Ainsi, le réseau social américain a rétropédalé après avoir supprimé pendant quelques heures sa fonction de sécurité visant à prévenir les suicides et à aider les personnes en détresse. Il a dit s’employer à ramener la bannière #ThereIsHelp, une fonctionnalité qui oriente les utilisateurs vers des lignes d’assistance téléphonique pour la prévention du suicide. Les messages de prévention ont, en effet, été rétablis samedi 24 décembre, selon l’agence Reuters, qui rapporte que la société avait supprimé l’outil de sécurité plus tôt dans la semaine sur ordre d’Elon Musk.
À l’annonce de cette suppression vendredi, une opée d’organisations et d’experts du milieu avaient vivement critiqué cette nouvelle décision. Le suicide est un phénomène complexe qui résulte de l’interaction de nombreux facteurs. Depuis plusieurs années, Twitter élabore des actions concrètes pour prévenir le suicide en a chant un message d’avertissement après la recherche de certains termes, pour alerter les comportements autodestructeurs à travers le virtuel.
Dans ce même sillage, Ella Irwin, responsable de la confiance et de la sécurité de Twitter, a confirmé la suppression, et a dévoilé qu’elle était temporaire. “Nous avons corrigé et réorganisé nos invites. Ils ont juste été temporairement retirés pendant que nous faisions cela», a-t-elle précisé à Reuters.
Et de poursuivre : “Nous prévoyons de les récupérer la semaine prochaine.” Au moment où Musk a acheté la société, la fonctionnalité a été étendue pour montrer les informations liées aux recherches de catastrophes naturelles en Indonésie et en Malaisie. Samedi matin, Musk a nié que Twitter ait jamais supprimé la fonctionnalité. «Le message est en fait toujours en place. Ce sont de fausses nouvelles », écrit Musk sur Twitter, ajoutant: “Twitter n’empêche pas le suicide”.
Quand on s’est mis à chercher des termes comme “suicide” et “COVID- 19” samedi après-midi, la bannière n’est pas apparue. Twitter prévoit d’adopter une approche utilisée par Google dans ce registre. La suppression de la fonction #ThereIsHelp, a valu à Twitter de vives critiques de la part de certains défenseurs de la sécurité des consommateurs.
Eirliani Abdul Rahman, un ancien membre du conseil de confiance et de sécurité de l’entreprise, récemment dissous, a déclaré à Reuters qu’il avait trouvé l’événement “extrêmement déconcertant et profondément troublant”. Il a également fait observer que les entreprises travaillent généralement sur les dispositifs de sécurité “en parallèle”, en laissant ceux qui existent déjà en place jusqu’à finalisation du processus.
À l’annonce de cette suppression vendredi, une opée d’organisations et d’experts du milieu avaient vivement critiqué cette nouvelle décision. Le suicide est un phénomène complexe qui résulte de l’interaction de nombreux facteurs. Depuis plusieurs années, Twitter élabore des actions concrètes pour prévenir le suicide en a chant un message d’avertissement après la recherche de certains termes, pour alerter les comportements autodestructeurs à travers le virtuel.
Dans ce même sillage, Ella Irwin, responsable de la confiance et de la sécurité de Twitter, a confirmé la suppression, et a dévoilé qu’elle était temporaire. “Nous avons corrigé et réorganisé nos invites. Ils ont juste été temporairement retirés pendant que nous faisions cela», a-t-elle précisé à Reuters.
Et de poursuivre : “Nous prévoyons de les récupérer la semaine prochaine.” Au moment où Musk a acheté la société, la fonctionnalité a été étendue pour montrer les informations liées aux recherches de catastrophes naturelles en Indonésie et en Malaisie. Samedi matin, Musk a nié que Twitter ait jamais supprimé la fonctionnalité. «Le message est en fait toujours en place. Ce sont de fausses nouvelles », écrit Musk sur Twitter, ajoutant: “Twitter n’empêche pas le suicide”.
Quand on s’est mis à chercher des termes comme “suicide” et “COVID- 19” samedi après-midi, la bannière n’est pas apparue. Twitter prévoit d’adopter une approche utilisée par Google dans ce registre. La suppression de la fonction #ThereIsHelp, a valu à Twitter de vives critiques de la part de certains défenseurs de la sécurité des consommateurs.
Eirliani Abdul Rahman, un ancien membre du conseil de confiance et de sécurité de l’entreprise, récemment dissous, a déclaré à Reuters qu’il avait trouvé l’événement “extrêmement déconcertant et profondément troublant”. Il a également fait observer que les entreprises travaillent généralement sur les dispositifs de sécurité “en parallèle”, en laissant ceux qui existent déjà en place jusqu’à finalisation du processus.
