Benzerti se trompe de chemin. Depuis le début de la saison il patauge. Il ne fait pas confiance aux recrues. Il utilise la vieille garde.
Pas de collectif. Pas de grinta. Une équipe qui inquiète. Face au Stade Malien, ni avant, ni après le but encaissé à la 53ème minute, de la lenteur, des lignes disloquées, un gardien hors-jeu, des joueurs errants, une équipe sans âme et sans fond de jeu. En résumé, zéro équipe, zéro joueur, zéro coach et zéro président et des supporters tourmentés. On l'a bien vu à travers les commentaires qui ont accompagné "le live". Les supporters n'ont pas été tendres. Ils ont manifesté leur désarroi, leur colère et surtout leur inquiétude. Essaidi, Gadarine et Aouk ont cristallisé toute la colère des supporters wydadis.
Il y a un match « retour », mais il y a aussi une très grosse inquiétude. Rien n'est rassurant. Benzerti joue avec le feu.
Pas de collectif. Pas de grinta. Une équipe qui inquiète. Face au Stade Malien, ni avant, ni après le but encaissé à la 53ème minute, de la lenteur, des lignes disloquées, un gardien hors-jeu, des joueurs errants, une équipe sans âme et sans fond de jeu. En résumé, zéro équipe, zéro joueur, zéro coach et zéro président et des supporters tourmentés. On l'a bien vu à travers les commentaires qui ont accompagné "le live". Les supporters n'ont pas été tendres. Ils ont manifesté leur désarroi, leur colère et surtout leur inquiétude. Essaidi, Gadarine et Aouk ont cristallisé toute la colère des supporters wydadis.
Il y a un match « retour », mais il y a aussi une très grosse inquiétude. Rien n'est rassurant. Benzerti joue avec le feu.