Le multimilliardaire Elon Musk a averti dans un tweet ce lundi que les comptes inactifs depuis plusieurs années seront retirés de la plateforme : " Nous éliminons les comptes qui n'ont pas du tout été actifs depuis des années, donc vous allez probablement voir votre nombre d'abonnés chuter", a averti le patron du réseau social dans un tweet.
Pour rappel, le patron de twitter a effectué plusieurs changements draconiens ces derniers mois, dont on cite entre autres l’abonnement payant Twitter Blue. Ces mises à jour ont d’ailleurs suscité l’indignation de nombreux utilisateurs et annonceurs qui ont ensuite déserté l'application.
Mais pour cette mise à jour, les avis ont été plus ou moins positifs. Encouragé par les retours de ses fans, Musk s’est avisé de lancer un sondage dimanche avant l’annonce officielle en demandant : «Nous travaillons dur pour rendre votre fil aussi intéressant que possible (...) Comment est-ce qu’il peut être aujourd’hui comparé à il y a six mois?».
Les résultats ont été surprenants puisque environ 46% du 1,5 million de votants ont répondu «mieux», et 38% ont répondu «pire».
Quand les marques choisissent le support où faire de la publicité, elles prennent en compte différentes mesures, dont le nombre d’utilisateurs actifs au quotidien (ou au moins une fois par mois), le temps passé en moyenne sur la plateforme ou encore «l’engagement», c’est-à-dire le nombre d’interactions avec les contenus (commentaires, « like », etc).
Ainsi, dans une vision de maximisation du temps d’utilisation passé sur la plateforme sans regret, Musk a détaillé, lors d'une conférence pour les professionnels de la publicité à Miami (Floride) le mois dernier, que le "temps passé sans regret", "ce n'est pas comme le nombre total d'utilisateurs ou autre. C'est juste le nombre total de minutes d'utilisation sans regret".
Toutefois, il n'a pas précisé comment mesurer ce paramètre, dont le nom laisse à penser qu’il relève d’une appréciation plutôt subjective.
Selon le cabinet d'études Insider Intelligence, les recettes de Twitter chuteront de 28% cette année car "les annonceurs ne font pas confiance à Musk".
D’ailleurs, dans une interview donnée à la BBC, ce dernier a assuré au contraire que l'entreprise voyait les annonceurs revenir et se trouvait «à peu près au seuil de rentabilité».
Pour rappel, le patron de twitter a effectué plusieurs changements draconiens ces derniers mois, dont on cite entre autres l’abonnement payant Twitter Blue. Ces mises à jour ont d’ailleurs suscité l’indignation de nombreux utilisateurs et annonceurs qui ont ensuite déserté l'application.
Mais pour cette mise à jour, les avis ont été plus ou moins positifs. Encouragé par les retours de ses fans, Musk s’est avisé de lancer un sondage dimanche avant l’annonce officielle en demandant : «Nous travaillons dur pour rendre votre fil aussi intéressant que possible (...) Comment est-ce qu’il peut être aujourd’hui comparé à il y a six mois?».
Les résultats ont été surprenants puisque environ 46% du 1,5 million de votants ont répondu «mieux», et 38% ont répondu «pire».
Quand les marques choisissent le support où faire de la publicité, elles prennent en compte différentes mesures, dont le nombre d’utilisateurs actifs au quotidien (ou au moins une fois par mois), le temps passé en moyenne sur la plateforme ou encore «l’engagement», c’est-à-dire le nombre d’interactions avec les contenus (commentaires, « like », etc).
Ainsi, dans une vision de maximisation du temps d’utilisation passé sur la plateforme sans regret, Musk a détaillé, lors d'une conférence pour les professionnels de la publicité à Miami (Floride) le mois dernier, que le "temps passé sans regret", "ce n'est pas comme le nombre total d'utilisateurs ou autre. C'est juste le nombre total de minutes d'utilisation sans regret".
Toutefois, il n'a pas précisé comment mesurer ce paramètre, dont le nom laisse à penser qu’il relève d’une appréciation plutôt subjective.
Selon le cabinet d'études Insider Intelligence, les recettes de Twitter chuteront de 28% cette année car "les annonceurs ne font pas confiance à Musk".
D’ailleurs, dans une interview donnée à la BBC, ce dernier a assuré au contraire que l'entreprise voyait les annonceurs revenir et se trouvait «à peu près au seuil de rentabilité».
