La suggestion de Roger Federer sur Twitter, en avril dernier, de fusionner l’ATP et la WTA, a fait, depuis, son chemin et a suscité des discussions sur l’enjeu d’une plus grande collaboration entre les deux grandes instances du tennis mondial. D’ailleurs, le P.D.G de la WTA, Steve Simon, a fait, dernièrement, un joli tour d’horizon pour l’année à venir dont une éventuelle collaboration croissante entre la WTA et l’ATP.
Pour une meilleure lisibilité
Dans un premier temps, le patron de la WTA a déclaré à propos d’une fusion potentielle entre l’ATP et la WTA : «Le président de l’ATP, Andrea Gaudenzi, en a parlé, moi aussi. Plus nous travaillons ensemble, mieux ce sera. C’est l’exemple parfait. Quand j’ai contacté l’ATP pour leur expliquer que nous envisagions de faire cela et pourquoi, ils n’ont pas mégoté, alors qu’ils auraient pu. Je ne voulais pas nous engager sur leurs catégories de tournois sans qu’ils soutiennent cette idée. C’était avant tout pour une meilleure lisibilité».
Et de poursuivre : «C’est une étape très positive et ça montre, à chacun, que nous travaillons réellement main dans la main. Je pense que vous verrez encore plus l’ATP et la WTA travailler ensemble à l’avenir. On discute assez régulièrement».
Plus de tournois combinés
Donc, encore du chemin à parcourir pour arriver à cette fusion. Les deux instances chercheront, notamment, à conserver leur identité propre. Tout rapprochement prendra beaucoup de temps ; tous les accords qui lient chacune des deux instances à leurs partenaires devraient, par exemple, être renégociés. En attendant, une forme de coopération a déjà commencé. Madrid, par exemple, a prolongé la durée de son tournoi, qui durera désormais deux semaines. Nous devons, probablement, nous attendre à davantage de tournois combinés, à une mise en commun des ressources financières permettant une réduction des coûts et une augmentation des recettes.
Une idée positive
«Certaines joueuses ont la même envie. Si vous parliez aux joueuses, vous entendriez le même discours et leur conseil est aussi favorable à une plus grande collaboration. J’y crois vraiment. Il y a évidemment des obstacles, des questions économiques qui sont problématiques en cette période. Mais je pense que plus nous pousserons dans cette direction, et mieux ce sera», devait confirmer le P.D.G de la WTA. La route est encore longue et toute fusion prendra des années à se réaliser. Mais le fait que l’ATP et la WTA affichent leur volonté de travailler ensemble donne une idée de l’avenir du tennis.
Pour une meilleure lisibilité
Dans un premier temps, le patron de la WTA a déclaré à propos d’une fusion potentielle entre l’ATP et la WTA : «Le président de l’ATP, Andrea Gaudenzi, en a parlé, moi aussi. Plus nous travaillons ensemble, mieux ce sera. C’est l’exemple parfait. Quand j’ai contacté l’ATP pour leur expliquer que nous envisagions de faire cela et pourquoi, ils n’ont pas mégoté, alors qu’ils auraient pu. Je ne voulais pas nous engager sur leurs catégories de tournois sans qu’ils soutiennent cette idée. C’était avant tout pour une meilleure lisibilité».
Et de poursuivre : «C’est une étape très positive et ça montre, à chacun, que nous travaillons réellement main dans la main. Je pense que vous verrez encore plus l’ATP et la WTA travailler ensemble à l’avenir. On discute assez régulièrement».
Plus de tournois combinés
Donc, encore du chemin à parcourir pour arriver à cette fusion. Les deux instances chercheront, notamment, à conserver leur identité propre. Tout rapprochement prendra beaucoup de temps ; tous les accords qui lient chacune des deux instances à leurs partenaires devraient, par exemple, être renégociés. En attendant, une forme de coopération a déjà commencé. Madrid, par exemple, a prolongé la durée de son tournoi, qui durera désormais deux semaines. Nous devons, probablement, nous attendre à davantage de tournois combinés, à une mise en commun des ressources financières permettant une réduction des coûts et une augmentation des recettes.
Une idée positive
«Certaines joueuses ont la même envie. Si vous parliez aux joueuses, vous entendriez le même discours et leur conseil est aussi favorable à une plus grande collaboration. J’y crois vraiment. Il y a évidemment des obstacles, des questions économiques qui sont problématiques en cette période. Mais je pense que plus nous pousserons dans cette direction, et mieux ce sera», devait confirmer le P.D.G de la WTA. La route est encore longue et toute fusion prendra des années à se réaliser. Mais le fait que l’ATP et la WTA affichent leur volonté de travailler ensemble donne une idée de l’avenir du tennis.
*(Avec agences)