Le musée a été inauguré en présence d'Abdelaziz El Idrissi, directeur du Musée Mohammed VI d’art moderne et contemporain et des collections, Mohamed Mahdia, Wali de la région Tanger-Tétouan-Al Hoceima, Omar Mourou, Président du Conseil de la région, et Mounir El Bouyoussfi, Directeur Général de l'Agence pour la Promotion et le Développement du Nord (APDN).
Cet équipement culturel et artistique, construit en 1860, est situé dans le bâtiment de l’ancien siège du représentant du sultan, dont la restauration s'inscrit dans le cadre du programme de réhabilitation et de valorisation de l’ancienne médina de Tanger lancé par Sa Majesté le Roi Mohammed VI.
« Le musée permettra aux habitants et visiteurs de Tanger de connaître une part importante de l’histoire du Maroc et de la mémoire de la ville », a déclaré El Idrissi à la MAP.
L’établissement relate une partie de l'histoire diplomatique du Maroc depuis le 18ème siècle, et comprend des œuvres plastiques d'artistes éminents qui ont été influencés par le Maroc, ainsi qu'un ensemble de documents qui relèvent des événements survenus à Tanger depuis le règne du sultan Moulay Slimane explique le directeur du Musée Mohammed VI d'Art Moderne et Contemporain.
Les travaux de rénovation et de réhabilitation du bâtiment, supervisés par l'Agence pour la Promotion et le Développement du Nord en coordination avec la wilaya de la région Tanger-Tétouan-Al Hoceima et le ministère de la Jeunesse, de la Culture et de la Communication ont exigé une enveloppe financière totale estimée à 14 millions de dirhams.
Le nouveau musée culturel, dont la gestion sera déléguée à la Fondation nationale des musées, comprend une salle polyvalente, des salles d'exposition, des ateliers de peinture, de photographie, de traitement d'œuvres d'art, de sculpture et d'autres espaces de fonctions diverses, qui s’étale sur une superficie totale d'environ 1.841 m².
Le Musée Dar Niaba-Maison d’Artiste s'ajoute à trois autres musées de la ville supervisés par la Fondation, dont le Musée de la Kasbah, dit « Musée des cultures méditerranéennes », et deux musées qui ont vu le jour l'an dernier 2021.
Le bâtiment est témoin de la signature de plusieurs accords et traités à diverses époques historiques, et constitue généralement un élément unique de la mémoire administrative et diplomatique du Maroc.
Cet équipement culturel et artistique, construit en 1860, est situé dans le bâtiment de l’ancien siège du représentant du sultan, dont la restauration s'inscrit dans le cadre du programme de réhabilitation et de valorisation de l’ancienne médina de Tanger lancé par Sa Majesté le Roi Mohammed VI.
« Le musée permettra aux habitants et visiteurs de Tanger de connaître une part importante de l’histoire du Maroc et de la mémoire de la ville », a déclaré El Idrissi à la MAP.
L’établissement relate une partie de l'histoire diplomatique du Maroc depuis le 18ème siècle, et comprend des œuvres plastiques d'artistes éminents qui ont été influencés par le Maroc, ainsi qu'un ensemble de documents qui relèvent des événements survenus à Tanger depuis le règne du sultan Moulay Slimane explique le directeur du Musée Mohammed VI d'Art Moderne et Contemporain.
Les travaux de rénovation et de réhabilitation du bâtiment, supervisés par l'Agence pour la Promotion et le Développement du Nord en coordination avec la wilaya de la région Tanger-Tétouan-Al Hoceima et le ministère de la Jeunesse, de la Culture et de la Communication ont exigé une enveloppe financière totale estimée à 14 millions de dirhams.
Le nouveau musée culturel, dont la gestion sera déléguée à la Fondation nationale des musées, comprend une salle polyvalente, des salles d'exposition, des ateliers de peinture, de photographie, de traitement d'œuvres d'art, de sculpture et d'autres espaces de fonctions diverses, qui s’étale sur une superficie totale d'environ 1.841 m².
Le Musée Dar Niaba-Maison d’Artiste s'ajoute à trois autres musées de la ville supervisés par la Fondation, dont le Musée de la Kasbah, dit « Musée des cultures méditerranéennes », et deux musées qui ont vu le jour l'an dernier 2021.
Le bâtiment est témoin de la signature de plusieurs accords et traités à diverses époques historiques, et constitue généralement un élément unique de la mémoire administrative et diplomatique du Maroc.