Invitée de la tribune étudiante de l’université parisienne « Dauphine Discussion Débat » du Master Droits et Responsabilité Sociétale des entreprises (RSE), Mme Sitail a mis en exergue les avancées réalisées par le Royaume, sous la conduite éclairée de Sa Majesté le Roi Mohammed VI, dans différents domaines, économique, politique, social et culturel.
Des progrès en matière de consécration de l'égalité homme femmes et de réformes du code de la famille, aux opportunités de carrière au Maroc à la faveur des divers chantiers de développement attractifs de compétences de par le monde, aux derniers développements de la question du Sahara marocain, la diplomate a fait le tour des questions érigées en priorité par le Royaume.
Mme Sitail a interagit avec les étudiants sur autant de sujets d’actualité régionale et internationale dans un jeu très instructif de questions-réponses qui renseigne sur l'intérêt que porte la communauté estudiantine aux sujets qui concernent le Maroc et la place et l'estime dont jouit le Royaume dans le concert des Nations.
Sur la question de l’égalité homme/femme, l'ambassadeure a mis en avant les acquis en termes de renforcement de la représentativité des femmes marocaines dans les différentes sphères, et l’amélioration de leur accès aux postes de responsabilité selon une approche avant-gardiste basée sur le mérite, citant notamment le secteur de la diplomatie et les hautes fonctions à la tête d'institutions importantes du pays.
A ce niveau, « nous n’avons rien à envier aux autres, nous sommes même en avance par rapport à la moyenne mondiale de la représentativité en diplomatie des femmes », a assuré Mme Sitail, qui a été particulièrement interpellée sur ce sujet vu sa casquette de diplomate.
Elle a précisé à cet égard que les femmes ambassadeurs dans la diplomatie marocaine représentent 21% alors que la moyenne mondiale plafonne à 15%.
Globalement, a-t-elle fait savoir, le pourcentage des femmes au ministère des affaires étrangères marocain est passé de 39,3% en 2019 à 43% en 2023, avec une proportion des femmes Consules Générales réhaussée de 28% en 2022 à 37% en 2023 pour atteindre 40% en 2024.
Et d’ajouter que sur les 17 Consuls Généraux en poste en France, dix sont des femmes.
S’agissant de l’évolution des droits des femmes au Maroc, la diplomate a passé en revue les étapes franchies en la matière, soulignant notamment les avancées réalisées sous l’impulsion de Sa Majesté le Roi, à commencer par la première grande réforme du code de la famille en 2023, alors qu’une nouvelle réforme est en cours.
Invitée à commenter l’évolution de la position française sur la question du Sahara marocain, la diplomate a indiqué que le soutien de la France, avec laquelle le Maroc entretient des relations ancestrales et d’exception, s’inscrit dans le cadre de la dynamique internationale appuyant l'initiative marocaine d’autonomie et la souveraineté du Maroc sur son Sahara.
Elle a saisi cette occasion pour rappeler la genèse de ce conflit qui n’a que trop duré, handicapant depuis 50 ans l'intégration régionale qui « est dans l’intérêt de l’Europe ».
D’autres sujets en relation avec l’actualité nationale et internationale ont été abordés lors de ces échanges, dont les défis de la gestion des flux migratoires, la coopération sud-sud et nord-sud, la transformation numérique, ou encore la préservation du patrimoine, autant de questions auxquelles le Maroc accorde une grande importance, selon Mme Sitail.
Fière de leur marocanité, plusieurs étudiants parmi l’assistance ont fait part de leur intérêt de retourner à la mère patrie à l’issue de leurs études en France, voire après une première expérience professionnelle dans l’Hexagone, pour contribuer à son développement et à la dynamique de progrès en marche.
A l’ouverture de ce débat, le directeur du Master Droits et RSE à l'Université Paris Dauphine–PSL, Georges Decocq s'est félicité de la présence de l’ambassadeure du Maroc à ce débat qui « symbolise l’ouverture à l’international de l’université, et notamment son ouverture vers les étudiants marocains » qui y sont inscrits, encourageant la coopération, le dialogue et l’échange autour de valeurs partagées, en particulier la transmission.
