Lors de la séance plénière dédiée aux questions orales à la Chambre des Conseillers, le ministre a été interpellé sur l’impact de la taxe carbone et de la législation environnementale de l'Union européenne sur l’industrie marocaine.
En réponse à cela, Mezzour a rassuré en affirmant qu’un nombre très limité de secteurs sont directement impactés par la taxe carbone européenne. Il s’agirait notamment de six secteurs, dont l’électricité, le ciment et les engrais. « Ces secteurs sont assez résilients et n’ont pas besoin de l'intervention de l'Etat », précise le ministre.
Toutefois, M. Mezzour a souligné l’engagement du gouvernement à accélérer la décarbonation de l’industrie nationale. « Le Maroc n’a pas attendu la taxe carbone pour aller vers le développement durable, c’est un choix fondamental et royal depuis plus de 25 ans », a-t-il affirmé.
Parmi les avancées du pays dans ce choix est l’accès à l’électricité propre. Selon le ministre, cette ressource énergétique serait plus accessible aux industriels sur le marché à un coût inférieur à au prix de l’électricité au Maroc (qui s’élève à 90 centimes dirham/kWh). Cela permettrait aux industriels nationaux d’adopter les normes de développement durable toujours selon le ministre.
Le ministre affirme que, dans l’ensemble, l’industrie marocaine répond aux normes de développement durable. Reste selon lui à améliorer la transition de quelques secteurs, dont le textile et la logistique.
Pour le premier, il s’agit d’intégrer la fibre issue du recyclage dans l’industrie textile. S'agissant du second, l’impératif est d’avoir une logistique « verte » avec un transport des marchandises par train ou par camions électriques ou fonctionnant à l’hydrogène.
« Nous poursuivons cette orientation dans l’intérêt du Maroc et de sa compétitivité », note le ministre en guise de conclusion.
En réponse à cela, Mezzour a rassuré en affirmant qu’un nombre très limité de secteurs sont directement impactés par la taxe carbone européenne. Il s’agirait notamment de six secteurs, dont l’électricité, le ciment et les engrais. « Ces secteurs sont assez résilients et n’ont pas besoin de l'intervention de l'Etat », précise le ministre.
Toutefois, M. Mezzour a souligné l’engagement du gouvernement à accélérer la décarbonation de l’industrie nationale. « Le Maroc n’a pas attendu la taxe carbone pour aller vers le développement durable, c’est un choix fondamental et royal depuis plus de 25 ans », a-t-il affirmé.
Parmi les avancées du pays dans ce choix est l’accès à l’électricité propre. Selon le ministre, cette ressource énergétique serait plus accessible aux industriels sur le marché à un coût inférieur à au prix de l’électricité au Maroc (qui s’élève à 90 centimes dirham/kWh). Cela permettrait aux industriels nationaux d’adopter les normes de développement durable toujours selon le ministre.
Le ministre affirme que, dans l’ensemble, l’industrie marocaine répond aux normes de développement durable. Reste selon lui à améliorer la transition de quelques secteurs, dont le textile et la logistique.
Pour le premier, il s’agit d’intégrer la fibre issue du recyclage dans l’industrie textile. S'agissant du second, l’impératif est d’avoir une logistique « verte » avec un transport des marchandises par train ou par camions électriques ou fonctionnant à l’hydrogène.
« Nous poursuivons cette orientation dans l’intérêt du Maroc et de sa compétitivité », note le ministre en guise de conclusion.