Après avoir opté pour les vaccins chinois Sinopharm et britanniques AstraZeneca, à en croire les propos du ministre Khalid Aït Taleb, le Maroc espère lancer la campagne de vaccination d’ici la fin de l’année, soulignant que la date de lancement de la campagne au Maroc reste «tributaire de la validation des vaccins mais aussi du calendrier de livraison» des producteurs pharmaceutiques.
Beaucoup d’espoirs reposent sur le vaccin chinois Sinopharm puisqu’un accord a été passé depuis août permettant de participer aux tests cliniques menés dans une dizaine de pays et assurant la livraison de 10 millions de doses après des résultats probants ainsi qu’une production locale. Le but est de vacciner plus de 20 millions de Marocains en trois mois en mobilisant plus de 12.000 professionnels de la santé.
Les premiers à recevoir le vaccin seront le personnel de « première ligne » (santé, sécurité…) ainsi que les « personnes utiles » (transports… » et les personnes dites « à risque » (plus de 65 ans, problèmes de santé….).
L’effervescence médiatique autour du vaccin fait souffler un vent d’optimisme sur le pays. L’activité économique marocaine fortement touchée par le virus pourrait renaître de ses cendres notamment le secteur touristique.
Mais malgré cet élan d’espoir, beaucoup d’inquiétude et de méfiance envahissent les esprit des Marocains. Les théories du complot ne cessent de fleurir sur le net, entre ceux qui pensent que le vaccin sera obligatoire quitte à user de la force, que le vaccin modifiera l’ADN, ou encore la peur d’être un cobaye. Il faudra donc avant tout apaiser les critiques et le scepticisme flottant, d'où la necessité de lancer une campagne de communication...illico presto !
Beaucoup d’espoirs reposent sur le vaccin chinois Sinopharm puisqu’un accord a été passé depuis août permettant de participer aux tests cliniques menés dans une dizaine de pays et assurant la livraison de 10 millions de doses après des résultats probants ainsi qu’une production locale. Le but est de vacciner plus de 20 millions de Marocains en trois mois en mobilisant plus de 12.000 professionnels de la santé.
Les premiers à recevoir le vaccin seront le personnel de « première ligne » (santé, sécurité…) ainsi que les « personnes utiles » (transports… » et les personnes dites « à risque » (plus de 65 ans, problèmes de santé….).
L’effervescence médiatique autour du vaccin fait souffler un vent d’optimisme sur le pays. L’activité économique marocaine fortement touchée par le virus pourrait renaître de ses cendres notamment le secteur touristique.
Mais malgré cet élan d’espoir, beaucoup d’inquiétude et de méfiance envahissent les esprit des Marocains. Les théories du complot ne cessent de fleurir sur le net, entre ceux qui pensent que le vaccin sera obligatoire quitte à user de la force, que le vaccin modifiera l’ADN, ou encore la peur d’être un cobaye. Il faudra donc avant tout apaiser les critiques et le scepticisme flottant, d'où la necessité de lancer une campagne de communication...illico presto !