Organisée en partenariat avec Women in Nuclear Morocco (WiN Maroc) et NUVIA, la Journée des Applications Nucléaires au Maroc a rassemblé experts, décideurs, chercheurs et industriels pour dresser un état des lieux du secteur nucléaire marocain et en tracer les perspectives stratégiques.
L’événement, présidé par Mme Khadija Bendam, présidente de WiN Maroc, et Pr Rajaa Cherkaoui, pionnière de la recherche dans les sciences nucléaires et membre de WiN Maroc s’est ouvert par un panel qui a mis en lumière les avancées et ambitions du Maroc dans le domaine nucléaire.
Mme Leila Benali, Ministre de la Transition Énergétique et du Développement Durable, a rappelé les prouesses accomplies depuis 2021.
Le Maroc, grâce à ses efforts, a atteint 44,3 % de capacité énergétique issue des énergies renouvelables, équivalant aux besoins de la ville de Meknès.
Elle a également présenté les plans ambitieux visant à tripler les investissements dans les énergies renouvelables d’ici 2030.
La ministre a souligné l’importance des petits réacteurs modulaires (SMR), une technologie nucléaire de pointe, pour renforcer la transition énergétique.
Les usages pacifiques du nucléaire s’étendent aussi à des secteurs clés : santé (radiothérapie et imagerie médicale), industrie, agriculture et recherche scientifique, portés notamment par les travaux du CNESTEN (Centre National de l’Énergie, des Sciences et des Techniques Nucléaires).
M. Said Mouline, Directeur Général de l’AMSSNuR, et M. Benmansour du CNESTEN ont souligné le rôle crucial du Maroc sur les plans de la régulation, de la sûreté et de la sécurité radiologique, tout en mettant en exergue la coopération internationale comme levier de progrès.
L’innovation scientifique a été au cœur des débats grâce aux interventions du Pr Nouzha Ben Rais Aouad et du Pr Zoubir Ibrahim, qui ont exploré les contributions du nucléaire à la médecine, notamment dans le traitement des cancers.
De son côté, M. Tomas Dubruile, expert en ingénierie nucléaire, a présenté les réacteurs de nouvelle génération.
Ces systèmes révolutionnaires promettent une sûreté renforcée, une durabilité accrue, une efficacité énergétique optimisée et une réduction significative des déchets radioactifs.
Les thèmes discutés reflètent l’ambition du Maroc de conjuguer développement durable et avancées technologiques.
Transition énergétique, décarbonisation, innovations en médecine nucléaire et gestion des déchets ont fait l’objet de riches échanges.
Par ailleurs, cette journée a mis en avant le rôle déterminant des femmes dans le secteur nucléaire dans le monde et au Maroc, ainsi que l’importance d’une transition énergétique inclusive et durable.
Le Pr Mohammed Rhachi, à la tête de l’Université Mohammed V, a réaffirmé son engagement pour promouvoir la recherche scientifique et soutenir les initiatives qui dessinent un avenir énergétique durable pour le Maroc.
En accueillant cette journée, l’université Mohammed V s’affirme comme un acteur clé dans la construction des solutions de demain, au service du pays et de la région.
L’événement, présidé par Mme Khadija Bendam, présidente de WiN Maroc, et Pr Rajaa Cherkaoui, pionnière de la recherche dans les sciences nucléaires et membre de WiN Maroc s’est ouvert par un panel qui a mis en lumière les avancées et ambitions du Maroc dans le domaine nucléaire.
Mme Leila Benali, Ministre de la Transition Énergétique et du Développement Durable, a rappelé les prouesses accomplies depuis 2021.
Le Maroc, grâce à ses efforts, a atteint 44,3 % de capacité énergétique issue des énergies renouvelables, équivalant aux besoins de la ville de Meknès.
Elle a également présenté les plans ambitieux visant à tripler les investissements dans les énergies renouvelables d’ici 2030.
La ministre a souligné l’importance des petits réacteurs modulaires (SMR), une technologie nucléaire de pointe, pour renforcer la transition énergétique.
Les usages pacifiques du nucléaire s’étendent aussi à des secteurs clés : santé (radiothérapie et imagerie médicale), industrie, agriculture et recherche scientifique, portés notamment par les travaux du CNESTEN (Centre National de l’Énergie, des Sciences et des Techniques Nucléaires).
M. Said Mouline, Directeur Général de l’AMSSNuR, et M. Benmansour du CNESTEN ont souligné le rôle crucial du Maroc sur les plans de la régulation, de la sûreté et de la sécurité radiologique, tout en mettant en exergue la coopération internationale comme levier de progrès.
L’innovation scientifique a été au cœur des débats grâce aux interventions du Pr Nouzha Ben Rais Aouad et du Pr Zoubir Ibrahim, qui ont exploré les contributions du nucléaire à la médecine, notamment dans le traitement des cancers.
De son côté, M. Tomas Dubruile, expert en ingénierie nucléaire, a présenté les réacteurs de nouvelle génération.
Ces systèmes révolutionnaires promettent une sûreté renforcée, une durabilité accrue, une efficacité énergétique optimisée et une réduction significative des déchets radioactifs.
Les thèmes discutés reflètent l’ambition du Maroc de conjuguer développement durable et avancées technologiques.
Transition énergétique, décarbonisation, innovations en médecine nucléaire et gestion des déchets ont fait l’objet de riches échanges.
Par ailleurs, cette journée a mis en avant le rôle déterminant des femmes dans le secteur nucléaire dans le monde et au Maroc, ainsi que l’importance d’une transition énergétique inclusive et durable.
Le Pr Mohammed Rhachi, à la tête de l’Université Mohammed V, a réaffirmé son engagement pour promouvoir la recherche scientifique et soutenir les initiatives qui dessinent un avenir énergétique durable pour le Maroc.
En accueillant cette journée, l’université Mohammed V s’affirme comme un acteur clé dans la construction des solutions de demain, au service du pays et de la région.