Abdelaouhid Aâzibou, le maire frustré de la ville de Tanger, en dépit de sa popularité et de son écrasante victoire aux dernières élections, sera-t-il le nouveau président de l’IRT football ? Pourquoi pas à l’heure où les autres candidatures à la présidence n’ont présenté aucune garantie. L’homme en a tous les atouts pour réussir. Certains diront qu’il n’est pas assez riche pour prendre les rênes de l’équipe. D’autres diront qu’aucun président à l’IRT ne dépense le moindre centime de sa fortune.
A vrai dire, l’exemple de Abdelhamid Aberchane est clair : le président démissionnaire prêtait l’argent au club mais ne donnait rien et attendait les subventions qui étaient sûres. Avec un peu plus de chance, sans l’alliance politique tripartite des partis, Abdelouahid Aâzibou aurait été le maire pour réaliser des projets dont la tête en était pleine. Tous voulaient lui confier la gestion de la mairie et en particulier les sportifs qui voyaient en lui le sauveur du sport dans une ville qui a une cité sportive considérée comme l’une des meilleures du monde. Il est impératif de rappeler que derrière le suivi de la nouvelle infrastructure sportive tangéroise, il y avait le mérite de deux personnes : l’ancien Wali Mohamed Yaâcoubi et l’actuel directeur régional du sport. Un homme, une Histoire, un amour pour la ville, une passion pour le sport, une bonne gestion administrative et surtout des idées, Abdelouahid Aâzibou est le profil idéal pour le poste de président de l’IRT. Ayant la confiance du Wali Mohamed Mehdia, il est à la tête de la commission provisoire appelée à gérer toutes les affaires de l’équipe dans l’attente de la constitution d’un autre comité le jour de l’assemblée générale extraordinaire.
Avec la pensée suivante, l’éventuel futur président a vaincu et convaincu ceux qui ne croyaient pas en lui : « Le navire IRT survivra au naufrage. On dit le naufrage et non la noyade, car celui qui connaît les règles simples de la langue comprend la différence entre les deux mots. Le premier peut être lié à un accident, une urgence, tandis que le second implique la persistance et le harcèlement criminel !
Dieu soit loué, les autorités locales de Tanger sont vigilantes et dans l'esprit de la prise de responsabilité. Bien qu’il y ait des gens qui manquent de paix et d'amour vrai pour la ville, il n'y a pas de peur pour Tanger et pas de peur pour son IRT. Aujourd'hui, les fans tangérois peuvent être rassurés malgré la difficulté et la gêne de l'étape dans laquelle se trouve l'équipe... mais la détermination des joueurs, supporters et officiels est plus forte que toute poussée vers la noyade, car Néron a brûlé Rome, alors elle est redevenue belle, rayonnante, ainsi que l’IRT qui restera rebelle et belle », a-t-il dit.
Drôle de déclaration philosophique émanant d’un homme instruit et plein de bonne volonté. Pour le moment, il n’a pas encore exprimé son désir d’être aux commandes de l’IRT. Tout ce qu’il souhaite maintenant c’est de réussir dans la commission provisoire en attendant des jours meilleurs.
Aux toutes dernières minutes, la rédaction sportive vient d’apprendre que Abdelouahid Aâzibou et ses proches collaborateurs ont réglé une partie des cinq salaires des footballeurs et du staff technique.
A vrai dire, l’exemple de Abdelhamid Aberchane est clair : le président démissionnaire prêtait l’argent au club mais ne donnait rien et attendait les subventions qui étaient sûres. Avec un peu plus de chance, sans l’alliance politique tripartite des partis, Abdelouahid Aâzibou aurait été le maire pour réaliser des projets dont la tête en était pleine. Tous voulaient lui confier la gestion de la mairie et en particulier les sportifs qui voyaient en lui le sauveur du sport dans une ville qui a une cité sportive considérée comme l’une des meilleures du monde. Il est impératif de rappeler que derrière le suivi de la nouvelle infrastructure sportive tangéroise, il y avait le mérite de deux personnes : l’ancien Wali Mohamed Yaâcoubi et l’actuel directeur régional du sport. Un homme, une Histoire, un amour pour la ville, une passion pour le sport, une bonne gestion administrative et surtout des idées, Abdelouahid Aâzibou est le profil idéal pour le poste de président de l’IRT. Ayant la confiance du Wali Mohamed Mehdia, il est à la tête de la commission provisoire appelée à gérer toutes les affaires de l’équipe dans l’attente de la constitution d’un autre comité le jour de l’assemblée générale extraordinaire.
Avec la pensée suivante, l’éventuel futur président a vaincu et convaincu ceux qui ne croyaient pas en lui : « Le navire IRT survivra au naufrage. On dit le naufrage et non la noyade, car celui qui connaît les règles simples de la langue comprend la différence entre les deux mots. Le premier peut être lié à un accident, une urgence, tandis que le second implique la persistance et le harcèlement criminel !
Dieu soit loué, les autorités locales de Tanger sont vigilantes et dans l'esprit de la prise de responsabilité. Bien qu’il y ait des gens qui manquent de paix et d'amour vrai pour la ville, il n'y a pas de peur pour Tanger et pas de peur pour son IRT. Aujourd'hui, les fans tangérois peuvent être rassurés malgré la difficulté et la gêne de l'étape dans laquelle se trouve l'équipe... mais la détermination des joueurs, supporters et officiels est plus forte que toute poussée vers la noyade, car Néron a brûlé Rome, alors elle est redevenue belle, rayonnante, ainsi que l’IRT qui restera rebelle et belle », a-t-il dit.
Drôle de déclaration philosophique émanant d’un homme instruit et plein de bonne volonté. Pour le moment, il n’a pas encore exprimé son désir d’être aux commandes de l’IRT. Tout ce qu’il souhaite maintenant c’est de réussir dans la commission provisoire en attendant des jours meilleurs.
Aux toutes dernières minutes, la rédaction sportive vient d’apprendre que Abdelouahid Aâzibou et ses proches collaborateurs ont réglé une partie des cinq salaires des footballeurs et du staff technique.