Un phénomène dont l’impact est indéniable sur l’activité économique de la ville, où bien de «professions» saisonnières s’en trouvent d’ailleurs boostées. L’engouement est de taille que de nombreuses familles n’hésitent d’ailleurs pas à transformer leurs habitations en hébergements à louer.
D’autres voient leurs enfants, souvent des étudiants, exercer une profession pour les aider financièrement, voire pour se faire de l’argent de poche qui leur servira tout au long de l’année, etc…
Cependant ce triste constat vient dénoncer à chaque fois à El Jadida, la capacité d’hébergement de la capitale des Doukkala, qui semble selon les observateurs, touchée de plein fouet, notamment après la fermeture du Camping Caravaning international et deux autres grandes unités hôtelières très connues dans la ville Selon une étude récente, nous précisent des professionnels du secteur, il importe de formuler un certain nombre de remarques et de recommandations pouvant enrichir la conduite de la stratégie du développement du tourisme interne, que ce soit à El Jadida, ou /et partout ailleurs.
Entre autres: - Trouver une solution qui arrange toutes les parties aux unités d’hébergement fermées à El Jadida ; - L’élargissement du programme «Vacances pour tous», ainsi que la concentration des efforts sur le développement d’une multitude de projets relevant du tourisme social et ciblant les populations défavorisées pour démocratiser l’accès au tourisme interne.
De leur part, les opérateurs touristiques devraient adhérer à ces actions, en réservant une partie de leur offre aux résidents à revenu faible ; - Capitaliser sur le concept de «Kounouz Biladi», par l’intensification de la campagne de promotion de l’offre destinée aux touristes locaux.
Pour sa part, précise un membre du CRT, l’Office National Marocain du Tourisme (ONMT) devrait consolider les actions entreprises en partenariat avec la Confédération Nationale du Tourisme (CNT) pour coordonner la promotion du tourisme local à travers une campagne permanente visant à convaincre les Marocains de passer leurs vacances dans leur pays. Il est également d’une extrême importance d’insister sur la diversité des supports de communication qui doivent inclurent les canaux classiques (télévision, radio, magazines, journaux...), toute en s’ouvrant sur l’e-tourisme et le m-tourisme (via le mobile).
Il faut également, poursuit la même source, tabler sur l’évènementiel comme un facteur qui stimule les déplacements des touristes internes entre les différentes villes du Maroc. Ainsi, le ministère du Tourisme pourrait renforcer sa collaboration avec celui de la Culture en matière d’organisation des festivals (promotion de l’évènement, recherche des sponsors, mobilisation des infrastructures d’hébergement pour accueillir les participants et les visiteurs...).
D’autres voient leurs enfants, souvent des étudiants, exercer une profession pour les aider financièrement, voire pour se faire de l’argent de poche qui leur servira tout au long de l’année, etc…
Cependant ce triste constat vient dénoncer à chaque fois à El Jadida, la capacité d’hébergement de la capitale des Doukkala, qui semble selon les observateurs, touchée de plein fouet, notamment après la fermeture du Camping Caravaning international et deux autres grandes unités hôtelières très connues dans la ville Selon une étude récente, nous précisent des professionnels du secteur, il importe de formuler un certain nombre de remarques et de recommandations pouvant enrichir la conduite de la stratégie du développement du tourisme interne, que ce soit à El Jadida, ou /et partout ailleurs.
Entre autres: - Trouver une solution qui arrange toutes les parties aux unités d’hébergement fermées à El Jadida ; - L’élargissement du programme «Vacances pour tous», ainsi que la concentration des efforts sur le développement d’une multitude de projets relevant du tourisme social et ciblant les populations défavorisées pour démocratiser l’accès au tourisme interne.
De leur part, les opérateurs touristiques devraient adhérer à ces actions, en réservant une partie de leur offre aux résidents à revenu faible ; - Capitaliser sur le concept de «Kounouz Biladi», par l’intensification de la campagne de promotion de l’offre destinée aux touristes locaux.
Pour sa part, précise un membre du CRT, l’Office National Marocain du Tourisme (ONMT) devrait consolider les actions entreprises en partenariat avec la Confédération Nationale du Tourisme (CNT) pour coordonner la promotion du tourisme local à travers une campagne permanente visant à convaincre les Marocains de passer leurs vacances dans leur pays. Il est également d’une extrême importance d’insister sur la diversité des supports de communication qui doivent inclurent les canaux classiques (télévision, radio, magazines, journaux...), toute en s’ouvrant sur l’e-tourisme et le m-tourisme (via le mobile).
Il faut également, poursuit la même source, tabler sur l’évènementiel comme un facteur qui stimule les déplacements des touristes internes entre les différentes villes du Maroc. Ainsi, le ministère du Tourisme pourrait renforcer sa collaboration avec celui de la Culture en matière d’organisation des festivals (promotion de l’évènement, recherche des sponsors, mobilisation des infrastructures d’hébergement pour accueillir les participants et les visiteurs...).
Mohamed LOKHNATI