Après la réussite de son 18ème Congrès général, qui a été marqué par la réélection de Nizar Baraka à la tête de l’Istiqlal, le parti de la Balance s’apprête à désigner les nouveaux membres du Comité Exécutif, organe décisionnel le plus important et le plus prisé par les istiqlaliens. Après des mois de concertations et de négociations, les leaders du PI se sont réunis autour d’une vision renouvelée, qui va en continuité avec la feuille de route lancée en 2017.
L’objectif étant de doter le doyen des formations politiques marocaines d’un Comité fondé sur le sérieux, le travail, l’assiduité, l’efficacité et l’innovation, à même de regagner la confiance de l’électorat et d’imposer un projet de société conforme au référentiel égalitariste de l’Istiqlal. C’est ainsi qu’après avoir renouvelé ses instances dirigeantes, le parti s’est très vite penché sur la restructuration de ses relais régionaux pour se rapprocher davantage des citoyens et répondre à leurs besoins. Les héritiers d’Allal El Fassi, qui ont répondu présents à toutes les étapes historiques libérales, constitutionnelles, démocratiques, politiques et de développement de notre pays, préparent ainsi le terrain pour les prochaines élections législatives, qui s’annoncent d’ores et déjà ardues.
L’enjeu pour les prochains membres du Comité Exécutif est donc d’être à la hauteur du défi, mais surtout du capital historique et intellectuel d’une institution qui a joué un rôle de premier rang dans l’indépendance et le développement du Maroc moderne. Raison pour laquelle le casting du prochain Comex résultera d’une analyse pragmatique de la situation du Royaume, qui s’est engagé dans une série de projets structurants, avec le besoin d’une élite renouvelée, innovante, mais surtout qui a du coeur pour son pays.
L’objectif étant de doter le doyen des formations politiques marocaines d’un Comité fondé sur le sérieux, le travail, l’assiduité, l’efficacité et l’innovation, à même de regagner la confiance de l’électorat et d’imposer un projet de société conforme au référentiel égalitariste de l’Istiqlal. C’est ainsi qu’après avoir renouvelé ses instances dirigeantes, le parti s’est très vite penché sur la restructuration de ses relais régionaux pour se rapprocher davantage des citoyens et répondre à leurs besoins. Les héritiers d’Allal El Fassi, qui ont répondu présents à toutes les étapes historiques libérales, constitutionnelles, démocratiques, politiques et de développement de notre pays, préparent ainsi le terrain pour les prochaines élections législatives, qui s’annoncent d’ores et déjà ardues.
L’enjeu pour les prochains membres du Comité Exécutif est donc d’être à la hauteur du défi, mais surtout du capital historique et intellectuel d’une institution qui a joué un rôle de premier rang dans l’indépendance et le développement du Maroc moderne. Raison pour laquelle le casting du prochain Comex résultera d’une analyse pragmatique de la situation du Royaume, qui s’est engagé dans une série de projets structurants, avec le besoin d’une élite renouvelée, innovante, mais surtout qui a du coeur pour son pays.
