L’équipe nationale sur le sable de Dubaï.
Les 22 et 23 janvier, s’est joué à Dubaï le tournoi international ITF beach tennis Dubaï BT 50 qui a été organisé, sous l’égide de la Fédération Internationale de Tennis, par la fédération de tennis des Emirats Arabes Unis. Une compétition qui a vu la participation des meilleurs joueurs du monde de la discipline pour ne citer que le n°3, le Russe Nikita Burmakin, le n°4, l’Espagnol Miguel Ramos Vieira António ou encore le Vénézuélien et n°13 mondial, Guedez Ramon. Et sur invitation que les couleurs du Maroc ont flotté sous le ciel bleu de Dubaï par le billet des meilleurs joueurs de la perle bleue beach tennis club Saïdia en la personne d’Aymane Kaâouachi, Walid Mahdaoui, Adnane Chemalli, AlaeEddine Chemalli, Wassim Bouchiha et de Safae Bahman, avec comme chef de délégation, l’incontournable Hassan Kouachi qui est pour beaucoup dans la promotion de cette discipline en vogue dans notre pays.
Confirmer le leadership du Maroc
Ce dernier ne se faisait pas trop d’illusions, d’ailleurs, quant aux chances de ses poulains au milieu du gotha mondial du beach tennis. Pour lui, marquer la présence du Maroc, acquérir de l’expérience, multiplier les compétitions du genre pour améliorer le classement mondial de nos joueurs étaient, plutôt, ses objectifs principaux en prenant part à cet événement. Une participation qui n’a fait que confirmer le leadership du Maroc au niveau continental. D’ailleurs, à l’issue de ce tournoi, c’est le Maroc qui a occupé la première place des meilleurs joueurs africains par pays devant l’Afrique du Sud, la Mauritanie, la Tunisie, l’Égypte et fermant la marche l’Algérie.
Au niveau des résultats, nos représentants n’ont pu retrouver leur niveau qu’au sein du tableau «consolation», après avoir transité par le tableau majeur où ils se sont heurtés à des adversaires plus expérimentés et mondialement connus par leur technique et leur savoir-faire en la matière.
Talent et hargne !
C’est en «consolation», donc, que nos orientaux ont pu exhiber leur talent et leur hargne de vaincre tout en démontrant un jeu très accroché et plus mordant. Ainsi, Aymane Kaâouachi et Walid Mahdaoui sont arrivés au stade des quarts de finale, alors que leurs compères et frères Chemalli (Adnane et Alae-Eddine) ont joué un tour supplémentaire pour être stoppés en demi-finale par les futurs vainqueurs du tableau. Concernant le tableau principal, la palme féminine est revenue à l’Espagnole Marta Apraiz et à la Slovaque Katarina Palenikova, vainqueurs, par 6/2, 6/4, des Russes Ekaterina Kamenetckaia et Elena Kova. Côté masculin, le dernier mot est revenu au Russe Nikita Burmakin et à l’Italien Paolo Tronci, après leur victoire, par 6/1, 6/2, aux dépens des Péruviens Vladimir Helmut et Javier Mendez.
Confirmer le leadership du Maroc
Ce dernier ne se faisait pas trop d’illusions, d’ailleurs, quant aux chances de ses poulains au milieu du gotha mondial du beach tennis. Pour lui, marquer la présence du Maroc, acquérir de l’expérience, multiplier les compétitions du genre pour améliorer le classement mondial de nos joueurs étaient, plutôt, ses objectifs principaux en prenant part à cet événement. Une participation qui n’a fait que confirmer le leadership du Maroc au niveau continental. D’ailleurs, à l’issue de ce tournoi, c’est le Maroc qui a occupé la première place des meilleurs joueurs africains par pays devant l’Afrique du Sud, la Mauritanie, la Tunisie, l’Égypte et fermant la marche l’Algérie.
Au niveau des résultats, nos représentants n’ont pu retrouver leur niveau qu’au sein du tableau «consolation», après avoir transité par le tableau majeur où ils se sont heurtés à des adversaires plus expérimentés et mondialement connus par leur technique et leur savoir-faire en la matière.
Talent et hargne !
C’est en «consolation», donc, que nos orientaux ont pu exhiber leur talent et leur hargne de vaincre tout en démontrant un jeu très accroché et plus mordant. Ainsi, Aymane Kaâouachi et Walid Mahdaoui sont arrivés au stade des quarts de finale, alors que leurs compères et frères Chemalli (Adnane et Alae-Eddine) ont joué un tour supplémentaire pour être stoppés en demi-finale par les futurs vainqueurs du tableau. Concernant le tableau principal, la palme féminine est revenue à l’Espagnole Marta Apraiz et à la Slovaque Katarina Palenikova, vainqueurs, par 6/2, 6/4, des Russes Ekaterina Kamenetckaia et Elena Kova. Côté masculin, le dernier mot est revenu au Russe Nikita Burmakin et à l’Italien Paolo Tronci, après leur victoire, par 6/1, 6/2, aux dépens des Péruviens Vladimir Helmut et Javier Mendez.