Les deux marocains de l’effectif zamalekaoui avaient du mal à contenir leur joie. Une double joie, celle de la victoire et celle de la revanche. Ils exhibaient, devant les caméras, fièrement et joyeusement, leur bonheur débordant, par le symbolique ‘’W’’, signe gestuel cher à toute la famille ‘’Wydad‘‘. Même les Egyptiens s’y sont mêlés. Ils ont rejoint leurs coéquipiers marocains dans un geste à la fois festif et solidaire avec les ‘’victimes’’ de la dernière édition de la finale de la Ligue des Champions africaine. Eux aussi, avaient, à plusieurs occasions, subi les coups bas des Tunisiens. Eux aussi, prenaient leur revanche sur l’Histoire et sur les Tunisiens.
La joie des Wydadis étaient encore plus mielleuse et plus savoureuse d’autant plus qu’un ex-Wydadi y a activement collaboré grâce à la qualité de son jeu et de sa finition. Bencherki avait inscrit les deux buts ayant entrainé la défaite de « l’ennemi » usurpateur. Un ennemi qui leur avait « volé » leur titre. Un ennemi qui les avait privés dans des circonstances tendancieuses, injustes et litigieuses de leur sacre mérité.
Si la joie des Wydadis était intense, la déception des Espérantistes étaient encore plus amère. D’abord, ils ont perdu face à des Egyptiens avec lesquelles ils sont continuellement en désamour. Ensuite, parce que c’était un ex-Wydadi qui leur avait porté le coup fatal et de la plus belle des manières. Les Wydadis ont affronté les Espérantistes par procuration. Ils ont gagné par procuration un match qu’ils ont joué virtuellement. Mais leur satisfaction, leur joie et leur bonheur, eux, étaient des émotions réelles; des émotions intensément et agréablement vécues.
La joie des Wydadis étaient encore plus mielleuse et plus savoureuse d’autant plus qu’un ex-Wydadi y a activement collaboré grâce à la qualité de son jeu et de sa finition. Bencherki avait inscrit les deux buts ayant entrainé la défaite de « l’ennemi » usurpateur. Un ennemi qui leur avait « volé » leur titre. Un ennemi qui les avait privés dans des circonstances tendancieuses, injustes et litigieuses de leur sacre mérité.
Si la joie des Wydadis était intense, la déception des Espérantistes étaient encore plus amère. D’abord, ils ont perdu face à des Egyptiens avec lesquelles ils sont continuellement en désamour. Ensuite, parce que c’était un ex-Wydadi qui leur avait porté le coup fatal et de la plus belle des manières. Les Wydadis ont affronté les Espérantistes par procuration. Ils ont gagné par procuration un match qu’ils ont joué virtuellement. Mais leur satisfaction, leur joie et leur bonheur, eux, étaient des émotions réelles; des émotions intensément et agréablement vécues.
Abderrahmane KITABRI