Les participants à la table ronde sur "Théâtre et résilience" ont indiqué que le théâtre a connu une rechute dans le répertoire présenté au public pendant cette crise pandémique. Ils étaient ainsi obligés de revoir leur façon de concevoir et de concrétiser toutes les composantes du spectacle (texte, jeu, mise en scène, costumes, musique, scénographie, production, communication).
Pour beaucoup d’entre eux, la pandémie était l'occasion d'établir un nouveau type de théâtre : Théâtre en ligne / Vidéo Théâtre, surtout après le succès de la diffusion à distance d'un certain nombre de pièces théâtrales. Ainsi, la résilience des artistes a pris plusieurs formes (spectacles enregistrés, ateliers à distance, webinaires, jeu dans la rue, là où les rassemblements de publics sont permis...).
Dans ce contexte, le président du Festival et doyen de la Faculté des Lettres et des Sciences Humaines Ben M'sik, Abdelkader Gonegai, a indiqué que le théâtre a été affecté, en grande partie, par la pandémie, ce qui a poussé les professionnels du secteur à s'adapter, autant que possible, avec cette conjoncture exceptionnelle (spectacles sans public, présentation de pièces à distance...).
De son côté, le dramaturge El Meskini Sghir a relevé que la question d'adaptation à cette situation particulière s'impose avec force afin de permettre au théâtre de jouer son rôle de sensibilisation.
Dans le même ordre d'idées, le professeur universitaire Kacem Merkata a affirmé que le théâtre, sous l'ère de cette période exceptionnelle, a pu se libérer de toute arrière-pensée pour aller de l'avant.
Pour sa part, le professeur et artiste Abdellatif Nassib Mesnaoui a estimé que les artistes au Maroc, comme partout dans le monde, sont parvenus à faire face à la pandémie, en créant de nouveaux rapports avec le public et eux-mêmes pour assurer la continuité, malgré les contraintes posées.
Après avoir rappelé que la plupart des salles de spectacle et de théâtre sont restées fermées depuis l'apparition du covid-19, il a noté que les artistes ont trouvé le moyen d'exposer leurs oeuvres et créations dans les rues, à proximité des maisons et à travers le monde numérique, en dépit des mesures préventives.
Quant au professeur universitaire Miloud Bouchaib, il a indiqué que l'adaptation est une opération dynamique continue reflétant la capacité à accompagner les nouvelles mutations pour créer un certain équilibre et relever les défis. L'opération d'adaptation constitue, selon lui, une composante essentielle pour l'édification de l'action théâtrale à travers l'histoire, que ce soit au niveau de la mise en scène, de la présentation ou du contact avec le public.
Organisée cette année en présentiel et en ligne, la 33ème édition du FITUC se tient du 26 au 30 octobre, sous le thème "Théâtre et résilience", avec la participation de pays de différents continents.
Pour beaucoup d’entre eux, la pandémie était l'occasion d'établir un nouveau type de théâtre : Théâtre en ligne / Vidéo Théâtre, surtout après le succès de la diffusion à distance d'un certain nombre de pièces théâtrales. Ainsi, la résilience des artistes a pris plusieurs formes (spectacles enregistrés, ateliers à distance, webinaires, jeu dans la rue, là où les rassemblements de publics sont permis...).
Dans ce contexte, le président du Festival et doyen de la Faculté des Lettres et des Sciences Humaines Ben M'sik, Abdelkader Gonegai, a indiqué que le théâtre a été affecté, en grande partie, par la pandémie, ce qui a poussé les professionnels du secteur à s'adapter, autant que possible, avec cette conjoncture exceptionnelle (spectacles sans public, présentation de pièces à distance...).
De son côté, le dramaturge El Meskini Sghir a relevé que la question d'adaptation à cette situation particulière s'impose avec force afin de permettre au théâtre de jouer son rôle de sensibilisation.
Dans le même ordre d'idées, le professeur universitaire Kacem Merkata a affirmé que le théâtre, sous l'ère de cette période exceptionnelle, a pu se libérer de toute arrière-pensée pour aller de l'avant.
Pour sa part, le professeur et artiste Abdellatif Nassib Mesnaoui a estimé que les artistes au Maroc, comme partout dans le monde, sont parvenus à faire face à la pandémie, en créant de nouveaux rapports avec le public et eux-mêmes pour assurer la continuité, malgré les contraintes posées.
Après avoir rappelé que la plupart des salles de spectacle et de théâtre sont restées fermées depuis l'apparition du covid-19, il a noté que les artistes ont trouvé le moyen d'exposer leurs oeuvres et créations dans les rues, à proximité des maisons et à travers le monde numérique, en dépit des mesures préventives.
Quant au professeur universitaire Miloud Bouchaib, il a indiqué que l'adaptation est une opération dynamique continue reflétant la capacité à accompagner les nouvelles mutations pour créer un certain équilibre et relever les défis. L'opération d'adaptation constitue, selon lui, une composante essentielle pour l'édification de l'action théâtrale à travers l'histoire, que ce soit au niveau de la mise en scène, de la présentation ou du contact avec le public.
Organisée cette année en présentiel et en ligne, la 33ème édition du FITUC se tient du 26 au 30 octobre, sous le thème "Théâtre et résilience", avec la participation de pays de différents continents.