C’est un événement majeur, en cette rentrée universitaire, que le Maroc abrite dans le domaine de l’éducation et de la formation. Il s’agit de la première édition du Forum Digital de la Coopération Universitaire. Il est à l’initiative de l’Association des Lauréats Etrangers du Maroc (ASLEM) et de la Société AfriCompetence, en partenariat avec l’Agence Marocaine de Coopération Internationale (AMCI) et la Confédération des Etudiants et Stagiaires Africains Etrangers du Maroc (CESAM), et ce, du 18 au 21 septembre 2020 à Rabat.
Une démarche novatrice quand on sait que le royaume est devenu le hub de la formation des étudiants de l’Afrique subsaharienne. D’ailleurs, ce Forum Digital, placé sous le thème : « Le Futur de l’Education en Afrique : Défis et Perspectives », vise principalement à mettre en place une plate-forme de coopération universitaire en matière d’enseignement supérieur et de formation professionnelle au profit des autres pays africains en s’inspirant du modèle marocain sous la vision éclairée de Sa Majesté le Roi Mohammed VI.
Il ne pouvait en être autrement quand on sait que le Maroc accueille, chaque année, plus de 1500 nouveaux étudiants boursiers à travers l’Agence Marocaine de Coopération Internationale (AMCI). Aujourd’hui, plus de 30.000 personnes issues de 47 pays africains sont lauréats des établissements marocains d’enseignement supérieur public depuis 1986.
Renforcement des capacités
Mieux encore, et dans le cadre de la coopération technique, quelque 5.000 cadres africains du secteur public ont bénéficié des programmes de renforcement des capacités déployées par l’AMCI et ses partenaires techniques dans des secteurs vitaux, sans oublier que plus d’une centaine de projets de développement humain durable ont été appuyés dans des secteurs sociaux ainsi que l’aide humanitaire du Maroc qui couvre une dizaine de pays en moyenne chaque année. La dernière en date est celle octroyée à une quinzaine de pays africains, couvrant l’ensemble des régions du continent, dans le domaine de la santé pour la lutte contre la Covid19-. Une pandémie qui bouleverse actuellement le système éducatif du continent.
Contacté à propos de cet événement, Lennah Toyi, Président de l’ASLEM, souligne qu’il s’agira « d’appuyer les Gouvernements des pays africains identifiés en matière de développement de compétences par le rapprochement des Universités africaines et celles du Maroc », mais aussi « d’encourager l’axe de développement et de renforcement du capital humain « Maroc-Afrique » qui vient en complément du travail abattu par l’Agence Marocaine de Coopération Internationale au-delà de l’octroi de Bourses d’études », ajoute-t-il.
Le Forum sera également une occasion d’aborder les facilitations et les mécanismes d’orientation des candidats vers les universités marocaines répondant aux besoins de compétences en Afrique, tout en leur donnant les informations pertinentes sur le système d’enseignement au Maroc mais aussi et surtout présenter les conditions de vie des étudiants étrangers boursiers dont la cité Universitaire internationale, relevant de l’AMCI, en est la parfaite illustration. Une cité qui héberge plus de 800 étudiants issus de plus de 50 nationalités. Véritable « ONU d’Afrique », de par sa diversité et sa pluralité, la CUI offre un cadre idyllique pour bien étudier.
Solutions et expertises
Pour cette 1ère édition, il est attendu la participation de plusieurs ministres, dont ceux des Affaires Etrangères, de l’Enseignement Supérieur et/ou de la Formation professionnelle de plusieurs pays, des Présidents d’Université et d’Ecole, des Universitaires et des milliers d’étudiants et de lauréats qui sont dans les quatre coins de l’Afrique. « Ce qui devrait faire de ce Forum Digital, une plate-forme de solutions et d’expertises d’envergure internationale », explique Lennah Toyi.
Au programme, outre la séance inaugurale avec l’intervention d’imminentes personnalités au rang de premières dames, de responsables d’institutions internationales et marocaines mais également de capitaine d’industrie ; plusieurs tables rondes virtuelles des ministres des Affaires étrangères et /ou de l’Enseignement supérieur ou du Numérique ; de Présidents d’Université, des Lauréats et d’Etudiants.
