"Les médiateurs (au Qatar) nous ont transmis mardi soir la position" d'Israël vis-à-vis de la proposition du Hamas, "qui est globalement négative et ne répond pas aux aspirations de notre peuple", a-t-il dit lors d'une conférence de presse dans la capitale libanaise.
Il a estimé que cette réponse constituait "un recul" par rapport à ses positions "transmises précédemment aux médiateurs" et qu'elle est "de nature à entraver les négociations et peut-être les conduire vers l'impasse".
M. Hamdane n'a pas donné de précisions sur le contenu de la réponse israélienne.
Des médiateurs -- Etats-Unis, Qatar et Egypte -- tentent de parvenir à une trêve dans la guerre entre Israël et le Hamas, en cours depuis le 7 octobre.
Le Hamas s'est dit prêt, dans une nouvelle proposition transmise la semaine dernière aux médiateurs, à une trêve de six semaines, pendant laquelle 42 otages --femmes, enfants, personnes âgées et malades-- seraient libérés en échange de 20 à 50 prisonniers palestiniens contre chaque otage relâché.
Il réclame aussi un retrait de l'armée israélienne de Gaza et l'entrée plus importante des aides, a souligné M. Hamdane.
Les déclarations du responsable du Hamas surviennent alors que le secrétaire d'Etat américain Antony Blinken a entamé mercredi en Arabie saoudite une nouvelle tournée au Moyen-Orient axée sur les efforts en vue d'une trêve humanitaire à Gaza.
M. Blinken a dit qu'il aborderait les efforts en vue de parvenir "à un accord de cessez-le-feu immédiat garantissant la libération de tous les otages restants", et l'intensification des efforts visant à accroître l'aide humanitaire au territoire palestinien au bord de la famine.
Le Hamas a lancé le 7 octobre depuis Gaza une attaque sans précédent en territoire israélien qui a entraîné la mort d'au moins 1.160 personnes, pour la plupart des civils.
En représailles, l'armée israélienne a lancé des opérations militaires dans la bande de Gaza qui ont fait jusqu'à présent 31.923 morts, en majorité des civils, et provoqué une catastrophe humanitaire dans le territoire assiégé.
Il a estimé que cette réponse constituait "un recul" par rapport à ses positions "transmises précédemment aux médiateurs" et qu'elle est "de nature à entraver les négociations et peut-être les conduire vers l'impasse".
M. Hamdane n'a pas donné de précisions sur le contenu de la réponse israélienne.
Des médiateurs -- Etats-Unis, Qatar et Egypte -- tentent de parvenir à une trêve dans la guerre entre Israël et le Hamas, en cours depuis le 7 octobre.
Le Hamas s'est dit prêt, dans une nouvelle proposition transmise la semaine dernière aux médiateurs, à une trêve de six semaines, pendant laquelle 42 otages --femmes, enfants, personnes âgées et malades-- seraient libérés en échange de 20 à 50 prisonniers palestiniens contre chaque otage relâché.
Il réclame aussi un retrait de l'armée israélienne de Gaza et l'entrée plus importante des aides, a souligné M. Hamdane.
Les déclarations du responsable du Hamas surviennent alors que le secrétaire d'Etat américain Antony Blinken a entamé mercredi en Arabie saoudite une nouvelle tournée au Moyen-Orient axée sur les efforts en vue d'une trêve humanitaire à Gaza.
M. Blinken a dit qu'il aborderait les efforts en vue de parvenir "à un accord de cessez-le-feu immédiat garantissant la libération de tous les otages restants", et l'intensification des efforts visant à accroître l'aide humanitaire au territoire palestinien au bord de la famine.
Le Hamas a lancé le 7 octobre depuis Gaza une attaque sans précédent en territoire israélien qui a entraîné la mort d'au moins 1.160 personnes, pour la plupart des civils.
En représailles, l'armée israélienne a lancé des opérations militaires dans la bande de Gaza qui ont fait jusqu'à présent 31.923 morts, en majorité des civils, et provoqué une catastrophe humanitaire dans le territoire assiégé.