« Le gouvernement Bolsonaro a conclut, mardi 20 octobre, un accord pour l’achat de 46 millions de doses de vaccin développé par Sinopharm, pour une valeur d’environ 287 millions d’Euros », rapporte la presse brésilienne.
Toutefois, pour que le gouvernement brésilien soit en mesure d'achever l'acquisition du vaccin, le vaccin, actuellement testé à l'Institut Butantan de Sao Paulo, devra être soumis à l'approbation de l'Agence nationale de surveillance de la santé (Anvisa).
Selon l’institut, le candidat-vaccin chinois aurait affiché moins d’effets indésirables que tous ses concurrents avec une proportion de 35% de tests, contre environ 70% de tests à effets indésirables pour les autres vaccins, faisant de lui le vaccin le plus sûr parmi ceux arrivés en phase finale des tests.
AstraZeneca : candidat-vaccin dangeureux ?
D’après la presse brésilienne, le gouvernement brésilien estime que le programme national de vaccination contre le covid-19 peut démarrer en janvier de l'année prochaine, en raison du retard causé par le candidat co-développé par l'Université d'Oxford et AstraZeneca. Un retard qui a poussé le gouvernement à conclure l'accord en question avec le géant chinois de l’industrie pharmaceutique.
Le fait du hasard a voulu qu’un jour avant la clôture de l’accord avec Sinopharm, un docteur brésilien, qui s’était porté volontaire pour tester le vaccin développé par l’université d'Oxford et le laboratoire AstraZeneca contre le Covid-19, soit décédé.
L'Agence nationale de surveillance sanitaire (Anvisa), relevant du ministère de la Santé, a indiqué dans un communiqué qu'elle avait été informée du décès le 19 octobre et que le comité indépendant qui suit ce cas a suggéré de poursuivre les études et les essais du vaccin.
L’agence n'a pas précisé si le volontaire avait pris le vaccin ou le placebo, conformément aux réglementations nationales et internationales des bonnes pratiques cliniques, qui prônent la confidentialité des données sur les volontaires de la recherche clinique.
Un événement sinistre qui intervient alors que le ministère de la Santé brésilien prévoyait l’achat de 100 millions de doses de ce vaccin pour près de 400 millions de dollars, si les études confirment son efficacité et son innocuité.
Rappelons que le ministre de la Santé avait déclaré la signature par son département de deux accords de partenariat et de coopération avec le laboratoire chinois «Sinopharm», visant à associer le Royaume aux essais cliniques de vaccination contre le coronavirus et à lui assurer un stock suffisant de vaccins, en plus d'un mémorandum d'entente pareil avec le groupe «AstraZeneca», à travers la société russe «Ir-Farm».
Toutefois, pour que le gouvernement brésilien soit en mesure d'achever l'acquisition du vaccin, le vaccin, actuellement testé à l'Institut Butantan de Sao Paulo, devra être soumis à l'approbation de l'Agence nationale de surveillance de la santé (Anvisa).
Selon l’institut, le candidat-vaccin chinois aurait affiché moins d’effets indésirables que tous ses concurrents avec une proportion de 35% de tests, contre environ 70% de tests à effets indésirables pour les autres vaccins, faisant de lui le vaccin le plus sûr parmi ceux arrivés en phase finale des tests.
AstraZeneca : candidat-vaccin dangeureux ?
D’après la presse brésilienne, le gouvernement brésilien estime que le programme national de vaccination contre le covid-19 peut démarrer en janvier de l'année prochaine, en raison du retard causé par le candidat co-développé par l'Université d'Oxford et AstraZeneca. Un retard qui a poussé le gouvernement à conclure l'accord en question avec le géant chinois de l’industrie pharmaceutique.
Le fait du hasard a voulu qu’un jour avant la clôture de l’accord avec Sinopharm, un docteur brésilien, qui s’était porté volontaire pour tester le vaccin développé par l’université d'Oxford et le laboratoire AstraZeneca contre le Covid-19, soit décédé.
L'Agence nationale de surveillance sanitaire (Anvisa), relevant du ministère de la Santé, a indiqué dans un communiqué qu'elle avait été informée du décès le 19 octobre et que le comité indépendant qui suit ce cas a suggéré de poursuivre les études et les essais du vaccin.
L’agence n'a pas précisé si le volontaire avait pris le vaccin ou le placebo, conformément aux réglementations nationales et internationales des bonnes pratiques cliniques, qui prônent la confidentialité des données sur les volontaires de la recherche clinique.
Un événement sinistre qui intervient alors que le ministère de la Santé brésilien prévoyait l’achat de 100 millions de doses de ce vaccin pour près de 400 millions de dollars, si les études confirment son efficacité et son innocuité.
Rappelons que le ministre de la Santé avait déclaré la signature par son département de deux accords de partenariat et de coopération avec le laboratoire chinois «Sinopharm», visant à associer le Royaume aux essais cliniques de vaccination contre le coronavirus et à lui assurer un stock suffisant de vaccins, en plus d'un mémorandum d'entente pareil avec le groupe «AstraZeneca», à travers la société russe «Ir-Farm».