A l'issue d'une assemblée générale tenue mercredi 12 janvier, qui a connu la participation de plus de 5.000 médecins, les syndicats représentatifs des médecins, à savoir le Syndicat National de la Médecine Générale (SNMG), l’Association Nationale des Cliniques Privées (ANCP), le Syndicat National des Médecins du Secteur Libéral (SNMSL), le Collège Syndical National Des Médecins Spécialistes Privés (CSNMSP) et la Fédération nationale des médecins du secteur libéral ont décidé de maintenir leur grève prévue le jeudi prochain, tout en assurant les services d'urgence.
Leurs principales revendications: l’harmonisation des taux de cotisations au financement de l'assurance maladie, la revalorisation du Tarif National de Référence (TNR) et l'accélération de la mise en place d’un parcours de soins.
Dans le détail, ils expriment leur refus du décret 2.21.290 fixe les montants de cotisations à 4 fois le Smig pour les médecins généralisés et à 5,5 fois le Smig pour les médecins spécialistes. Ils appellent à la baisse de ces montants à 3 fois le Smig, à l'instar des autres professions libérales comme les notaires, pharmaciens, ou architectes.
Au niveau du TNR, la loi stipule une révision triennale. Ce Tarif n'a pas changé depuis 2006, date de sa fixation. Ainsi, les assurés se retrouvent à supporter 54% des frais des soins, se désolent les intervenants.
Les représentants des professionnels appellent également à l'accélération de la mise en place du parcours de soin en vue de valoriser le travail du médecin généraliste et augmenter le nombre des médecins dont dispose le Royaume.
Leurs principales revendications: l’harmonisation des taux de cotisations au financement de l'assurance maladie, la revalorisation du Tarif National de Référence (TNR) et l'accélération de la mise en place d’un parcours de soins.
Dans le détail, ils expriment leur refus du décret 2.21.290 fixe les montants de cotisations à 4 fois le Smig pour les médecins généralisés et à 5,5 fois le Smig pour les médecins spécialistes. Ils appellent à la baisse de ces montants à 3 fois le Smig, à l'instar des autres professions libérales comme les notaires, pharmaciens, ou architectes.
Au niveau du TNR, la loi stipule une révision triennale. Ce Tarif n'a pas changé depuis 2006, date de sa fixation. Ainsi, les assurés se retrouvent à supporter 54% des frais des soins, se désolent les intervenants.
Les représentants des professionnels appellent également à l'accélération de la mise en place du parcours de soin en vue de valoriser le travail du médecin généraliste et augmenter le nombre des médecins dont dispose le Royaume.