L’Association des rencontres méditerranéennes du cinéma et des droits de l’Homme (ARMCDH) poursuit son engagement en faveur de la sensibilisation aux droits de l’Homme, à la démocratie et à la citoyenneté à travers son projet intitulé «Le cinéma plateforme pour l’éducation aux droits de l’Homme et à la citoyenneté». Visant à promouvoir auprès de différentes cibles la culture comme moyen d’éducation et de mobilisation citoyenne ainsi que la connaissance des droits de l’Homme à travers le cinéma, le projet «cinéma plateforme pour l’éducation aux droits de l’Homme et à la citoyenneté» qui est cofinancé par l’Union européenne et l’Ambassade des Pays-Bas au Maroc, se décline en trois volets: la projection de films documentaires ou cinématographiques, les master classes et la formation des associations relais.
Les projections sont particulièrement dédiées aux jeunes et aux enfants dans la logique d’investir l’environnement de socialisation immédiat du citoyen, comme les quartiers, ainsi que l’espace éducatif, au niveau scolaire et universitaire.
Organisé en collaboration avec des associations relais qui portent le projet au niveau local, ce premier volet du projet comporte deux activités, celle dédiée aux jeunes, «Je dis cinéma et droits de l’Homme», et celle pour les enfants, «Les matinées enfants».
Les master classes visent, quant à elles, à investir l’espace politique et médiatique en s’adressant aux décideurs des politiques culturelles et éducatives pour que le cinéma devienne un outil d’éducation et de sensibilisation. En invitant des personnalités du monde de la culture, ce volet a pour objet de mettre en lumière le potentiel du cinéma comme moyen d’éducation et de sensibilisation à l’importance d’informer le public sur les questions relatives aux droits de l’Homme. Le troisième volet qui est celui de la formation des associations relais n’est pas moins important, car il permet le renforcement des capacités des acteurs porteurs du projet et des acteurs relais à travers la formation des associations relais aux droits de l’Homme, à l’animation des cinéclubs et aux clubs de citoyenneté.
L’action de ce volet consiste également en la production de supports de sensibilisation sous forme de courts métrages réalisés par les élèves sur la situation des droits de l’Homme, des capsules de sensibilisation et de guides pour les activités dans les clubs de citoyenneté
Fadoua Maroub, présidente de l’ARMCDH, explique qu’eu égard au contexte actuel (de la pandémie) « les activités de l’association et de ses partenaires de la société civile ont été ralenties, mais se poursuivent toutefois au niveau des cinq localités où l’association est active : Rabat, Casablanca, Tanger, Agadir et Zagora ».
Le projet a été lancé il y a près de trois années en impliquant différents acteurs de la société civile afin de sensibiliser sur la question des droits de l’Homme, de la citoyenneté, ou encore de l’égalité de genre et d’en imprégner les esprits, en particulier ceux des jeunes et des enfants à travers un ensemble d’activités comme les projections cinématographiques (documentaire et fiction), la création de contenu, l’organisation de débats et rencontres avec des artistes, ainsi que la formation des associations relais.
Les contraintes imposées par la crise sanitaire ont permis à l’ARMCDH de s’ouvrir davantage sur les technologies numériques afin de poursuivre ses activités et de maintenir le contact avec ses partenaires.
L’ARMCDH travaille actuellement sur l’élaboration de contenus, notamment des capsules vidéo courtes et explicatives qui seront postées sur sa chaîne YouTube, ainsi que des guides simplifiés traitant de la question des droits de l’Homme et de la citoyenneté.
Les projections sont particulièrement dédiées aux jeunes et aux enfants dans la logique d’investir l’environnement de socialisation immédiat du citoyen, comme les quartiers, ainsi que l’espace éducatif, au niveau scolaire et universitaire.
Organisé en collaboration avec des associations relais qui portent le projet au niveau local, ce premier volet du projet comporte deux activités, celle dédiée aux jeunes, «Je dis cinéma et droits de l’Homme», et celle pour les enfants, «Les matinées enfants».
Les master classes visent, quant à elles, à investir l’espace politique et médiatique en s’adressant aux décideurs des politiques culturelles et éducatives pour que le cinéma devienne un outil d’éducation et de sensibilisation. En invitant des personnalités du monde de la culture, ce volet a pour objet de mettre en lumière le potentiel du cinéma comme moyen d’éducation et de sensibilisation à l’importance d’informer le public sur les questions relatives aux droits de l’Homme. Le troisième volet qui est celui de la formation des associations relais n’est pas moins important, car il permet le renforcement des capacités des acteurs porteurs du projet et des acteurs relais à travers la formation des associations relais aux droits de l’Homme, à l’animation des cinéclubs et aux clubs de citoyenneté.
L’action de ce volet consiste également en la production de supports de sensibilisation sous forme de courts métrages réalisés par les élèves sur la situation des droits de l’Homme, des capsules de sensibilisation et de guides pour les activités dans les clubs de citoyenneté
Fadoua Maroub, présidente de l’ARMCDH, explique qu’eu égard au contexte actuel (de la pandémie) « les activités de l’association et de ses partenaires de la société civile ont été ralenties, mais se poursuivent toutefois au niveau des cinq localités où l’association est active : Rabat, Casablanca, Tanger, Agadir et Zagora ».
Le projet a été lancé il y a près de trois années en impliquant différents acteurs de la société civile afin de sensibiliser sur la question des droits de l’Homme, de la citoyenneté, ou encore de l’égalité de genre et d’en imprégner les esprits, en particulier ceux des jeunes et des enfants à travers un ensemble d’activités comme les projections cinématographiques (documentaire et fiction), la création de contenu, l’organisation de débats et rencontres avec des artistes, ainsi que la formation des associations relais.
Les contraintes imposées par la crise sanitaire ont permis à l’ARMCDH de s’ouvrir davantage sur les technologies numériques afin de poursuivre ses activités et de maintenir le contact avec ses partenaires.
L’ARMCDH travaille actuellement sur l’élaboration de contenus, notamment des capsules vidéo courtes et explicatives qui seront postées sur sa chaîne YouTube, ainsi que des guides simplifiés traitant de la question des droits de l’Homme et de la citoyenneté.
A.B.