Depuis 2002, nombreuses et nombreux sont les femmes et les hommes politiques, journalistes, économistes et chefs d’entreprise à avoir répondu à l’invitation de Dauphine Discussion Débat, tribune étudiante de l'Université parisienne.
Des progrès en matière de consécration de l'égalité homme femmes et de réformes du code de la famille, aux opportunités de carrière au Maroc à la faveur des divers chantiers de développement attractifs de compétences de par le monde, aux derniers développements de la question du Sahara marocain, la diplomate a fait le tour des questions érigées en priorité par le Royaume.
Mme Sitail a interagit avec les étudiants sur autant de sujets d’actualité régionale et internationale dans un jeu très instructif de questions-réponses qui renseigne sur l'intérêt que porte la communauté estudiantine aux sujets qui concernent le Maroc et la place et l'estime dont jouit le Royaume dans le concert des Nations.
Sur la question de l’égalité homme/femme, l'ambassadeure a mis en avant les acquis en termes de renforcement de la représentativité des femmes marocaines dans les différentes sphères, et l’amélioration de leur accès aux postes de responsabilité selon une approche avant-gardiste basée sur le mérite, citant notamment le secteur de la diplomatie et les hautes fonctions à la tête d'institutions importantes du pays.
A ce niveau, « nous n’avons rien à envier aux autres, nous sommes même en avance par rapport à la moyenne mondiale de la représentativité en diplomatie des femmes », a assuré Mme Sitail, qui a été particulièrement interpellée sur ce sujet vu sa casquette de diplomate.
Elle a précisé à cet égard que les femmes ambassadeurs dans la diplomatie marocaine représentent 21% alors que la moyenne mondiale plafonne à 15%.
Globalement, a-t-elle fait savoir, le pourcentage des femmes au ministère des affaires étrangères marocain est passé de 39,3% en 2019 à 43% en 2023, avec une proportion des femmes Consules Générales réhaussée de 28% en 2022 à 37% en 2023 pour atteindre 40% en 2024.
Et d’ajouter que sur les 17 Consuls Généraux en poste en France, dix sont des femmes.
S’agissant de l’évolution des droits des femmes au Maroc, la diplomate a passé en revue les étapes franchies en la matière, soulignant notamment les avancées réalisées sous l’impulsion de Sa Majesté le Roi, à commencer par la première grande réforme du code de la famille en 2023, alors qu’une nouvelle réforme est en cours.
Invitée à commenter l’évolution de la position française sur la question du Sahara marocain, la diplomate a indiqué que le soutien de la France, avec laquelle le Maroc entretient des relations ancestrales et d’exception, s’inscrit dans le cadre de la dynamique internationale appuyant l'initiative marocaine d’autonomie et la souveraineté du Maroc sur son Sahara.
Elle a saisi cette occasion pour rappeler la genèse de ce conflit qui n’a que trop duré, handicapant depuis 50 ans l'intégration régionale qui « est dans l’intérêt de l’Europe ».
D’autres sujets en relation avec l’actualité nationale et internationale ont été abordés lors de ces échanges, dont les défis de la gestion des flux migratoires, la coopération sud-sud et nord-sud, la transformation numérique, ou encore la préservation du patrimoine, autant de questions auxquelles le Maroc accorde une grande importance, selon Mme Sitail.
Fière de leur marocanité, plusieurs étudiants parmi l’assistance ont fait part de leur intérêt de retourner à la mère patrie à l’issue de leurs études en France, voire après une première expérience professionnelle dans l’Hexagone, pour contribuer à son développement et à la dynamique de progrès en marche.
A l’ouverture de ce débat, le directeur du Master Droits et RSE à l'Université Paris Dauphine–PSL, Georges Decocq s'est félicité de la présence de l’ambassadeure du Maroc à ce débat qui « symbolise l’ouverture à l’international de l’université, et notamment son ouverture vers les étudiants marocains » qui y sont inscrits, encourageant la coopération, le dialogue et l’échange autour de valeurs partagées, en particulier la transmission.
Depuis 2002, nombreuses et nombreux sont les femmes et les hommes politiques, journalistes, économistes et chefs d’entreprise à avoir répondu à l’invitation de Dauphine Discussion Débat, tribune étudiante de l'Université parisienne.