Le 16 octobre prochain, la ville de Benguerir sera l'épicentre de la réflexion sur l'avenir de l'industrie marocaine, à l'occasion de la deuxième édition de la Journée nationale de l'industrie. Co-organisée par le Ministère de l'Industrie et du Commerce, en collaboration avec la Confédération Générale des Entreprises du Maroc (CGEM), cette édition se tiendra sous le thème ambitieux : « Inaugurer une nouvelle ère industrielle portée vers et par la souveraineté, une vision Royale au service du citoyen et des territoires ». Ce thème souligne l'importance cruciale de la souveraineté industrielle comme pilier de la résilience économique et du développement inclusif.
Cette journée réunira des représentants des ministères, des institutions, des fédérations professionnelles ainsi que des opérateurs privés, tous mobilisés pour échanger sur les défis actuels et futurs du secteur industriel, afin de l'amener à exploiter pleinement son potentiel. Cette édition se veut le prolongement naturel de la précédente, capitalisant sur les acquis tout en s'inscrivant dans la vision exprimée par le message royal adressé aux participants. Ce message avait souligné l'importance de bâtir une industrie marocaine souveraine, capable de faire face aux chocs externes et de renforcer sa compétitivité à l'échelle internationale.
L'accent sera mis cette année sur la performance et la compétitivité des écosystèmes industriels, notamment en renforçant l'innovation au sein du tissu industriel national. Dans un contexte mondial marqué par des tensions sur les ressources énergétiques et hydriques, le Maroc entend relever ces défis en adaptant son secteur industriel pour assurer une résilience durable. L'objectif est également de promouvoir une industrie capable d'exploiter au mieux le potentiel des régions, contribuant ainsi à la création de valeur et de richesse à l'échelle locale.
Au programme de cette journée figure un ensemble de cinq panels thématiques, qui se pencheront sur les principaux enjeux du secteur. Le premier panel s'intéressera à la souveraineté industrielle et au potentiel des régions, explorant comment chaque territoire marocain peut contribuer à l'édification d'une industrie nationale forte et autosuffisante. Le deuxième panel abordera la montée en gamme des écosystèmes industriels, en mettant en lumière les moyens de renforcer la valeur ajoutée des productions locales et d'intégrer davantage le Maroc dans les chaînes de valeur mondiales.
Les nouveaux paris industriels et technologiques seront également au cœur des discussions, avec un intérêt particulier pour les technologies émergentes qui pourraient transformer les processus industriels et augmenter leur efficacité. La transition énergétique, cruciale pour une industrie durable, sera examinée lors du quatrième panel, qui visera à identifier les meilleures pratiques et les innovations permettant de réduire l'empreinte carbone du secteur industriel marocain tout en assurant sa compétitivité.
Enfin, le cinquième panel se concentrera sur l'innovation et la compétitivité économique, en mettant en avant les leviers qui permettront aux entreprises industrielles marocaines de se démarquer sur la scène internationale. Il s'agira notamment d'explorer les moyens d'accroître l'efficacité des processus industriels, de promouvoir les investissements dans la recherche et développement, et de renforcer la coopération entre le secteur public et le secteur privé.
Cette journée réunira des représentants des ministères, des institutions, des fédérations professionnelles ainsi que des opérateurs privés, tous mobilisés pour échanger sur les défis actuels et futurs du secteur industriel, afin de l'amener à exploiter pleinement son potentiel. Cette édition se veut le prolongement naturel de la précédente, capitalisant sur les acquis tout en s'inscrivant dans la vision exprimée par le message royal adressé aux participants. Ce message avait souligné l'importance de bâtir une industrie marocaine souveraine, capable de faire face aux chocs externes et de renforcer sa compétitivité à l'échelle internationale.
L'accent sera mis cette année sur la performance et la compétitivité des écosystèmes industriels, notamment en renforçant l'innovation au sein du tissu industriel national. Dans un contexte mondial marqué par des tensions sur les ressources énergétiques et hydriques, le Maroc entend relever ces défis en adaptant son secteur industriel pour assurer une résilience durable. L'objectif est également de promouvoir une industrie capable d'exploiter au mieux le potentiel des régions, contribuant ainsi à la création de valeur et de richesse à l'échelle locale.
Au programme de cette journée figure un ensemble de cinq panels thématiques, qui se pencheront sur les principaux enjeux du secteur. Le premier panel s'intéressera à la souveraineté industrielle et au potentiel des régions, explorant comment chaque territoire marocain peut contribuer à l'édification d'une industrie nationale forte et autosuffisante. Le deuxième panel abordera la montée en gamme des écosystèmes industriels, en mettant en lumière les moyens de renforcer la valeur ajoutée des productions locales et d'intégrer davantage le Maroc dans les chaînes de valeur mondiales.
Les nouveaux paris industriels et technologiques seront également au cœur des discussions, avec un intérêt particulier pour les technologies émergentes qui pourraient transformer les processus industriels et augmenter leur efficacité. La transition énergétique, cruciale pour une industrie durable, sera examinée lors du quatrième panel, qui visera à identifier les meilleures pratiques et les innovations permettant de réduire l'empreinte carbone du secteur industriel marocain tout en assurant sa compétitivité.
Enfin, le cinquième panel se concentrera sur l'innovation et la compétitivité économique, en mettant en avant les leviers qui permettront aux entreprises industrielles marocaines de se démarquer sur la scène internationale. Il s'agira notamment d'explorer les moyens d'accroître l'efficacité des processus industriels, de promouvoir les investissements dans la recherche et développement, et de renforcer la coopération entre le secteur public et le secteur privé.
