Youness Sekkouri, ministre de l’Inclusion Economique, de la Petite Entreprise, de l’Emploi et des Compétences.
Alors que le projet de loi organique n°97.15 définissant les conditions et les modalités d’exercice du droit de grève est actuellement en discussion au sein de la Commission des secteurs sociaux, les sit-in et les protestations se multiplient pour faire pression sur le gouvernement.
La prochaine étape s’annonce ardue pour le ministre de tutelle, Youness Sekkouri, qui doit trouver un équilibre entre les amendements proposés par les syndicats, les parlementaires et le Patronat, tout en se référant aux recommandations du Conseil Economique, Social et Environnemental (CESE) et du Conseil National des Droits de l’Homme (CNDH). Mais, pour l’instant, la priorité est accordée au rééquilibrage des articles à dimension répressive. Eclairage.
La prochaine étape s’annonce ardue pour le ministre de tutelle, Youness Sekkouri, qui doit trouver un équilibre entre les amendements proposés par les syndicats, les parlementaires et le Patronat, tout en se référant aux recommandations du Conseil Economique, Social et Environnemental (CESE) et du Conseil National des Droits de l’Homme (CNDH). Mais, pour l’instant, la priorité est accordée au rééquilibrage des articles à dimension répressive. Eclairage.
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