Le président américain Donald Trump a déclaré avoir parlé au téléphone avec son homologue russe Vladimir Poutine pour tenter de négocier la fin de la guerre en Ukraine. Interrogé sur le nombre de fois où il avait parlé à Poutine, Trump a répondu : «Je préfère ne pas le dire».
Dans une interview exclusive accordée au New York Post alors qu'il était à bord d'Air Force One, Trump a déclaré que la guerre qui a éclaté il y a trois ans «n'aurait pas eu lieu» s'il avait été président en 2022, blâmant l'ancien président américain Joe Biden.
Trump a souligné qu'il avait «toujours eu une bonne relation avec Poutine», contrairement à son prédécesseur Biden, qu'il a décrit comme une «farce» des États-Unis d'Amérique.
Il a révélé qu'il avait un plan précis pour mettre fin à la guerre, déclarant : «J'espère que la fin de la guerre sera rapide».
Trump a exprimé son désir de conclure un accord de 500 millions de dollars avec le président ukrainien Volodymyr Zelensky pour accéder aux minéraux rares et au gaz d'Ukraine en échange de garanties de sécurité dans tout éventuel accord de paix.
Dans une interview exclusive accordée au New York Post alors qu'il était à bord d'Air Force One, Trump a déclaré que la guerre qui a éclaté il y a trois ans «n'aurait pas eu lieu» s'il avait été président en 2022, blâmant l'ancien président américain Joe Biden.
Trump a souligné qu'il avait «toujours eu une bonne relation avec Poutine», contrairement à son prédécesseur Biden, qu'il a décrit comme une «farce» des États-Unis d'Amérique.
Il a révélé qu'il avait un plan précis pour mettre fin à la guerre, déclarant : «J'espère que la fin de la guerre sera rapide».
Trump a exprimé son désir de conclure un accord de 500 millions de dollars avec le président ukrainien Volodymyr Zelensky pour accéder aux minéraux rares et au gaz d'Ukraine en échange de garanties de sécurité dans tout éventuel accord de paix.
Ni confirmation ni infirmation russes
De son côté, le porte-parole du Kremlin, Dmitri Peskov, a commenté devant les médias les propos de Trump, affirmant qu'il ne pouvait «ni confirmer ni infirmer les informations sur la conversation entre les présidents russe et américain», rapporte l'agence de presse officielle TASS ajoutant que Peskov a laissé entendre qu'il n'était pas au courant d'un appel.
"Que puis-je dire à propos de cette information? Au fur et à mesure que l'administration à Washington développe son travail, de nombreuses communications différentes se produisent. Et ces communications passent par différents canaux", a-t-il expliqué.
"Et bien sûr, en raison de ces nombreuses communications, moi personnellement, je peux ne pas savoir quelque chose, ne pas être au courant de quelque chose. Par conséquent, dans ce cas, je ne peux ni confirmer ni infirmer cette information", a ajouté le porte-parole.
Peskov a précédemment démenti à plusieurs reprises les informations concernant des conversations téléphoniques entre les deux dirigeants avant le retour du républicain à la Maison Blanche.
Le Kremlin a affirmé attendre des "signaux" sur une éventuelle rencontre.
Aussi, ni Washington ni Moscou n'ont officiellement confirmé aucune communication entre les deux dirigeants depuis l'entrée en fonction de Trump qui avait promis de mettre rapidement fin aux combats en Ukraine.
