Dans une déclaration à l'agence EFE, des sources gouvernementales ont rejeté ces allégations ressassées depuis le déclenchement de l’affaire, comme étant un coup d’épée dans l’eau.
Aucune justification, aucune base et aucun fondement ne motivent une telle accusation, expliquent les mêmes sources, soulignant qu’il ne s’agit que de « simples spéculations et des tentatives de pointer un pays tiers, en l'occurrence le Maroc », dans cette soi-disant affaire d’espionnage qui aurait ciblé des membres du gouvernement espagnol, notamment le président Pedro Sánchez et les ministres de l’Intérieur, de la Défense et de l’Agriculture.
Ces accusions sont infondées, insistent-ils, et n’en réfèrent qu’à des enquêtes menées par « l’Audiencia Nacional », à la suite d’une plainte déposée par le Ministère public, après la visite des eurodéputés en Espagne.
A cet égard, les eurodéputés avaient reproché au gouvernement espagnol le manque de collaboration et de coopération, en se plaignant de ne pas avoir pu rencontrer les ministres, en particulier le ministre de la Présidence, des Relations avec les Cortes et de la Mémoire démocratique, Félix Bolaños.
De leur part, les mêmes sources gouvernementales affirment que les eurodéputés ont été préalablement informés de l’agenda des membres de l’exécutif, en l’occurrence leur participation au Congrès sur la motion de censure, qui a coïncidé avec leur visite.
Rappelons-le, un consortium de journalistes Forbidden Stories et Amnesty International, se fiant à des milieux difficilement identifiables, avait présenté ce qu’il appelle des révélations selon lesquelles onze États avaient espionné des chefs d'État, des opposants politiques, des journalistes et des défenseurs des droits de l'Homme en faisant recours au logiciel PEGASUS du groupe israélien NSO.
Aucune justification, aucune base et aucun fondement ne motivent une telle accusation, expliquent les mêmes sources, soulignant qu’il ne s’agit que de « simples spéculations et des tentatives de pointer un pays tiers, en l'occurrence le Maroc », dans cette soi-disant affaire d’espionnage qui aurait ciblé des membres du gouvernement espagnol, notamment le président Pedro Sánchez et les ministres de l’Intérieur, de la Défense et de l’Agriculture.
Ces accusions sont infondées, insistent-ils, et n’en réfèrent qu’à des enquêtes menées par « l’Audiencia Nacional », à la suite d’une plainte déposée par le Ministère public, après la visite des eurodéputés en Espagne.
A cet égard, les eurodéputés avaient reproché au gouvernement espagnol le manque de collaboration et de coopération, en se plaignant de ne pas avoir pu rencontrer les ministres, en particulier le ministre de la Présidence, des Relations avec les Cortes et de la Mémoire démocratique, Félix Bolaños.
De leur part, les mêmes sources gouvernementales affirment que les eurodéputés ont été préalablement informés de l’agenda des membres de l’exécutif, en l’occurrence leur participation au Congrès sur la motion de censure, qui a coïncidé avec leur visite.
Rappelons-le, un consortium de journalistes Forbidden Stories et Amnesty International, se fiant à des milieux difficilement identifiables, avait présenté ce qu’il appelle des révélations selon lesquelles onze États avaient espionné des chefs d'État, des opposants politiques, des journalistes et des défenseurs des droits de l'Homme en faisant recours au logiciel PEGASUS du groupe israélien NSO.