Le yoga est une discipline qui apporte beaucoup de bienfaits d’ordre physique mais aussi respiratoires. Il est connu que ceux qui la pratiquent régulièrement apprennent à se détendre, à mieux gérer leur stress ou encore à éliminer les pensées parasites.
Les derniers travaux menés par des chercheurs québécois montrent que le yoga peut aussi réduire de manière significative la pression artérielle chez les patients souffrant de pré-hypertension. Les chercheurs ont fait appel à 60 patients souffrant de cette condition physique mais qui demeuraient néanmoins en bonne santé. Ces derniers ont été répartis au hasard dans deux groupes sur une durée de trois mois.
Les membres du premier groupe ont pratiqué du yoga combiné à des changements de style de vie (alimentation, sport) et ceux du second groupe ont seulement changé d’hygiène de vie. Les séances de yoga que les patients réalisaient à domicile à raison d’une heure par jour incluaient des exercices d’étirement, de contrôle de la respiration et de la méditation.
Au terme de la période de suivi, les chercheurs ont constaté une diminution de la pression artérielle systolique et diastolique au repos, de la pression artérielle moyenne et de la fréquence cardiaque dans les deux groupes. Mais le groupe yoga bénéficiait d’une amélioration nettement supérieure avec notamment, une baisse de la pression artérielle systolique. La fréquence cardiaque au repos et le risque cardiovasculaire à 10 ans était également meilleurs dans le groupe yoga.
Les derniers travaux menés par des chercheurs québécois montrent que le yoga peut aussi réduire de manière significative la pression artérielle chez les patients souffrant de pré-hypertension. Les chercheurs ont fait appel à 60 patients souffrant de cette condition physique mais qui demeuraient néanmoins en bonne santé. Ces derniers ont été répartis au hasard dans deux groupes sur une durée de trois mois.
Les membres du premier groupe ont pratiqué du yoga combiné à des changements de style de vie (alimentation, sport) et ceux du second groupe ont seulement changé d’hygiène de vie. Les séances de yoga que les patients réalisaient à domicile à raison d’une heure par jour incluaient des exercices d’étirement, de contrôle de la respiration et de la méditation.
Au terme de la période de suivi, les chercheurs ont constaté une diminution de la pression artérielle systolique et diastolique au repos, de la pression artérielle moyenne et de la fréquence cardiaque dans les deux groupes. Mais le groupe yoga bénéficiait d’une amélioration nettement supérieure avec notamment, une baisse de la pression artérielle systolique. La fréquence cardiaque au repos et le risque cardiovasculaire à 10 ans était également meilleurs dans le groupe yoga.