La Chambre criminelle près la Cour d’appel de Tanger a décidé, mardi 17 novembre, de reporter l’audience prévue dans le cadre de l’affaire Adnane au 1er décembre prochain, et ce, à la demande de l’avocat de l’assassin présumé, désigné par le bâtonnier du Barreau de Tanger.
La lenteur du traitement de ce dossier s’explique par l’absence d’une assistance juridique au mis en cause, poursuivi pour enlèvement, attentat à la pudeur suivi du meurtre d’un mineur de 11 ans. Aucun avocat s’est présenté pour défendre l’accusé, âgé de 24 ans, dans cette affaire ayant secoué l’opinion publique nationale.
Plusieurs représentants de la société civile, des activistes de l’Association marocaine des droits de l’homme (AMDH) et ceux de la Ligue de défense des droits de l’homme, se sont présentés au tribunal pour assister à une plaidoirie finalement reportée.
Le tribunal a, dans ce sens, décidé de maintenir les poursuites à son encontre, incluant l’enlèvement, la séquestration, l’attentat à la pudeur et le meurtre par étranglement avec préméditation.
Les éléments de l’enquête ont révélé que le mis en cause a emmené la victime dans un appartement qu'il loue dans le même quartier résidentiel, l'a agressée sexuellement et commis l'homicide volontaire, le même jour et à la même heure, avant de procéder à son enterrement aux alentours de son domicile.
Trois autres individus suspectés dans le cadre de cette affaire sont poursuivis pour «dissimulation d’un crime commis», et «non-dénonciation des faits» après avoir reconnu leur ami sur les séquences vidéo largement diffusées sur les réseaux sociaux.
La lenteur du traitement de ce dossier s’explique par l’absence d’une assistance juridique au mis en cause, poursuivi pour enlèvement, attentat à la pudeur suivi du meurtre d’un mineur de 11 ans. Aucun avocat s’est présenté pour défendre l’accusé, âgé de 24 ans, dans cette affaire ayant secoué l’opinion publique nationale.
Plusieurs représentants de la société civile, des activistes de l’Association marocaine des droits de l’homme (AMDH) et ceux de la Ligue de défense des droits de l’homme, se sont présentés au tribunal pour assister à une plaidoirie finalement reportée.
Le tribunal a, dans ce sens, décidé de maintenir les poursuites à son encontre, incluant l’enlèvement, la séquestration, l’attentat à la pudeur et le meurtre par étranglement avec préméditation.
Les éléments de l’enquête ont révélé que le mis en cause a emmené la victime dans un appartement qu'il loue dans le même quartier résidentiel, l'a agressée sexuellement et commis l'homicide volontaire, le même jour et à la même heure, avant de procéder à son enterrement aux alentours de son domicile.
Trois autres individus suspectés dans le cadre de cette affaire sont poursuivis pour «dissimulation d’un crime commis», et «non-dénonciation des faits» après avoir reconnu leur ami sur les séquences vidéo largement diffusées sur les réseaux sociaux.