Le Wali de la région Casablanca-Settat, Mohamed Mhidia, a présidé samedi une réunion dédiée à la communication sur le développement durable de la province d'El Jadida. Cette rencontre s'est tenue en présence du gouverneur par intérim de la province, Mohamed Samir El Khamlichi, ainsi que de divers acteurs locaux, dont des présidents de communes, des élus, des députés, des promoteurs, et des représentants de la société civile.
L'objectif de cette réunion était de discuter des perspectives de développement futur de la province d'El Jadida. Le Wali a souligné l'importance de cette rencontre, inscrite dans le cadre de la mise en œuvre des programmes de développement issus du nouveau plan de développement. Il a également insisté sur la nécessité de prêter une oreille attentive aux acteurs locaux afin de construire un plan de développement participatif, intégrant les projets validés par les conseils communaux.
Selon le Wali, il est inacceptable qu'une province aussi stratégique que celle d'El Jadida, deuxième pôle économique après Casablanca et représentant près de 10 % de la production industrielle nationale et 20 % des exportations du Royaume, subisse encore des retards dans son développement en raison de certains projets en suspens. "Aujourd'hui, nous sommes réunis pour débloquer la situation et relancer le développement", a-t-il déclaré. Pour ce faire, il a insisté sur l'importance d'établir une feuille de route claire et précise, définissant les priorités et contraintes de chaque projet, afin de surmonter les obstacles et d'assurer une reprise rapide.
Le président de la région Casablanca-Settat, Abdellatif El Maazouz, a quant à lui exprimé son engagement à contribuer, aux côtés des autres partenaires, à la réalisation des projets de la région, à condition que les priorités soient clairement définies et que les rencontres de communication, les visites de terrain, et le suivi soient multipliés pour éviter tout blocage éventuel, qu'il soit procédural ou financier.
Au cours de la réunion, deux présentations ont été faites. La première, par la Direction Provinciale de l'Agence Urbaine Sidi Bennour-El Jadida, portait sur les trois axes des projets structurants inscrits dans le programme de développement intégré de la province. La seconde, par la Direction Provinciale de l'Équipement, du Transport, et de la Logistique d'El Jadida, a abordé la mise à niveau des projets routiers achevés ou en cours, ainsi que l'aménagement des travaux de dédoublement des routes régionales.
Les débats ont également mis en lumière les projets en suspens et la nécessité d'accélérer leur réalisation, notamment dans les domaines des espaces verts, des places publiques, de l'éclairage, de la décharge publique, des infrastructures sportives, des réseaux routiers, et de la santé. Les intervenants ont souligné le manque de compétences et de ressources humaines suffisantes, qu'ils considèrent comme un obstacle majeur à l'avancement des projets dans la région d'El Jadida.
En conclusion, il a été décidé de créer une commission technique, qui sera suivie par deux autres commissions chargées de l'accompagnement et du suivi des projets structurants, notamment dans les domaines des routes, de l'eau, et de l'environnement. Ces commissions seront appuyées par la création d'une société dédiée à la gestion des affaires environnementales, a précisé Abdellatif El Maazouz dans une déclaration à la presse nationale
Il a également mentionné que cette rencontre a permis une étude approfondie de l'aménagement territorial d'El Jadida, avec un accent particulier sur
l'amélioration du réseau routier.
Le président a conclu sur une note positive en annonçant la création d'une nouvelle zone industrielle à Jorf Lasfar sur une superficie de 250 m², qui devrait générer environ 10 000 emplois, ainsi qu'une usine de câblage financée par un investisseur japonais, offrant près de 2 500 emplois supplémentaires.
L'objectif de cette réunion était de discuter des perspectives de développement futur de la province d'El Jadida. Le Wali a souligné l'importance de cette rencontre, inscrite dans le cadre de la mise en œuvre des programmes de développement issus du nouveau plan de développement. Il a également insisté sur la nécessité de prêter une oreille attentive aux acteurs locaux afin de construire un plan de développement participatif, intégrant les projets validés par les conseils communaux.
Selon le Wali, il est inacceptable qu'une province aussi stratégique que celle d'El Jadida, deuxième pôle économique après Casablanca et représentant près de 10 % de la production industrielle nationale et 20 % des exportations du Royaume, subisse encore des retards dans son développement en raison de certains projets en suspens. "Aujourd'hui, nous sommes réunis pour débloquer la situation et relancer le développement", a-t-il déclaré. Pour ce faire, il a insisté sur l'importance d'établir une feuille de route claire et précise, définissant les priorités et contraintes de chaque projet, afin de surmonter les obstacles et d'assurer une reprise rapide.
Le président de la région Casablanca-Settat, Abdellatif El Maazouz, a quant à lui exprimé son engagement à contribuer, aux côtés des autres partenaires, à la réalisation des projets de la région, à condition que les priorités soient clairement définies et que les rencontres de communication, les visites de terrain, et le suivi soient multipliés pour éviter tout blocage éventuel, qu'il soit procédural ou financier.
Au cours de la réunion, deux présentations ont été faites. La première, par la Direction Provinciale de l'Agence Urbaine Sidi Bennour-El Jadida, portait sur les trois axes des projets structurants inscrits dans le programme de développement intégré de la province. La seconde, par la Direction Provinciale de l'Équipement, du Transport, et de la Logistique d'El Jadida, a abordé la mise à niveau des projets routiers achevés ou en cours, ainsi que l'aménagement des travaux de dédoublement des routes régionales.
Les débats ont également mis en lumière les projets en suspens et la nécessité d'accélérer leur réalisation, notamment dans les domaines des espaces verts, des places publiques, de l'éclairage, de la décharge publique, des infrastructures sportives, des réseaux routiers, et de la santé. Les intervenants ont souligné le manque de compétences et de ressources humaines suffisantes, qu'ils considèrent comme un obstacle majeur à l'avancement des projets dans la région d'El Jadida.
En conclusion, il a été décidé de créer une commission technique, qui sera suivie par deux autres commissions chargées de l'accompagnement et du suivi des projets structurants, notamment dans les domaines des routes, de l'eau, et de l'environnement. Ces commissions seront appuyées par la création d'une société dédiée à la gestion des affaires environnementales, a précisé Abdellatif El Maazouz dans une déclaration à la presse nationale
Il a également mentionné que cette rencontre a permis une étude approfondie de l'aménagement territorial d'El Jadida, avec un accent particulier sur
l'amélioration du réseau routier.
Le président a conclu sur une note positive en annonçant la création d'une nouvelle zone industrielle à Jorf Lasfar sur une superficie de 250 m², qui devrait générer environ 10 000 emplois, ainsi qu'une usine de câblage financée par un investisseur japonais, offrant près de 2 500 emplois supplémentaires.
Mohamed LOKHNATI
