Dans cet entretien, le responsable des FAR a indiqué que cette 14ème édition « est un rendez-vous annuel qui se veut une véritable plateforme de partage, d’échange et de réflexion sur les thématiques qui intéressent l’Armée Blindée. » Il a soulevé que l’événement s’est tenu dans un contexte de montée des tensions avec des défis nécessitant l’utilisation des blindés dans les conflits modernes. Cela nous impose « des adaptations capacitaire et opérationnelle viables et pérennes, pour être en phase avec les contraintes conjoncturelles. »
L’inspection de l’Arme Blindée s’est projetée, en coordination avec les organes concernés de l’École Marocaine d’Ingénierie (EMG des FAR) dans un « processus multidimensionnel de renforcement de ses capacités. » « La formation, l’entraînement et la préparation opérationnelle sont placés au cœur de la dynamique du développement capacitaire entreprise par l’Arme », nous dit le Général Mustapha M’Rabet.
Enfin, le haut responsable des FAR a souligné que pour gagner en efficacité opérationnelle au profit des Unités de l’Arme Blindée, « la dimension Interarmes est un facteur multiplicateur de l’efficacité opérationnelle », permettant de « créer des rapports de force favorables ». Aussi, « les structures interarmes procurent aux unités de l’Arme, la capacité de réversibilité d’un mode tactique à un autre, tout en conservant l’initiative et le maintien du rythme de la manœuvre », a-t-il ajouté.
L’inspection de l’Arme Blindée s’est projetée, en coordination avec les organes concernés de l’École Marocaine d’Ingénierie (EMG des FAR) dans un « processus multidimensionnel de renforcement de ses capacités. » « La formation, l’entraînement et la préparation opérationnelle sont placés au cœur de la dynamique du développement capacitaire entreprise par l’Arme », nous dit le Général Mustapha M’Rabet.
Enfin, le haut responsable des FAR a souligné que pour gagner en efficacité opérationnelle au profit des Unités de l’Arme Blindée, « la dimension Interarmes est un facteur multiplicateur de l’efficacité opérationnelle », permettant de « créer des rapports de force favorables ». Aussi, « les structures interarmes procurent aux unités de l’Arme, la capacité de réversibilité d’un mode tactique à un autre, tout en conservant l’initiative et le maintien du rythme de la manœuvre », a-t-il ajouté.