Les compétitions de la 6ème édition du Meeting international Moulay El Hassan de para-athlétisme ont démarré en fanfare hier jeudi 15 septembre 2022 au Grand Stade de Marrakech.
Parallèlement aux compétitions et toujours dans la matinée, un chantier a été ouvert dans la salle des conférences et qui a été dédié aux journalistes accrédités pour la couverture du Meeting.
Cette séance de formation a été encadrée par Hamid Yahya, président de la Marocaine des Journalistes Sportifs (MJS), et Tarik Soueil, du Directeur exécutif du Comité Paralympique asiatique.
Un aperçu historique sur la naissance du mouvement paralympique nous a permis de voir de plus près les difficultés à s’imposer en tant que discipline sportive.
Les premières tentatives ont commencé au lendemain de la deuxième guerre mondiale lorsque les milliers de blessés et autres victimes de la guerre ont reçu les soins.
Le sport s’est avéré comme un moyen efficace pour se réintégrer dans la société.
Aux Jeux Olympiques de 1960 à Rome, le CIO a permis aux personnes souffrant de handicaps de participer aux jeux, mais ce n’est qu’en 1988 lors des JO de Séoul que le mouvement paralympique a pu s’imposer et gagner sa cause.
C’est à partir de cette date que les Jeux Paralympiques ont commencé à se dérouler en même temps et dans les mêmes sites que les JO organisés par le Comité International Olympique (CIO).
Le Maroc s’est affirmé dès les premiers Jeux Paralympiques comme une nation qui a donné ses lettres de noblesse au mouvement paralympique.
C’est ainsi que la moisson des médailles a commencé dès 1988 et qui a atteint en 2022 à Tokyo le seuil de 38 médailles.
Par la suite, les journalistes ont pu connaitre les techniques et les mécanismes de classification des athlètes paralympiques.
Il y a lieu de citer les trois catégories : les handicaps physique, visuel et intellectuel.
Ensuite, il y a les contrôles médicaux qui certifient ces handicaps et évitent la tricherie et l’égalité des chances entre les athlètes.
A l’intérieur de l’enceinte du Grand Stade de Marrakech, l’Agence Marocaine Antidopage (AMAD) a installé un stand dédié à la sensibilisation et à l’éducation en vue d’un sport propre.
Le contrôle des sportifs se fait sur les mêmes critères que pour les autres sportifs sous la houlette d’une équipe de contrôleurs sur place.
Parallèlement aux compétitions et toujours dans la matinée, un chantier a été ouvert dans la salle des conférences et qui a été dédié aux journalistes accrédités pour la couverture du Meeting.
Cette séance de formation a été encadrée par Hamid Yahya, président de la Marocaine des Journalistes Sportifs (MJS), et Tarik Soueil, du Directeur exécutif du Comité Paralympique asiatique.
Un aperçu historique sur la naissance du mouvement paralympique nous a permis de voir de plus près les difficultés à s’imposer en tant que discipline sportive.
Les premières tentatives ont commencé au lendemain de la deuxième guerre mondiale lorsque les milliers de blessés et autres victimes de la guerre ont reçu les soins.
Le sport s’est avéré comme un moyen efficace pour se réintégrer dans la société.
Aux Jeux Olympiques de 1960 à Rome, le CIO a permis aux personnes souffrant de handicaps de participer aux jeux, mais ce n’est qu’en 1988 lors des JO de Séoul que le mouvement paralympique a pu s’imposer et gagner sa cause.
C’est à partir de cette date que les Jeux Paralympiques ont commencé à se dérouler en même temps et dans les mêmes sites que les JO organisés par le Comité International Olympique (CIO).
Le Maroc s’est affirmé dès les premiers Jeux Paralympiques comme une nation qui a donné ses lettres de noblesse au mouvement paralympique.
C’est ainsi que la moisson des médailles a commencé dès 1988 et qui a atteint en 2022 à Tokyo le seuil de 38 médailles.
Par la suite, les journalistes ont pu connaitre les techniques et les mécanismes de classification des athlètes paralympiques.
Il y a lieu de citer les trois catégories : les handicaps physique, visuel et intellectuel.
Ensuite, il y a les contrôles médicaux qui certifient ces handicaps et évitent la tricherie et l’égalité des chances entre les athlètes.
A l’intérieur de l’enceinte du Grand Stade de Marrakech, l’Agence Marocaine Antidopage (AMAD) a installé un stand dédié à la sensibilisation et à l’éducation en vue d’un sport propre.
Le contrôle des sportifs se fait sur les mêmes critères que pour les autres sportifs sous la houlette d’une équipe de contrôleurs sur place.