La valeur "Travail" a rimé depuis la nuit des temps, avec source de revenu, création de richesse, émancipation, ascension sociale, accomplissement, dignité, liberté... etc.
Quatre facteurs majeurs sont venus relativiser, nuancer, métamorphoser même, ces qualificatifs qui oscillent entre nature et culture, entre rationnel et émotionnel.
1- le facteur "Révolution Technologique" qui a structurellement changé le fondement même du travail en termes de performance, de rendement, de niveau de pénibilité et de diversité.
Des métiers ont disparu, d'autres ont été totalement ou partiellement délégués à la machine, d'autres ont été mieux maîtrisés, et bien d'autres ont été créés.
2- le facteur "Valeurs Universelles", qui a structurellement métamorphosé la conception, la perception et le rapport même au travail en termes de libertés, de droits, de rémunération et de rapports économiques et sociaux.
L'esclavagisme, l'exploitation et la semaine de 84 heures, ont de plus en plus cédé la place, au prix de luttes sociales, à de nouveaux rapports entre le Capital et le Travail.
3- le facteur "Réseaux Sociaux" qui a structurellement changé outre les rapports sociaux, la consistance du travail.
Ils se sont vite érigés en machine virtuelle infernale à faire émerger de nouveaux métiers, de nouveaux acteurs, de nouveaux espaces et moyens de travail, de nouvelles valeurs même.
4- le facteur "Pandémie du Coronavirus" qui a structurellement relativisé en l'espace de deux années de confinement, la notion même de la vie et l'a ouvert aussi bien au scénario du pire immédiat, qu'à une soif brûlante chez les humains, à vivre pleinement ici et maintenant.
Si le Coronavirus a rendu la mort tragiquement plus familière, son corollaire obligé, le télétravail, a domestiqué le travail, l'a désacralisé, l'a libéré, et ouvert les esprits et les... yeux sur des perspectives et des horizons porteurs de plus d'émancipation.
Ces quatre facteurs ont radicalement et définitivement changé en très peu de temps, la vie humaine, les rapports humains, la notion, la perception, l'exercice et le lieu même du travail.
Le travail à domicile ou dans la nature, la semaine de quatre jours, la journée de 6h, le travail individuel, le recours à une intelligence artificielle libératrice, sont incontestablement le prélude d'un Nouveau Monde que les élites de tous bords, doivent vite intégrer et digérer pour nous préparer à sa meilleure appropriation.
Rien ou presque en tout cas, ne sera plus comme avant. Ni le Travail, ni l'Enseignement, ni l'espérance de vie, ni la retraite, ni les divertissements, ni les rapports sociaux, familiaux, de couple, intergénérationnels.
Bref, l'humanité n’avance jamais à reculons. Elle le fait par accumulations progressives et non par déconstructions compulsives. C’est juste le temps du futur qui changera selon la vitesse d'arrimage de chaque société à ce destin nouveau, inéluctable.
Qui vivra verra !!
Quatre facteurs majeurs sont venus relativiser, nuancer, métamorphoser même, ces qualificatifs qui oscillent entre nature et culture, entre rationnel et émotionnel.
1- le facteur "Révolution Technologique" qui a structurellement changé le fondement même du travail en termes de performance, de rendement, de niveau de pénibilité et de diversité.
Des métiers ont disparu, d'autres ont été totalement ou partiellement délégués à la machine, d'autres ont été mieux maîtrisés, et bien d'autres ont été créés.
2- le facteur "Valeurs Universelles", qui a structurellement métamorphosé la conception, la perception et le rapport même au travail en termes de libertés, de droits, de rémunération et de rapports économiques et sociaux.
L'esclavagisme, l'exploitation et la semaine de 84 heures, ont de plus en plus cédé la place, au prix de luttes sociales, à de nouveaux rapports entre le Capital et le Travail.
3- le facteur "Réseaux Sociaux" qui a structurellement changé outre les rapports sociaux, la consistance du travail.
Ils se sont vite érigés en machine virtuelle infernale à faire émerger de nouveaux métiers, de nouveaux acteurs, de nouveaux espaces et moyens de travail, de nouvelles valeurs même.
4- le facteur "Pandémie du Coronavirus" qui a structurellement relativisé en l'espace de deux années de confinement, la notion même de la vie et l'a ouvert aussi bien au scénario du pire immédiat, qu'à une soif brûlante chez les humains, à vivre pleinement ici et maintenant.
Si le Coronavirus a rendu la mort tragiquement plus familière, son corollaire obligé, le télétravail, a domestiqué le travail, l'a désacralisé, l'a libéré, et ouvert les esprits et les... yeux sur des perspectives et des horizons porteurs de plus d'émancipation.
Ces quatre facteurs ont radicalement et définitivement changé en très peu de temps, la vie humaine, les rapports humains, la notion, la perception, l'exercice et le lieu même du travail.
Le travail à domicile ou dans la nature, la semaine de quatre jours, la journée de 6h, le travail individuel, le recours à une intelligence artificielle libératrice, sont incontestablement le prélude d'un Nouveau Monde que les élites de tous bords, doivent vite intégrer et digérer pour nous préparer à sa meilleure appropriation.
Rien ou presque en tout cas, ne sera plus comme avant. Ni le Travail, ni l'Enseignement, ni l'espérance de vie, ni la retraite, ni les divertissements, ni les rapports sociaux, familiaux, de couple, intergénérationnels.
Bref, l'humanité n’avance jamais à reculons. Elle le fait par accumulations progressives et non par déconstructions compulsives. C’est juste le temps du futur qui changera selon la vitesse d'arrimage de chaque société à ce destin nouveau, inéluctable.
Qui vivra verra !!
Najib Mikou