Le chantier royal relatif à la généralisation de la couverture médicale de base va bon train. En effet, le nombre de bénéficiaires d’AMO-Tadamon a atteint près de 10 millions, selon le ministre chargé des Relations avec le Parlement, porte-parole du gouvernement, Mustapha Baitas.
Le responsable qui intervenait, ce jeudi, lors du point de presse tenu à l’issue du Conseil de gouvernement a indiqué que ce chantier ainsi que celui de l’aide sociale directe vise à consolider les principes de l’Etat de droit.
Il a de même souligné que l’Exécutif a approuvé le projet de loi N° 41.23 qui prévoit l’annulation des arriérés dus à la Caisse nationale de sécurité sociale (CNSS).
Cette mesure qui concerne de nombreux travailleurs indépendants et personnes non-salariés exerçant une activité privée, intervient au moment oû des complications sont observées lors du processus de mise en œuvre de l’AMO car de nombreux citoyens couverts par cette assurance ont accumulés des arriérés de paiement, ce qui a entrainé la suspension de leurs prestations d’assurance, selon Baitas.
L’objectif derrière dudit projet de loi, poursuit t-il, est de permettre aux assurés de régulariser leur situation. Cette annulation n’est pas sans conditions. Les concernés sont, en effet, appelés de régulariser leurs paiements à partir du mois suivant la publication dudit loi dans le Bulletin officiel, jusqu’à la fin du 4ème mois suivant cette date.
Le responsable qui intervenait, ce jeudi, lors du point de presse tenu à l’issue du Conseil de gouvernement a indiqué que ce chantier ainsi que celui de l’aide sociale directe vise à consolider les principes de l’Etat de droit.
Il a de même souligné que l’Exécutif a approuvé le projet de loi N° 41.23 qui prévoit l’annulation des arriérés dus à la Caisse nationale de sécurité sociale (CNSS).
Cette mesure qui concerne de nombreux travailleurs indépendants et personnes non-salariés exerçant une activité privée, intervient au moment oû des complications sont observées lors du processus de mise en œuvre de l’AMO car de nombreux citoyens couverts par cette assurance ont accumulés des arriérés de paiement, ce qui a entrainé la suspension de leurs prestations d’assurance, selon Baitas.
L’objectif derrière dudit projet de loi, poursuit t-il, est de permettre aux assurés de régulariser leur situation. Cette annulation n’est pas sans conditions. Les concernés sont, en effet, appelés de régulariser leurs paiements à partir du mois suivant la publication dudit loi dans le Bulletin officiel, jusqu’à la fin du 4ème mois suivant cette date.