Le recouvrement contre les risques liés au transport international de marchandises était à l’ordre du jour lors de la rencontre organisée par l’Association Marocaine des Exportateurs (ASMEX) et la Banque Centrale Populaire, le 05 mars 2020 à Casablanca.
L’objectif du séminaire: sensibiliser l’opérateur économique sur l’importance de bien se couvrir en assurance transport international, de maîtriser et de contrôler sa supply chain logistique (en achetant FOB et en vendant coût et fret) et de contracter son transport et son assurance localement, afin de réduire les risques de transport.
L’objectif du séminaire: sensibiliser l’opérateur économique sur l’importance de bien se couvrir en assurance transport international, de maîtriser et de contrôler sa supply chain logistique (en achetant FOB et en vendant coût et fret) et de contracter son transport et son assurance localement, afin de réduire les risques de transport.
Risques et solutions
Concernant les risques évoqués, il s’agissait des risques ordinaires (accidents, dommages, vols…) et des risques exceptionnels (guerre, grève et risques assimilés). Selon les différents intervenants (opérateurs économiques, logisticiens, assureurs et experts-métiers), le seul moyen de se couvrir contre les risques mentionnés reste l’assurance.
Une entreprise exportatrice non assurée ou mal assurée s’expose à de gros risques pouvant porter à mal ses activités. C’est ce que l’un des panélistes a illustré à travers des exemples sur le transport maritime. Il a précisé que si un navire subit une tempête déclenchée en cours de route entraînant une perte ou un endommagement de la marchandise deux cas se présentent.
Si vous êtes assurés, votre assurance vous couvrira, dans le cas contraire vous allez engager un recours contre le transporteur. Mais, malheureusement, celui-ci vous dira que l’événement survenu est lié à un fait naturel, qu’il n’y est pour rien.
Ce qui sera une perte pour vous, d’où l’importance de se mettre à l’abri en s’assurant.
Au sujet du transport terrestre, en plus des assurances, il a été conseillé de prendre en compte le facteur humain, l’utilisation des moyens de transport appropriés ainsi que les nouvelles technologies, et veiller à l’état de la marchandise tout au long du trajet.
Revenons sur le volet maritime, étant donné qu’en termes d’exportations c’est le moyen fréquemment utilisé. Dans son intervention, le Directeur de la protection des assurés de l’ACAPS a précisé que l’assurance peut être souscrite sous plusieurs formes, notamment la police au voyage (couvrant les marchandises pour un voyage déterminé sur un trajet précis), la police à alimenter (couvrant les marchandises sur une durée non définie avec une quantité connue) et la police d›abonnement ou police flottante (pour une durée définie, sans précision de la valeur ni de la nature de la marchandise).
Une entreprise exportatrice non assurée ou mal assurée s’expose à de gros risques pouvant porter à mal ses activités. C’est ce que l’un des panélistes a illustré à travers des exemples sur le transport maritime. Il a précisé que si un navire subit une tempête déclenchée en cours de route entraînant une perte ou un endommagement de la marchandise deux cas se présentent.
Si vous êtes assurés, votre assurance vous couvrira, dans le cas contraire vous allez engager un recours contre le transporteur. Mais, malheureusement, celui-ci vous dira que l’événement survenu est lié à un fait naturel, qu’il n’y est pour rien.
Ce qui sera une perte pour vous, d’où l’importance de se mettre à l’abri en s’assurant.
Au sujet du transport terrestre, en plus des assurances, il a été conseillé de prendre en compte le facteur humain, l’utilisation des moyens de transport appropriés ainsi que les nouvelles technologies, et veiller à l’état de la marchandise tout au long du trajet.
Revenons sur le volet maritime, étant donné qu’en termes d’exportations c’est le moyen fréquemment utilisé. Dans son intervention, le Directeur de la protection des assurés de l’ACAPS a précisé que l’assurance peut être souscrite sous plusieurs formes, notamment la police au voyage (couvrant les marchandises pour un voyage déterminé sur un trajet précis), la police à alimenter (couvrant les marchandises sur une durée non définie avec une quantité connue) et la police d›abonnement ou police flottante (pour une durée définie, sans précision de la valeur ni de la nature de la marchandise).
Mohamed FOFANA