Plusieurs milliards de personnes consultent YouTube chaque jour, que ce soit pour s’informer, se divertir, consulter les dernières actualités ou faire des recherches sur différents sujets. Dans le cadre de la lutte contre la désinformation dans cette plateforme, éradiquer les informations incorrectes, et proposer des contenus de haute qualité, il faut limiter les fausses informations.
Les fake news se définissent comme des fausses informations, souvent sensationnelles, diffusées à travers différents moyens de communication pour manipuler et tromper l’opinion publique. Ces informations sont répandues pour favoriser ou dénigrer une idée au détriment d’une autre, ou entacher la réputation d’une personnalité ou contredire une vérité scientifique. C’est dans cette optique que le titan du partage de vidéos poursuit sa campagne de lutte contre la désinformation avec cette fois un nouveau sujet d’actualité : le cancer.
Le géant du streaming, longtemps critiqué pour le manque de contrôle sur sa plateforme et les dérives que cela pouvait entrainer, décide d’instaurer une politique ferme contre la prolifération des fausses informations sur le web. Le commencement s’est déclenché quand YouTube a interdit en août 2021 la désinformation sur le Covid-19, il avait retiré plus d’un million de vidéos contenant des déclarations dangereuses sur le virus. La plateforme regorge de vidéos de personnes qui expliquent sur à peu près tous les sujets de santé.
Professeurs, spécialistes médicaux, ou vulgarisateurs, s’expriment en vidéo librement. Ce 4 octobre, elle annonce de nouvelles fonctions pour mieux valoriser les sources officielles. YouTube s’allie avec des organisations gouvernementales ou d’intérêt public, l’Assistance Publique, des Centres hospitaliers universitaires, des Universités ou encore des organismes de santé accrédités afin d’identifier des sources fiables. Ces mesures se présentent sous forme de panneaux d’informations indiquant les contenus provenant de sources fiables pour contrôler les informations qui circulent sur un sujet d’actualité.
Cela pourra traiter aussi les informations concernant les types de cancer, la prise en charge de la santé cardiaque et des introductions sur les maladies rares. “Nous sommes ravis de lancer nos fonctionnalités liées à la santé (…) afin de permettre aux internautes d’accéder à des informations de qualité”, explique le docteur en médecine Garth Graham dans un billet de blog publié par Google.
“Nous sommes conscients qu’il reste beaucoup de travail à accomplir, c’est pourquoi nos efforts s’inscrivent sur le long terme”. Le plus important est donc d’augmenter le nombre de vidéos de qualité et de limiter le partage de celles qui ne sont pas crédibles.
Les fake news se définissent comme des fausses informations, souvent sensationnelles, diffusées à travers différents moyens de communication pour manipuler et tromper l’opinion publique. Ces informations sont répandues pour favoriser ou dénigrer une idée au détriment d’une autre, ou entacher la réputation d’une personnalité ou contredire une vérité scientifique. C’est dans cette optique que le titan du partage de vidéos poursuit sa campagne de lutte contre la désinformation avec cette fois un nouveau sujet d’actualité : le cancer.
Le géant du streaming, longtemps critiqué pour le manque de contrôle sur sa plateforme et les dérives que cela pouvait entrainer, décide d’instaurer une politique ferme contre la prolifération des fausses informations sur le web. Le commencement s’est déclenché quand YouTube a interdit en août 2021 la désinformation sur le Covid-19, il avait retiré plus d’un million de vidéos contenant des déclarations dangereuses sur le virus. La plateforme regorge de vidéos de personnes qui expliquent sur à peu près tous les sujets de santé.
Professeurs, spécialistes médicaux, ou vulgarisateurs, s’expriment en vidéo librement. Ce 4 octobre, elle annonce de nouvelles fonctions pour mieux valoriser les sources officielles. YouTube s’allie avec des organisations gouvernementales ou d’intérêt public, l’Assistance Publique, des Centres hospitaliers universitaires, des Universités ou encore des organismes de santé accrédités afin d’identifier des sources fiables. Ces mesures se présentent sous forme de panneaux d’informations indiquant les contenus provenant de sources fiables pour contrôler les informations qui circulent sur un sujet d’actualité.
Cela pourra traiter aussi les informations concernant les types de cancer, la prise en charge de la santé cardiaque et des introductions sur les maladies rares. “Nous sommes ravis de lancer nos fonctionnalités liées à la santé (…) afin de permettre aux internautes d’accéder à des informations de qualité”, explique le docteur en médecine Garth Graham dans un billet de blog publié par Google.
“Nous sommes conscients qu’il reste beaucoup de travail à accomplir, c’est pourquoi nos efforts s’inscrivent sur le long terme”. Le plus important est donc d’augmenter le nombre de vidéos de qualité et de limiter le partage de celles qui ne sont pas crédibles.