À 22 ans, le Russe Andrey Rublev est au firmament et sur une pente ascendante pour occuper, aujourd’hui, la 8ème place mondiale pour prétendre à une place au Masters de Londres. Il aurait, même, occupé une meilleure place si seule l’année 2020 avait été prise en compte. Une année où il a réussi un joli palmarès avec 40 victoires pour 8 défaites et, surtout, le gain de cinq titres remportés sur le circuit ATP. Une victoire plus que le bilan de Djokovic, que personne d’autre n’a fait mieux. Le Russe a démarré fort en s’imposant à Doha puis à Auckland. Vint, après, la pause forcée de cinq mois à cause du Covid-19 qui n’a pas stoppé, pour autant son formidable parcours où il va, encore, triompher à Hambourg, à Saint-Pétersbourg et tout récemment à Vienne en plus de ses quarts de finale aux Grands Chelems de l’US Open et de Roland-Garros.
Sur la route de Londres
Le Moscovite est bien parti pour rejoindre Londres où il va disputer, pour la première fois de sa carrière, le Masters. Logiquement, si le format de qualification n’avait pas été adapté à la situation de cette saison très particulière, il aurait validé son billet depuis un moment déjà. Actuellement 8ème mondial, il est plus que jamais, donc, en course pour batailler avec les meilleurs joueurs du côté de l’O2 Arena. Mais si seuls les points de l’année 2020 avaient été pris en compte, il serait 4e mondial, uniquement devancé par Novak Djokovic, Rafael Nadal et Dominic Thiem.
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Et dire qu’avant cette année, Andrey Rublev n’avait, jamais mis les pieds dans le Top 20 du classement ATP. Il s’est immiscé dans le Top 100 en juin 2017, puis dans le Top 50 en juillet et, deux mois plus tard, dans le Top 40. Malheureusement pour lui, l’année 2018 va être parsemée des soucis physiques qui vont le repousser audelà de la 100e place mondiale début 2019. Mais, depuis le printemps de cette même année, il a fini par trouver le printemps à lui pour se mettre sur les talons du «BIG 3». Normalement, Rublev a, encore, une large marge de progression. Il doit maintenant viser plus haut avec le gain des Masters 1000 et, pourquoi pas des Grands Chelems en commençant, peut-être, dès cette année à Londres, puisque le Masters de Paris-Bercy lui a tourné le dos en se faisant éliminer, en huitièmes, par le revenant Stan Wawrinka qui a mis fin à l’invincibilité du Russe. Les quelques défauts techniques et physiques, qui l’ont jusqu’à présent empêché d’aller jusqu’au bout en Grand Chelem, ne sont pas, nécessairement, une mauvaise chose. La seule perspective de le voir devenir encore meilleur pour le reste de son parcours.
Sur la route de Londres
Le Moscovite est bien parti pour rejoindre Londres où il va disputer, pour la première fois de sa carrière, le Masters. Logiquement, si le format de qualification n’avait pas été adapté à la situation de cette saison très particulière, il aurait validé son billet depuis un moment déjà. Actuellement 8ème mondial, il est plus que jamais, donc, en course pour batailler avec les meilleurs joueurs du côté de l’O2 Arena. Mais si seuls les points de l’année 2020 avaient été pris en compte, il serait 4e mondial, uniquement devancé par Novak Djokovic, Rafael Nadal et Dominic Thiem.
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Et dire qu’avant cette année, Andrey Rublev n’avait, jamais mis les pieds dans le Top 20 du classement ATP. Il s’est immiscé dans le Top 100 en juin 2017, puis dans le Top 50 en juillet et, deux mois plus tard, dans le Top 40. Malheureusement pour lui, l’année 2018 va être parsemée des soucis physiques qui vont le repousser audelà de la 100e place mondiale début 2019. Mais, depuis le printemps de cette même année, il a fini par trouver le printemps à lui pour se mettre sur les talons du «BIG 3». Normalement, Rublev a, encore, une large marge de progression. Il doit maintenant viser plus haut avec le gain des Masters 1000 et, pourquoi pas des Grands Chelems en commençant, peut-être, dès cette année à Londres, puisque le Masters de Paris-Bercy lui a tourné le dos en se faisant éliminer, en huitièmes, par le revenant Stan Wawrinka qui a mis fin à l’invincibilité du Russe. Les quelques défauts techniques et physiques, qui l’ont jusqu’à présent empêché d’aller jusqu’au bout en Grand Chelem, ne sont pas, nécessairement, une mauvaise chose. La seule perspective de le voir devenir encore meilleur pour le reste de son parcours.