On en a trop parlé. On l'a annoncé partant. Le départ de son adjoint a alimenté la rumeur. Les réseaux sociaux l'ont amplifiée. Finalement il reste. Une réunion jeudi a mis fin au feuilleton.
Il s'agit de la fausse démission pour les uns, le faux limogeage pour les autres de Jamal Sellami.
Le Raja et Sellami ont tourné la page 2019-2020 et ont ouvert la page 2020-2021. Il sera le patron des Verts pour la saison footballistique qui se pointe à l'horizon. Son adjoint sera Bouchaïb Lambarki qui prendra la place de Sefri qui cherche désormais à voler de ses propres ailes et ne plus garder la casquette de l'éternel adjoint. Il a l'ambition de se faire une place dans le milieu en tant que patron, chose tout à fait légitime quand on est ambitieux et compétent.
Pour revenir au Sellami, il aurait exigé le renfort de son effectif de façon à le rendre encore mieux compétitif d'autant plus que les objectifs sont clairs : la Coupe Arabe, le trophée de la Botola, le trophée de la Ligue des Champions. La barre est placée très haut.
Sellami a surtout bénéficié de l'appui du président Ziyate qui, satisfait du parcours de son club, ne veut pas changer de commandant. Ziyate n'est pas le seul à faire confiance à Sellami.
Sellami sait qu'il n'aura pas la tâche facile et qu'il est attendu au tournant. C'est d'ailleurs le cas dans tous les grands clubs. Ils sont suivis par un public très exigeant pour lequel seul le haut du podium et la première place comptent. Être second est déjà un échec. Il est impatient. Il veut les résultats tout de suite.
Il s'agit de la fausse démission pour les uns, le faux limogeage pour les autres de Jamal Sellami.
Le Raja et Sellami ont tourné la page 2019-2020 et ont ouvert la page 2020-2021. Il sera le patron des Verts pour la saison footballistique qui se pointe à l'horizon. Son adjoint sera Bouchaïb Lambarki qui prendra la place de Sefri qui cherche désormais à voler de ses propres ailes et ne plus garder la casquette de l'éternel adjoint. Il a l'ambition de se faire une place dans le milieu en tant que patron, chose tout à fait légitime quand on est ambitieux et compétent.
Pour revenir au Sellami, il aurait exigé le renfort de son effectif de façon à le rendre encore mieux compétitif d'autant plus que les objectifs sont clairs : la Coupe Arabe, le trophée de la Botola, le trophée de la Ligue des Champions. La barre est placée très haut.
Sellami a surtout bénéficié de l'appui du président Ziyate qui, satisfait du parcours de son club, ne veut pas changer de commandant. Ziyate n'est pas le seul à faire confiance à Sellami.
Sellami sait qu'il n'aura pas la tâche facile et qu'il est attendu au tournant. C'est d'ailleurs le cas dans tous les grands clubs. Ils sont suivis par un public très exigeant pour lequel seul le haut du podium et la première place comptent. Être second est déjà un échec. Il est impatient. Il veut les résultats tout de suite.