Tandis que dans les pays d’origine des Lauréats, les 35 Associations partenaires s’approprieront l’évènement et mobiliseront leurs membres à travers les canaux de communication dont elles disposent pour un franc succès et surtout pour le rayonnement du Maroc dans ces pays frères et amis. La vision des Organisateurs est de réitérer de façon tournante dans d’autres pays africains cet évènement, et ce, annuellement.
Une démarche novatrice quand on sait que le royaume est devenu le hub de la formation des étudiants de l’Afrique subsaharienne. D’ailleurs, ce Forum Digital, placé sous le thème : « Le Futur de l’Education en Afrique : Défis et Perspectives », vise principalement à mettre en place une plate-forme de coopération universitaire en matière d’enseignement supérieur et de formation professionnelle au profit des autres pays africains en s’inspirant du modèle marocain sous la vision éclairée de Sa Majesté le Roi Mohammed VI.
Il ne pouvait en être autrement quand on sait que le Maroc accueille, chaque année, plus de 1500 nouveaux étudiants boursiers à travers l’Agence Marocaine de Coopération Internationale (AMCI). Aujourd’hui, plus de 30.000 personnes issues de 47 pays africains sont lauréats des établissements marocains d’enseignement supérieur public depuis 1986.
Renforcement des capacités
Mieux encore, et dans le cadre de la coopération technique, quelque 5.000 cadres africains du secteur public ont bénéficié des programmes de renforcement des capacités déployées par l’AMCI et ses partenaires techniques dans des secteurs vitaux, sans oublier que plus d’une centaine de projets de développement humain durable ont été appuyés dans des secteurs sociaux ainsi que l’aide humanitaire du Maroc qui couvre une dizaine de pays en moyenne chaque année. La dernière en date est celle octroyée à une quinzaine de pays africains, couvrant l’ensemble des régions du continent, dans le domaine de la santé pour la lutte contre la Covid19-. Une pandémie qui bouleverse actuellement le système éducatif du continent.
Contacté à propos de cet événement, Lennah Toyi, Président de l’ASLEM, souligne qu’il s’agira « d’appuyer les Gouvernements des pays africains identifiés en matière de développement de compétences par le rapprochement des Universités africaines et celles du Maroc », mais aussi « d’encourager l’axe de développement et de renforcement du capital humain « Maroc-Afrique » qui vient en complément du travail abattu par l’Agence Marocaine de Coopération Internationale au-delà de l’octroi de Bourses d’études », ajoute-t-il.
Le Forum sera également une occasion d’aborder les facilitations et les mécanismes d’orientation des candidats vers les universités marocaines répondant aux besoins de compétences en Afrique, tout en leur donnant les informations pertinentes sur le système d’enseignement au Maroc mais aussi et surtout présenter les conditions de vie des étudiants étrangers boursiers dont la cité Universitaire internationale, relevant de l’AMCI, en est la parfaite illustration. Une cité qui héberge plus de 800 étudiants issus de plus de 50 nationalités. Véritable « ONU d’Afrique », de par sa diversité et sa pluralité, la CUI offre un cadre idyllique pour bien étudier.
Solutions et expertises
Pour cette 1ère édition, il est attendu la participation de plusieurs ministres, dont ceux des Affaires Etrangères, de l’Enseignement Supérieur et/ou de la Formation professionnelle de plusieurs pays, des Présidents d’Université et d’Ecole, des Universitaires et des milliers d’étudiants et de lauréats qui sont dans les quatre coins de l’Afrique. « Ce qui devrait faire de ce Forum Digital, une plate-forme de solutions et d’expertises d’envergure internationale », explique Lennah Toyi.
Au programme, outre la séance inaugurale avec l’intervention d’imminentes personnalités au rang de premières dames, de responsables d’institutions internationales et marocaines mais également de capitaine d’industrie ; plusieurs tables rondes virtuelles des ministres des Affaires étrangères et /ou de l’Enseignement supérieur ou du Numérique ; de Présidents d’Université, des Lauréats et d’Etudiants.
Tandis que dans les pays d’origine des Lauréats, les 35 Associations partenaires s’approprieront l’évènement et mobiliseront leurs membres à travers les canaux de communication dont elles disposent pour un franc succès et surtout pour le rayonnement du Maroc dans ces pays frères et amis. La vision des Organisateurs est de réitérer de façon tournante dans d’autres pays africains cet évènement, et ce, annuellement.
Wolondouka SIDIBE