Le 12 décembre, une vidéo diffusée sur les réseaux sociaux montre, pour la première fois, l’utilisation par le Polisario de drones lors d’une simulation d’attaque contre le Maroc. Ce développement confirme ce que le Royaume soupçonnait depuis longtemps : avec l’aide de l’Algérie et potentiellement de l’Iran, les milices séparatistes se sont armées de petits drones, utilisés tant pour l’observation que pour l’attaque (kamikazes ou lance-grenades verticaux).
Face à ce genre de menaces, les FAR adaptent leurs stratégies défensives en intégrant de nouvelles technologies de lutte anti-drones, telles que les fusils brouilleurs et les canons laser. Par ailleurs, l’adoption de solutions basées sur l’IA devient incontournable pour contrer les attaques de saturation. Les FAR pourraient également tirer parti des retours d’expérience issus de théâtres d’opérations comme l’Ukraine, véritable laboratoire de lutte anti-drones.
Face à ce genre de menaces, les FAR adaptent leurs stratégies défensives en intégrant de nouvelles technologies de lutte anti-drones, telles que les fusils brouilleurs et les canons laser. Par ailleurs, l’adoption de solutions basées sur l’IA devient incontournable pour contrer les attaques de saturation. Les FAR pourraient également tirer parti des retours d’expérience issus de théâtres d’opérations comme l’Ukraine, véritable laboratoire de lutte anti-drones.
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