Du jamais vu, du jamais vécu au club IRT football après son maintien « miraculeux » chez les grands de la Botola I professionnelle.
« On accuse » est le mot d’ordre qui vient de circuler à l’équipe tangéroise où beaucoup d’encre a coulé.
Par-ci par-là, l’on parle même de l’intervention de hautes instances du bureau fédéral pour enquêter sur une louche affaire qui porte atteinte non seulement au football de Tanger mais aussi au football national.
On accuse qui ? Quoi ? Quand ? Comment ? Où ? Autant de questions dont l’intrigue et le suspens rappellent les bons films de Hitchkock.
Tout a commencé par la publication dans les réseaux sociaux et dans Facebook d’une nouvelle qui a fait trembler tous les milieux sportifs : contribution d’un administrateur et de trois footballeurs à la manipulation de fausser le résultat dans deux rencontres décisives jouées à l’extérieur où les adversaires jouaient le maintien.
Cette missive a été transférée à certaines plateformes médiatiques locales surtout de la presse électronique.
L’on parle également d’un membre adhérent qui a dévoilé le secret de l’affaire.
Devant cette situation difficile qui a fait plus de peur que de mal à la famille IRT, le président Mohamed Ahkane, qui a mené en personne l’enquête en écoutant les enregistrements des portables « confisqués », a convoqué une grande réunion avec ses proches collaborateurs pour mettre les points sur les « i » du grave problème.
A la suite de longs débats, toute l’affaire a été démentie et en voici le communiqué :
« Le bureau de direction de l'Ittihad Tanger Football Club a passé en revue les actualités publiées sur les réseaux sociaux (notamment Facebook) ainsi que certaines plateformes médiatiques locales, qui revendiquent l'existence de (manipulation par certains joueurs du club dans les résultats des derniers matches de l'équipe), et la présence de (enregistrements audio le prouvant), ainsi que (Ouverture du Parquet compétent pour une enquête judiciaire sur l'affaire).
Le bureau de gestion de l'Ittihad Tanger, après avoir délibéré au sujet de ces rumeurs malveillantes, annonce à l'opinion publique locale et nationale ce qui suit :
- Il nie fermement le bien-fondé de cette nouvelle et affirme sa confiance absolue dans toutes les composantes du club -sans exception-.
- Condamne fermement cette nouvelle sans fondement et mensongère qui nuit à l'équipe, aux joueurs et au football national.
- Il se réserve le droit d'engager des poursuites judiciaires contre les propriétaires de comptes et de pages suspects diffusant de fausses informations sur certains joueurs ou certains membres du bureau de direction.
- Il lance un appel aux fans de l'équipe et aux supporters du club pour qu'ils ne prêtent pas attention à ces fausses nouvelles et pages suspectes qui visent à créer une atmosphère de suspicion et de méfiance entre les joueurs et le public, et entre les joueurs entre eux, et entre les joueurs et le bureau d'encadrement, pour affaiblir l'équipe et la pousser vers l'abîme.
« On accuse » est le mot d’ordre qui vient de circuler à l’équipe tangéroise où beaucoup d’encre a coulé.
Par-ci par-là, l’on parle même de l’intervention de hautes instances du bureau fédéral pour enquêter sur une louche affaire qui porte atteinte non seulement au football de Tanger mais aussi au football national.
On accuse qui ? Quoi ? Quand ? Comment ? Où ? Autant de questions dont l’intrigue et le suspens rappellent les bons films de Hitchkock.
Tout a commencé par la publication dans les réseaux sociaux et dans Facebook d’une nouvelle qui a fait trembler tous les milieux sportifs : contribution d’un administrateur et de trois footballeurs à la manipulation de fausser le résultat dans deux rencontres décisives jouées à l’extérieur où les adversaires jouaient le maintien.
Cette missive a été transférée à certaines plateformes médiatiques locales surtout de la presse électronique.
L’on parle également d’un membre adhérent qui a dévoilé le secret de l’affaire.
Devant cette situation difficile qui a fait plus de peur que de mal à la famille IRT, le président Mohamed Ahkane, qui a mené en personne l’enquête en écoutant les enregistrements des portables « confisqués », a convoqué une grande réunion avec ses proches collaborateurs pour mettre les points sur les « i » du grave problème.
A la suite de longs débats, toute l’affaire a été démentie et en voici le communiqué :
« Le bureau de direction de l'Ittihad Tanger Football Club a passé en revue les actualités publiées sur les réseaux sociaux (notamment Facebook) ainsi que certaines plateformes médiatiques locales, qui revendiquent l'existence de (manipulation par certains joueurs du club dans les résultats des derniers matches de l'équipe), et la présence de (enregistrements audio le prouvant), ainsi que (Ouverture du Parquet compétent pour une enquête judiciaire sur l'affaire).
Le bureau de gestion de l'Ittihad Tanger, après avoir délibéré au sujet de ces rumeurs malveillantes, annonce à l'opinion publique locale et nationale ce qui suit :
- Il nie fermement le bien-fondé de cette nouvelle et affirme sa confiance absolue dans toutes les composantes du club -sans exception-.
- Condamne fermement cette nouvelle sans fondement et mensongère qui nuit à l'équipe, aux joueurs et au football national.
- Il se réserve le droit d'engager des poursuites judiciaires contre les propriétaires de comptes et de pages suspects diffusant de fausses informations sur certains joueurs ou certains membres du bureau de direction.
- Il lance un appel aux fans de l'équipe et aux supporters du club pour qu'ils ne prêtent pas attention à ces fausses nouvelles et pages suspectes qui visent à créer une atmosphère de suspicion et de méfiance entre les joueurs et le public, et entre les joueurs entre eux, et entre les joueurs et le bureau d'encadrement, pour affaiblir l'équipe et la pousser vers l'abîme.
Le président Mohamed Ahkane
