A cet égard, le ministre de la Santé et de la Protection sociale, Khaled Ait Taleb, a reconnu que la santé mentale est un problème majeur de santé publique dans notre pays.
En réponse à une question parlementaire écrite, Ait Taleb a déclaré que : « Les ressources humaines spécialisées en santé mentale ne sont pas suffisantes pour répondre aux besoins de la population en traitements spécialisés, alors que les chiffres officiels montrent des taux de prévalence importants pour les troubles mentaux et psychologiques ». Dans ce sens, le ministre a rappelé que le traitement de ces troubles se caractérise par son coût élevé, que ce soit au niveau économique ou social.
Sur ce dernier volet, le phénomène de stigmatisation limite l’accès des personnes atteintes aux soins.
En nombre, le Maroc compte 343 psychiatres et 214 psychologues dont 200 exerçant dans le secteur privé, 1.335 infirmiers psychiatriques, 16 pédopsychiatres, 14 assistants sociaux et 64 médecins formés à la prise en charge des addictions. Notons que le Royaume compte également 197 orthophonistes et 36 psychomotriciens.
Le ministère de la Santé et de la Protection sociale a indiqué que ces ressources sont insuffisantes pour faire face aux taux élevés de personnes atteintes de troubles mentaux et psychologiques, précisant que 26% des Marocains souffrent de dépression au cours de leur vie, 9% de troubles anxieux et 5,6% de troubles mentaux. Alors que 1% des Marocains souffrent de schizophrénie, selon les statistiques de l’enquête nationale de 2005.
D’autre part, la même source a affirmé que la santé mentale fait la Une de ses priorités, car elle s’efforce de compenser le manque à gagner par des mesures et des procédures importantes en intégrant la santé mentale dans les hôpitaux publics et les établissements de soins de santé primaires.
Dans ce cadre, le ministère s’est efforcé de renforcer les capacités des professionnels dans le domaine de la santé mentale et de la prise en charge des troubles mentaux, en en formant 140 depuis 2018.
Rappelons que le projet « Mental Health Gap » a également été lancé, en utilisant le guide de l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) pour renforcer les capacités des professionnels de santé dans les établissements non spécialisés, afin de permettre aussi aux médecins généralistes d’évaluer et de gérer les troubles mentaux et neurologiques, ainsi que ceux liés à l’usage de drogues, au niveau des consultations de médecine générale.
En réponse à une question parlementaire écrite, Ait Taleb a déclaré que : « Les ressources humaines spécialisées en santé mentale ne sont pas suffisantes pour répondre aux besoins de la population en traitements spécialisés, alors que les chiffres officiels montrent des taux de prévalence importants pour les troubles mentaux et psychologiques ». Dans ce sens, le ministre a rappelé que le traitement de ces troubles se caractérise par son coût élevé, que ce soit au niveau économique ou social.
Sur ce dernier volet, le phénomène de stigmatisation limite l’accès des personnes atteintes aux soins.
En nombre, le Maroc compte 343 psychiatres et 214 psychologues dont 200 exerçant dans le secteur privé, 1.335 infirmiers psychiatriques, 16 pédopsychiatres, 14 assistants sociaux et 64 médecins formés à la prise en charge des addictions. Notons que le Royaume compte également 197 orthophonistes et 36 psychomotriciens.
Le ministère de la Santé et de la Protection sociale a indiqué que ces ressources sont insuffisantes pour faire face aux taux élevés de personnes atteintes de troubles mentaux et psychologiques, précisant que 26% des Marocains souffrent de dépression au cours de leur vie, 9% de troubles anxieux et 5,6% de troubles mentaux. Alors que 1% des Marocains souffrent de schizophrénie, selon les statistiques de l’enquête nationale de 2005.
D’autre part, la même source a affirmé que la santé mentale fait la Une de ses priorités, car elle s’efforce de compenser le manque à gagner par des mesures et des procédures importantes en intégrant la santé mentale dans les hôpitaux publics et les établissements de soins de santé primaires.
Dans ce cadre, le ministère s’est efforcé de renforcer les capacités des professionnels dans le domaine de la santé mentale et de la prise en charge des troubles mentaux, en en formant 140 depuis 2018.
Rappelons que le projet « Mental Health Gap » a également été lancé, en utilisant le guide de l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) pour renforcer les capacités des professionnels de santé dans les établissements non spécialisés, afin de permettre aussi aux médecins généralistes d’évaluer et de gérer les troubles mentaux et neurologiques, ainsi que ceux liés à l’usage de drogues, au niveau des consultations de médecine générale.