La créativité littéraire des femmes a été à l’honneur, du 6 au 8 mars dans la cité des Alizés, à l’occasion de la deuxième édition du Salon du livre féminin, un événement culturel organisé à l’initiative de l’Association féminine El Khir à Essaouira.
Initié en coordination avec la Fondation «Afaq» pour les études, l’édition et la communication et d’autres partenaires, sous le thème «La créativité féminine, levier de développement social», cette manifestation, qui s’inscrit dans le cadre des festivités célébrant la Journée internationale de la Femme, s’est voulu un cadre privilégié pour favoriser une meilleure connaissance des énergies créatrices des femmes marocaines, notamment sur le plan culturel.
Elle a représenté aussi un lieu de rencontre, d’échange et de partage autour de la littérature marocaine au féminin, ainsi qu’un espace idoine pour mettre en évidence la diversité et la richesse de la scène culturelle et littéraire marocaine, grâce à la contribution des talents féminins qui n’ont rien à envier à leurs homologues masculins dans ce domaine.
La première journée de cet événement a été marquée par une conférence consacrée à la question du mariage des mineures au niveau de la province d’Essaouira, avec pour objectif d’aboutir à une stratégie, dans le cadre d’une approche participative, en vue de l’éradication de ce phénomène social.
Rehaussée par la présence d’un parterre de professeurs universitaires, de magistrats et de représentants de la société civile et d’organisations féminines, cette rencontre visait à mettre le doigt sur les raisons et les facteurs, notamment d’ordre économique et social, à l’origine de l’amplification de ce fléau au niveau de la province, sans oublier la question de la déperdition scolaire qui demeure l’une des principales résultantes du mariage des mineures.
A cette occasion, Mme Souad Dibi, Coordinatrice des projets de l’Association féminine El Khir à Essaouira, a souligné que ce Salon du livre féminin est une occasion appropriée pour rendre un hommage appuyé à la gent féminine marocaine et à ses riches contributions dans divers domaines, notamment le champ culturel et littéraire.
Cet événement est également une opportunité propice pour promouvoir la créativité des femmes, à travers une panoplie d’activités visant à jeter la lumière sur l’écriture au féminin, a-t-elle ajouté.
Elle a représenté aussi un lieu de rencontre, d’échange et de partage autour de la littérature marocaine au féminin, ainsi qu’un espace idoine pour mettre en évidence la diversité et la richesse de la scène culturelle et littéraire marocaine, grâce à la contribution des talents féminins qui n’ont rien à envier à leurs homologues masculins dans ce domaine.
La première journée de cet événement a été marquée par une conférence consacrée à la question du mariage des mineures au niveau de la province d’Essaouira, avec pour objectif d’aboutir à une stratégie, dans le cadre d’une approche participative, en vue de l’éradication de ce phénomène social.
Rehaussée par la présence d’un parterre de professeurs universitaires, de magistrats et de représentants de la société civile et d’organisations féminines, cette rencontre visait à mettre le doigt sur les raisons et les facteurs, notamment d’ordre économique et social, à l’origine de l’amplification de ce fléau au niveau de la province, sans oublier la question de la déperdition scolaire qui demeure l’une des principales résultantes du mariage des mineures.
A cette occasion, Mme Souad Dibi, Coordinatrice des projets de l’Association féminine El Khir à Essaouira, a souligné que ce Salon du livre féminin est une occasion appropriée pour rendre un hommage appuyé à la gent féminine marocaine et à ses riches contributions dans divers domaines, notamment le champ culturel et littéraire.
Cet événement est également une opportunité propice pour promouvoir la créativité des femmes, à travers une panoplie d’activités visant à jeter la lumière sur l’écriture au féminin, a-t-elle ajouté.