que les projets de protection de la ville d’Es-Smara et du centre d’El Ouattia ont été réalisés, tandis que les travaux de protection de la ville de Boujdour se poursuivent et ceux concernant le Centre d’Akhfenir seront lancés prochainement.