Dans un communiqué diffusé ce jeudi, la Confédération Marocaine des TPE-PME a exprimé son rejet du projet de loi organique n° 97.15 définissant les conditions et les modalités d'exercice du droit de grève, arguant que le texte n’offre pas de garanties suffisantes pour les TPE-PME et les auto-entrepreneurs.
En effet, la Confédération déplore l’absence de dialogue avec le ministre de l’Inclusion économique, de la Petite Entreprise, de l’Emploi et des Compétences, Younes Sekkouri, lors de l'élaboration de ce projet d'envergure qui concerne à la fois les TPE-PME et les grandes entreprises.
“Seuls le patronat (CGEM) et les syndicats sont consultés, négligeant ainsi les TPE-PME et les auto-entrepreneurs qui représentent plus de 98% des entreprises au Maroc”, a-t-elle souligné, ajoutant que le nouveau texte doit organiser l’exercice du droit de grève pour ces structures, afin d’établir un équilibre et une justice sociale dans le paysage économique marocain.
Selon la Confédération, les TPE-PME sont particulièrement vulnérables aux perturbations engendrées par les grèves, d'où la nécessité d’instaurer une législation adaptée permettant une meilleure gestion des conflits sociaux tout en préservant leur viabilité, notamment à la lumière des ressources limitées dont disposent ce type d’entreprises.
La Confédération s’est inquiétée du manque de représentativité des TPE-PME et des auto-entrepreneurs à la deuxième Chambre du Parlement, contrairement aux syndicats et au patronat qui défendent leurs propres intérêts, selon ses termes.
Elle se dit être la seule en mesure de défendre les intérêts des TPE-PME lors des dialogues et consultations entre le gouvernement et le secteur privé, grâce à l'adhésion croissante des fédérations sectorielles des TPE-PME et des auto-entrepreneurs.
De plus, ces petites entreprises ne sont pas présentes dans le dialogue social ni dans les conseils d’administration des institutions de l’État telles que la CNSS, la DGI, TAMWILCOM, Maroc PME, AMDIE, ANAPEC, OMPIC, CESE et autres, ajoute la Confédération.
Ainsi, la Confédération professionnelle appelle à promouvoir un dialogue inclusif qui englobe toutes les parties prenantes, y compris la représentation des TPE-PME, afin d’établir un équilibre entre les droits des travailleurs et les capacités limitées des petites entreprises.
Enfin, la Confédération a appelé les élus à prendre en compte, lors de l’opération de vote, les intérêts de l'ensemble du tissu économique y compris les TPE-PME et les auto-entrepreneurs, et ce, afin de créer un environnement économique favorable au développement de ces acteurs économiques.
En effet, la Confédération déplore l’absence de dialogue avec le ministre de l’Inclusion économique, de la Petite Entreprise, de l’Emploi et des Compétences, Younes Sekkouri, lors de l'élaboration de ce projet d'envergure qui concerne à la fois les TPE-PME et les grandes entreprises.
“Seuls le patronat (CGEM) et les syndicats sont consultés, négligeant ainsi les TPE-PME et les auto-entrepreneurs qui représentent plus de 98% des entreprises au Maroc”, a-t-elle souligné, ajoutant que le nouveau texte doit organiser l’exercice du droit de grève pour ces structures, afin d’établir un équilibre et une justice sociale dans le paysage économique marocain.
Selon la Confédération, les TPE-PME sont particulièrement vulnérables aux perturbations engendrées par les grèves, d'où la nécessité d’instaurer une législation adaptée permettant une meilleure gestion des conflits sociaux tout en préservant leur viabilité, notamment à la lumière des ressources limitées dont disposent ce type d’entreprises.
La Confédération s’est inquiétée du manque de représentativité des TPE-PME et des auto-entrepreneurs à la deuxième Chambre du Parlement, contrairement aux syndicats et au patronat qui défendent leurs propres intérêts, selon ses termes.
Elle se dit être la seule en mesure de défendre les intérêts des TPE-PME lors des dialogues et consultations entre le gouvernement et le secteur privé, grâce à l'adhésion croissante des fédérations sectorielles des TPE-PME et des auto-entrepreneurs.
De plus, ces petites entreprises ne sont pas présentes dans le dialogue social ni dans les conseils d’administration des institutions de l’État telles que la CNSS, la DGI, TAMWILCOM, Maroc PME, AMDIE, ANAPEC, OMPIC, CESE et autres, ajoute la Confédération.
Ainsi, la Confédération professionnelle appelle à promouvoir un dialogue inclusif qui englobe toutes les parties prenantes, y compris la représentation des TPE-PME, afin d’établir un équilibre entre les droits des travailleurs et les capacités limitées des petites entreprises.
Enfin, la Confédération a appelé les élus à prendre en compte, lors de l’opération de vote, les intérêts de l'ensemble du tissu économique y compris les TPE-PME et les auto-entrepreneurs, et ce, afin de créer un environnement économique favorable au développement de ces acteurs économiques.