À 33 ans, Novak Djokovic a remporté, dimanche, son 82e titre, dont 18 en Grand Chelem, et sera, bientôt, recordman de semaines passées en tant que n°1 mondial. Seulement pour des raisons sportives et, surtout, familiales, il envisage de mieux gérer son calendrier pour se concentrer, essentiellement, sur les tournois Majeurs à la conquête d’autres trophées en Grand Chelem pour rattraper le duo FedererNadal. D’ailleurs son dernier succès face à Daniil Medvedev lui a permis de revenir à deux longueurs de ses deux rivaux, sans oublier qu’au vu de sa montée en puissance durant la quinzaine australienne, il a toutes les chances d’ajouter au moins un autre titre majeur à son palmarès d’ici la fin de la saison.
En conférence de presse, il a avoué, qu’en raison des conditions de déplacement qui sont incertaines dans les mois à venir en raison de la pandémie de coronavirus, qu’il se concentrait encore davantage sur les tournois du Grand Chelem, surtout qu’il est assuré, d’ici le 8 mars prochain, de battre le record de Federer de 310 semaines passées à la première place mondiale.
Énergie et concentration
Dans ce sens, Djoko souligne : «Ça va être un soulagement pour moi, parce que je vais pouvoir mettre toute mon énergie et ma concentration sur les Grands Chelems. Pour viser la première place du classement, il faut jouer toute la saison et tu dois être performant dans tous les tournois». Et d’ajouter : «Je vais adapter mes objectifs, ce qui implique des ajustements dans mon calendrier. Ce n’est pas une obligation, mais c’est une opportunité dont je veux profiter, en tant que père et mari. À en juger de ce qui se passe dans le monde, voyager avec ma famille sera très compliqué, parce que je dois emmener mes entraîneurs et mon staff. Il y a des règles en place qui limitent le nombre d’accompagnants à deux par joueur sur les tournois, en dehors des Grands Chelems, sans parler des gestes barrières.
L’exemple de Federer
Pour le Serbe, Federer est l’exemple à suivre. Jugez-en. Cela fait un moment que le Suisse construit son programme annuel en fonction des tournois du Grand Chelem. Il a modifié, une première fois, son approche après la naissance de ses jumelles, en 2009, puis a encore fait évoluer son calendrier en 2014, suite à l’arrivée de ses nouveaux jumeaux. Federer est depuis focalisé sur les Grands Chelems, particulièrement ceux pour lesquels il pense avoir une réelle chance de victoire finale.
Djokovic a soufflé qu’il était de plus en plus difficile de trouver le juste équilibre entre sa carrière et sa vie de famille, afin de voir grandir son fils de 6 ans et sa fille de 3 ans : «Je vais changer mon calendrier par rapport à l’année dernière ou autres saisons. Quand je suis loin d’eux, je dois faire en sorte de maximiser ce temps et de le justifier par des titres. Évidemment, qu’ils me manquent, ça me brise le cœur parfois, de ne pas voir mes enfants. Heureusement grâce à la technologie, je peux les voir par FaceTime. Mais ne pas être avec eux...c’est tout dire».
En conférence de presse, il a avoué, qu’en raison des conditions de déplacement qui sont incertaines dans les mois à venir en raison de la pandémie de coronavirus, qu’il se concentrait encore davantage sur les tournois du Grand Chelem, surtout qu’il est assuré, d’ici le 8 mars prochain, de battre le record de Federer de 310 semaines passées à la première place mondiale.
Énergie et concentration
Dans ce sens, Djoko souligne : «Ça va être un soulagement pour moi, parce que je vais pouvoir mettre toute mon énergie et ma concentration sur les Grands Chelems. Pour viser la première place du classement, il faut jouer toute la saison et tu dois être performant dans tous les tournois». Et d’ajouter : «Je vais adapter mes objectifs, ce qui implique des ajustements dans mon calendrier. Ce n’est pas une obligation, mais c’est une opportunité dont je veux profiter, en tant que père et mari. À en juger de ce qui se passe dans le monde, voyager avec ma famille sera très compliqué, parce que je dois emmener mes entraîneurs et mon staff. Il y a des règles en place qui limitent le nombre d’accompagnants à deux par joueur sur les tournois, en dehors des Grands Chelems, sans parler des gestes barrières.
L’exemple de Federer
Pour le Serbe, Federer est l’exemple à suivre. Jugez-en. Cela fait un moment que le Suisse construit son programme annuel en fonction des tournois du Grand Chelem. Il a modifié, une première fois, son approche après la naissance de ses jumelles, en 2009, puis a encore fait évoluer son calendrier en 2014, suite à l’arrivée de ses nouveaux jumeaux. Federer est depuis focalisé sur les Grands Chelems, particulièrement ceux pour lesquels il pense avoir une réelle chance de victoire finale.
Djokovic a soufflé qu’il était de plus en plus difficile de trouver le juste équilibre entre sa carrière et sa vie de famille, afin de voir grandir son fils de 6 ans et sa fille de 3 ans : «Je vais changer mon calendrier par rapport à l’année dernière ou autres saisons. Quand je suis loin d’eux, je dois faire en sorte de maximiser ce temps et de le justifier par des titres. Évidemment, qu’ils me manquent, ça me brise le cœur parfois, de ne pas voir mes enfants. Heureusement grâce à la technologie, je peux les voir par FaceTime. Mais ne pas être avec eux...c’est tout dire».
*(avec agences)