Au cours du premier semestre 2024, la Russie a importé du Maroc 170 tonnes de poulpes d'une valeur de 2,8 millions de dollars, soit trois fois plus que la même période un an plus tôt, selon les indications du centre d'analyse de l'Union des pêches sur la base des données de l'Union européenne.
Selon cette entité, le poulpe représentait 43% des importations russes du Maroc de poissons et fruits de mer en valeur et 11% en poids.
Les importations de la Russie d'huîtres marocaines sont restées stables durant cette période, en s'établissant à 40 tonnes (0,5 million de dollars).
En général, au premier semestre, les importations russes de poissons et fruits de mer en provenance du Maroc se sont élevées à 1,6 mille de tonnes, ayant diminué de 3 fois qu'entre janvier et juin 2023. Il est revenu au niveau de la même période en 2022, précise la même source.
Cette baisse est principalement s'explique par une réduction de l'offre de poissons pélagiques, comme le maquereau africain, sardine, la bonite, le turbot, etc., dont la part au premier semestre de l'année dernière dans l'offre a atteint 98% en volume et 86% en valeur.
« La réduction de plus de trois fois du volume des importations de ces ressources biologiques aquatiques en provenance du Maroc est due à une diminution de la production de conserves alimentaires à partir de celles-ci. Les raisons en sont la dépréciation du rouble russe, le manque de main-d'œuvre et les difficultés de vente des produits. Cela inclut les problèmes de logistique des matières premières en direction de Kaliningrad et des produits finis en retour.", indique la même source.
Selon cette entité, le poulpe représentait 43% des importations russes du Maroc de poissons et fruits de mer en valeur et 11% en poids.
Les importations de la Russie d'huîtres marocaines sont restées stables durant cette période, en s'établissant à 40 tonnes (0,5 million de dollars).
En général, au premier semestre, les importations russes de poissons et fruits de mer en provenance du Maroc se sont élevées à 1,6 mille de tonnes, ayant diminué de 3 fois qu'entre janvier et juin 2023. Il est revenu au niveau de la même période en 2022, précise la même source.
Cette baisse est principalement s'explique par une réduction de l'offre de poissons pélagiques, comme le maquereau africain, sardine, la bonite, le turbot, etc., dont la part au premier semestre de l'année dernière dans l'offre a atteint 98% en volume et 86% en valeur.
« La réduction de plus de trois fois du volume des importations de ces ressources biologiques aquatiques en provenance du Maroc est due à une diminution de la production de conserves alimentaires à partir de celles-ci. Les raisons en sont la dépréciation du rouble russe, le manque de main-d'œuvre et les difficultés de vente des produits. Cela inclut les problèmes de logistique des matières premières en direction de Kaliningrad et des produits finis en retour.", indique la même source.