Un fidèle habitué du podium de RolandGarros et une invitée surprise pour couronner, la quinzaine de cette édition qui n’avait rien à voir avec ses précédentes à cause du Covid-19. Seulement 1000 spectateurs par jour, pour les 12 hectares, qui ont eu la chance d’être tirés au sort pour occuper le peu de gradins des différents courts. Un huis clos déguisé au grand malheur des protagonistes de ce Majeur parisien qui n’étaient pas avares en critiques envers l’organisation, la programmation, l’arbitrage et autres conditions sanitaires qui n’étaient pas, du tout, de leur goût.
Il y a eu, même, des recours à la justice de la part des joueurs qui ont été écartés du tournoi pour la simple raison qu’ils seraient testés positifs. Chose qu’ils refusaient, catégoriquement, avec des justificatifs à l’appui.
Un parcours solide !
Avant de revenir, dans nos prochaines éditions, sur les résultats des autres tableaux qui étaient en compétition, revenons sur les deux finales majeurs en commençant par le tableau féminin avec le sacre de la jeune Polonaise, Iga Swiatek, qui, avec son classement à la 54e place, a bousculé toute la hiérarchie pour se mettre au diapason et soulever la coupe «Suzanne-Lenglen» au grand désarroi de sa rivale de la finale et tête de série n°4, l’Américaine Sofia Kenin.
Dix-neuf ans et déjà vainqueur de Roland-Garros. Iga Swiatek, aujourd’hui 17ème mondiale, a disposé, donc, de l’Américaine Sofia Kenin (n°6) 6-4 6-1. Toutefois, Kenin était diminuée par une blessure à la cuisse gauche. À 6-4, 2-1, elle a même demandé le kiné, avant de perdre 16 des 19 points restants. Swiatek, seigneuriale, devient la première Polonaise à s’imposer à Paris. En 2018, elle a remporté Wimbledon en junior avant d’être sèchement éliminée par Simona Halep en huitièmes de finale l’an dernier à Roland (1-6, 0-6). Cette saison, elle n’a pas cédé un seul set, sortant notamment Simona Halep, et a concédé, en moyenne, quatre jeux par rencontre. Un parcours solide, un jeu posé et réfléchi. Une promesse à confirmer pour la suite de sa carrière.
Nadal force 13
Pour sa part, Rafael Nadal, Impérial, a dominé Novak Djokovic, au terme d’une finale à sens unique (6/0, 6/2, 7/5 et 2h41) pour remporter son 13e RolandGarros 2020. Il conserve, ainsi, sa formidable invincibilité les jours de finale et continue son incroyable série de victoires sur le court «Philippe-Chatrier». C’est la troisième fois que Nadal domine Djokovic dans une finale à Roland-Garros, après 2012 et 2014. Ce treizième titre à Paris est aussi son vingtième titre du Grand Chelem. Nadal rejoint ainsi Roger Federer au palmarès des joueurs les plus titrés dans les tournois majeurs. «Je n’y pense pas, a déclaré le vainqueur, ce qui compte le plus, c’est avant tout ce 13e titre à Roland-Garros». Ce fut, aussi, l’occasion pour Nadal d’enregistrer son 999e match gagné et son soixantième titre sur terre battue.
Il y a eu, même, des recours à la justice de la part des joueurs qui ont été écartés du tournoi pour la simple raison qu’ils seraient testés positifs. Chose qu’ils refusaient, catégoriquement, avec des justificatifs à l’appui.
Un parcours solide !
Avant de revenir, dans nos prochaines éditions, sur les résultats des autres tableaux qui étaient en compétition, revenons sur les deux finales majeurs en commençant par le tableau féminin avec le sacre de la jeune Polonaise, Iga Swiatek, qui, avec son classement à la 54e place, a bousculé toute la hiérarchie pour se mettre au diapason et soulever la coupe «Suzanne-Lenglen» au grand désarroi de sa rivale de la finale et tête de série n°4, l’Américaine Sofia Kenin.
Dix-neuf ans et déjà vainqueur de Roland-Garros. Iga Swiatek, aujourd’hui 17ème mondiale, a disposé, donc, de l’Américaine Sofia Kenin (n°6) 6-4 6-1. Toutefois, Kenin était diminuée par une blessure à la cuisse gauche. À 6-4, 2-1, elle a même demandé le kiné, avant de perdre 16 des 19 points restants. Swiatek, seigneuriale, devient la première Polonaise à s’imposer à Paris. En 2018, elle a remporté Wimbledon en junior avant d’être sèchement éliminée par Simona Halep en huitièmes de finale l’an dernier à Roland (1-6, 0-6). Cette saison, elle n’a pas cédé un seul set, sortant notamment Simona Halep, et a concédé, en moyenne, quatre jeux par rencontre. Un parcours solide, un jeu posé et réfléchi. Une promesse à confirmer pour la suite de sa carrière.
Nadal force 13
Pour sa part, Rafael Nadal, Impérial, a dominé Novak Djokovic, au terme d’une finale à sens unique (6/0, 6/2, 7/5 et 2h41) pour remporter son 13e RolandGarros 2020. Il conserve, ainsi, sa formidable invincibilité les jours de finale et continue son incroyable série de victoires sur le court «Philippe-Chatrier». C’est la troisième fois que Nadal domine Djokovic dans une finale à Roland-Garros, après 2012 et 2014. Ce treizième titre à Paris est aussi son vingtième titre du Grand Chelem. Nadal rejoint ainsi Roger Federer au palmarès des joueurs les plus titrés dans les tournois majeurs. «Je n’y pense pas, a déclaré le vainqueur, ce qui compte le plus, c’est avant tout ce 13e titre à Roland-Garros». Ce fut, aussi, l’occasion pour Nadal d’enregistrer son 999e match gagné et son soixantième titre sur terre battue.
M. BELAOULA