L’affaire Brahim Ghali continue son périple judiciaire en Espagne, le Tribunal national espagnol, « Audiencia Nacional », s’apprête à écouter les victimes présumées du Chef du Polisario, rapporte Europa Press, précisant que le militant sahraoui, naturalisé espagnol, Fadel Breica, sera le premier à être auditionné par le juge d’instruction chargé de l’affaire, Santiago Pedras. Ce dernier devrait livrer son témoignage sur les tortures qu’il a subies du leader du front séparatiste.
Deux autres témoins seront également écoutés par le juge, indique la même source. Il s’agit de l’épouse de Breika et deux autres camarades du militant sahraoui, qui ont également été arrêtés et relâchés par les milices du Polisario. Ces derniers ont été témoins des exactions commises à l’égard du plaignant.
En effet, plusieurs accusations graves pèsent sur Brahim Ghali, Fadel Breica a porté plainte contre lui pour torture, enlèvement arbitraire, détention illégale et crimes contre l’humanité. De crimes qui seraient commis dans les camps de réfugiés de Tindouf, en 2019, selon la même source, qui a relaté sa version des faits. Selon son récit, le militant a été arrêté par des agents du Plisario, et transféré dans des centres de détention où il a subi des sévices et des pratiques dégradantes ( coups, décharges électriques etc.).
Rappelons que Brahim Ghali a été brièvement auditionné par le juge d’instruction lors de son séjour controversé en Espagne. Ensuite, il a été aussitôt exfiltré en Algérie, sans qu’il soit arrêté à titre préventif, jusqu’à la fin de l’enquête judiciaire. L’accueil frauduleux du leader du Polisario a provoqué une brouille diplomatique sans précédent entre Rabat et Madrid, qui dure jusqu’à présent.
Deux autres témoins seront également écoutés par le juge, indique la même source. Il s’agit de l’épouse de Breika et deux autres camarades du militant sahraoui, qui ont également été arrêtés et relâchés par les milices du Polisario. Ces derniers ont été témoins des exactions commises à l’égard du plaignant.
En effet, plusieurs accusations graves pèsent sur Brahim Ghali, Fadel Breica a porté plainte contre lui pour torture, enlèvement arbitraire, détention illégale et crimes contre l’humanité. De crimes qui seraient commis dans les camps de réfugiés de Tindouf, en 2019, selon la même source, qui a relaté sa version des faits. Selon son récit, le militant a été arrêté par des agents du Plisario, et transféré dans des centres de détention où il a subi des sévices et des pratiques dégradantes ( coups, décharges électriques etc.).
Rappelons que Brahim Ghali a été brièvement auditionné par le juge d’instruction lors de son séjour controversé en Espagne. Ensuite, il a été aussitôt exfiltré en Algérie, sans qu’il soit arrêté à titre préventif, jusqu’à la fin de l’enquête judiciaire. L’accueil frauduleux du leader du Polisario a provoqué une brouille diplomatique sans précédent entre Rabat et Madrid, qui dure jusqu’à présent.