AFP
Cette galerie souterraine, construite à 12 mètres de profondeur, a été découverte durant une perquisition dans un entrepôt d'une zone industrielle Tarajal de Sebta, située le long du mur séparant l’enclave et le Maroc.
"Il s'agit d'une construction étroite, renforcée avec du bois" et "qui pourrait avoir été utilisée pour transporter de la drogue entre le Maroc et l'Espagne", indique un communiqué la Garde civile.
Selon des médias espagnols, le tunnel ferait au moins 50 mètres de long, soit la distance séparant l'entrepôt de la frontière marocaine. Mais il pourrait être encore plus long, les autorités n'ayant pas encore repéré l'endroit exact où il débouche.
Cette découverte a été faite dans le cadre d'une opération visant "plusieurs organisations criminelles" accusées d'avoir introduit "de grandes quantités de drogue dans la péninsule" ibérique, en les dissimulant dans des véhicules de gros tonnage", précise la Garde civile.
Cette opération, baptisée Hadès, a permis d'interpeller 14 personnes au cours des trois dernières semaines, dont "deux gardes civils", en lien avec "la découverte de 6.000 kilos de haschich" dans des camions qui disposaient d'un double fond, précise le communiqué.
"Il s'agit d'une construction étroite, renforcée avec du bois" et "qui pourrait avoir été utilisée pour transporter de la drogue entre le Maroc et l'Espagne", indique un communiqué la Garde civile.
Selon des médias espagnols, le tunnel ferait au moins 50 mètres de long, soit la distance séparant l'entrepôt de la frontière marocaine. Mais il pourrait être encore plus long, les autorités n'ayant pas encore repéré l'endroit exact où il débouche.
Cette découverte a été faite dans le cadre d'une opération visant "plusieurs organisations criminelles" accusées d'avoir introduit "de grandes quantités de drogue dans la péninsule" ibérique, en les dissimulant dans des véhicules de gros tonnage", précise la Garde civile.
Cette opération, baptisée Hadès, a permis d'interpeller 14 personnes au cours des trois dernières semaines, dont "deux gardes civils", en lien avec "la découverte de 6.000 kilos de haschich" dans des camions qui disposaient d'un double fond, précise le communiqué.
